Jean-Claude C…
Observation des objets non identifiés : Plan de situation.
(Le tracé rouge matérialise le cours de l’oued, affluent du N’Fiss)
030 Vue rapprochée - Détails
031 Vue d’ensemble - région Imarigha
032 - Altitudes
033 Plan région Ouirgane
29 MARS 1955 - CASABLANCA
Casablanca, 29.3.55. Hier matin à l'aube, quatre ouvriers agricoles ont aperçu un grand disque au-dessus de Petitjean. Il était argenté et dessinait une traînée de lumière bleu-orange derrière lui. Après quelques manœuvres de vol à 1600 m d'altitude, il s'est perdu au loin.
Source: Sondermeldung Paris-Presse – Weltraumbote (Zurich), n° 6, Mai 1956, p. 7 -
Communication de Bruno Mancusi.Traduit de la langue Allemande.
MARS 1955 – FEZ.
(Le 28 Mars selon le catalogue UFOCAT) – Fès au Maroc. Note de Raymond Veillith.
RAPPORT D'OBSERVATION
Déclaration extraite d'une lettre d'un de mes correspondants du Maroc.
033 photo de la note
"Un autre collègue de la Société Astronomique de France, habitant à Fès, Monsieur [-], ingénieur, mathématicien, ayant un esprit très critique, m'a dit avoir observé un astronef à Fès fin mars 1955 (à 08h00 T.U le 28 ou le 29) ; il a eu le temps de prendre des jumelles et de l'observer pendant 5 bonnes minutes. Il m'a dit que l'engin "était tel qu'il est figuré dans l'ouvrage d'Adamski" et que c'était un disque argenté brillant avec un point noir au milieu. Au bout de 5 minutes, l'objet s'est mis à dériver vers le NW en diminuant rapidement pour disparaître dans un ciel absolument pur.
Communiqué par Mr. Raymond Veillith (aujourd’hui décédé – Ancien directeur de la Publication Lumières dans la Nuit.) - "Les Pins" - Le Chambon sur Lignon (Haute-Loire)
UFOCAT : 25252 VALLEE JACQUES JVE 1964X 1955 0328 0800 PETIT JEAN -FES AF MAR
(Source : Ufologie.net)
Le catalogue UFOCAT situe cette observation le 28 Mars 1955. Communiquée par Mr Petit Jean de Fès. La source UFOCAT est Jacques Vallée. Référence du cas : 25252
ANNEE 1956 - CATALOGUE UFOCAT.
65197
26452 VALLEE JACQUES 6JVE 2094Q 1956 0405 2000 CASABLANCA AF MAR
65197 BLUEBOOK 3BB 08+ 1956 0405 2015* CASABLANCA AF MAR
26453 BLUEBOOK 3BB 08+ 1956 0405 CASABLANCA AF MAR
27092
27087 VALLEE JACQUES 6JVE 2189Q 1956 0824 2400 TANGER AF MAR
27092 BLUEBOOK 3BB 102 1956 0825 N TANGER AF MAR
69934 NACHTRICHTE 5UN 57A F 1956 0827 MAROKK KUESTE AF MAR
69935 NACHTRICHTEN 5UN 57A F 1956 0828 TANGER AF MAR
27125 VALLEE JACQUES 6JVE 2193Q 1956 0829 TETOUAN AF MAR
27164 VALLEE JACQUES 6JVE 2199Q 1956 0903 1730 OUJDA AF MA
AOUT 1956 – FEZ.
Remy Fauchereau enquête en février 2008 sur le cas de ST JEOIRE EN FAUCIGNY (74490) du 10 Novembre 2006 et le témoin Monsieur Michel Dutrievoz évoque au cours de l’enquête qu’il a déjà vu un objet volant non identifier au Maroc en 1956.
035 Illustration imaginaire du cas de FEZ RABAT dans le train
Nous étions en Août 1956 dans un train qui fait la ligne de chemin de fer FEZ – RABAT. Je suis en compagnie de mon frère et de mon père. Nous observons trois objets en forme de Soucoupe Volante qui suivent la ligne de chemin de fer à une distance et à une hauteur non estimée. Les objets sont de couleur métallique argentée.
Évoqué au cours de l’enquête nous n’avons pas plus d’information sur ce cas très ancien.
Source : Enquête de St Jeoire en Faucigny (74) – Rémy Fauchereau – Archive « Ovni Maroc »
AVIS D’OVNI Maroc International
Témoignage d'un ovni en 1956 au Maroc
Date et lieu : Août 1956, sur la ligne de chemin de fer entre Fès et Rabat, au Maroc.
Description de l'événement : Le narrateur, accompagné de son frère et de son père, a observé depuis le train trois objets volants non identifiés.
Caractéristiques des ovnis :
Forme : En soucoupe volante.
Couleur : Métallique argentée.
Mouvement :
Les objets suivaient le train le long de la ligne de chemin de fer.
Distance et altitude : Non estimées.
Ce récit s'inscrit dans un contexte où les observations d'ovnis étaient particulièrement fréquentes, et votre témoignage est un ajout significatif à ces archives. Rien ne nous permet à ce stade une identification.
25 AU 26 AOUT 1956 TANGER (NUIT DU)
Document US AIR FORCE
1956-08-7070165-Tangier-Morocco
By - U.S. Air Force
Publication date - 1956
Topics - UFO, UFOs, Unidentified Flying Object, Unidentified Flying Objects, Air Force, U.S. Air Force, Blue Book, Project Blue Book
Contributor -Michael Best -1956-08-7070165-Tangier-Morocco
Addeddate 2015-12-05 15:49:22
034 01 DOC US TANGER 1956 08
034 02 DOC US TANGER 1956 25 AU 26 AOUT
27 AOUT 1956 – TETOUAN - MAROKKO
Les bureaux des journaux et les postes de police ont été inondés de rapports lorsqu'un OVNI a volé d'est en ouest le long de la côte marocaine dans la nuit du lundi 27 août 56. L'objet émettait une lumière verdâtre mélangée à des rayons rougeâtres vacillants. Pendant huit minutes, il a été diffusé quatre fois. Le lendemain matin à 08 h15, Lady Scott et son fils, M. Michael Scott, ont vu un objet argenté en forme de boîte brillant volant en direction du nord-ouest au-dessus des collines agricoles, qui se trouvent à environ un kilomètre et demi de la ville de Tanger.
Il est rapporté de Tétouan que ces observations ont conclu une semaine au cours de laquelle des soucoupes volantes avaient effectivement gambadé au-dessus de la baie de Tanger. [...]
Source: UFO-Nachrichten (Wiesbaden) n° 4, janvier 1957, p. 3 – Information de Bruno Mancusi
30- 08 – 1956 – TETOUAN DATE APPROXIMATIVE (idem cas du 27 août?)
Parlons maintenant du Maroc –
Tétouan, Maroc (UP). À l'heure actuelle, la côte marocaine semble être la « cible convoitée » de ce que l'on appelle les « OVNI » - « objets volants inconnus ».
Ces derniers jours, diverses personnes ont vu à plusieurs reprises de tels objets volants près de la baie de Tanger et dans d'autres sections de la côte marocaine.
Le dernier « rapport de témoin oculaire » fait référence à un objet volant qui a émis une lumière verte et qui aurait émané des éclairs rouges. L'objet a été observé – volant dans une direction est-ouest – par plusieurs personnes pendant environ huit minutes lundi soir après 20 heures, heure locale. On dit qu'il s'agissait d'un objet très grand et volant rapidement.
Source: Die Rheinpfalz, 30.8.1956 – Communication Bruno Mancusi. Traduit de l’allemand.
15 OCTOBRE 1956 MECHRA BEL KSIRE
Les radars de la défense aérienne localisent un objet avec une grande vitesse et qui se déplace avec une grande maniabilité à l’Est de Gibraltar, au nord de la côte africaine. Il se déplaçait d’abord vers le sud puis virant à l’ouest, il est alors sorti de notre champ de contrôle. (Remarque NUFORC : Witness indique que la date de l’observation est approximative PD)
Source : http://ufospottings.com/location/Morocco/
1957 – NORD-EST DE CASABLANCA
Le témoin avait 18 ans au moment de cet événement et il servait dans l'armée en Afrique (au Maroc Français) dans une base située au NE de Casablanca.
Le témoin a signalé l'incident 50 ans après l’observation. Il était en fonction dans la Police de l'Air militaire et de garde ce jour-là quand il a repéré un objet en forme de disque rond dans le ciel en direction du nord-est. L'objet avait deux fenêtres carrées sur sa surface. L'observation a duré 3-4 minutes et a donnée l’impression qu’elle avait duré une éternité. L'objet a disparu. Il ne s’est pas déplacé dans une direction particulière. L'objet ne faisait aucun bruit. De bonnes conditions météorologiques ce jour-là. Le témoin n’est pas certain de la taille de l'objet. Le témoin n'a pas affirmé avec certitude ces informations car l’observation a été rapide. Il a déposé un rapport d'incident à l’Air Force. Par la suite il n’a jamais été contacté par un officier supérieur ni discuté de l'incident avec d’autres personnes depuis 1957.
Observation déposée le 19 avril 2007. Source : Mufon
1957 - LES REUNIONS OVNIS MARSEILLE DE BERNARD HUGUES.
Compte rendu de réunion.
Pour la réunion du samedi 9 juillet 2005 il y avait 26 personnes, ce qui fait beaucoup d’habitude il n’y en a qu’une quinzaine.
Il n’y avait pas d’intervenant spécifique, nous étions tous là pour discuter de nos propres expériences, échanger des idées sur le phénomène OVNI.
Trois personnes ont raconté ce qu’elles ont vu :
La première personne, un monsieur, a vu en 1957 au Maroc disparaître un homme instantanément a deux mètres devant lui : je cite : « un instant il était là et une seconde plus tard il n’était plus là ».
Source : Compte rendu communiqué par Bernard Hugues des Rencontres Ufologiques de Marseille.
ANNEE 1957 - CATALOGUE UFOCAT.
30173 VALLEE JACQUES 6JVE 2575Q 1957 1124 2000 CASABLANCA AF MAR
30365 BLUEBOOK 3BB 61+ 1957 1208 TIFLET-MONOR AF MAR
30366 BLUEBOOK 3BB 61+ 1957 1208 TIFLET-MONOR AF MAR
8 DECEMBRE
1957 TIFLET MONOR PRES VOLUBILIS
ARCHIVES NATIONALES ETATS UNIS
1957-12-6969140-Tiflet-Monor-Maroc
Par : Armée de l'air des États-Unis
Publication date 1957
Collection : projet-livre-bleu ; fichiers OVNI ; national security archive ; additional_collections
Contributeur : Michael Best
Langue : Anglais
1957-12-6969140-Tiflet-Monor-Maroc
Date d'ajout : 2015-12-05 13:04:12
Source : https://archive.org/details/1957-12-6969140-Tiflet-Monor-Morocco
Project Blue Book : https://uk.forceswarrecords.com/document/6969183/tiflet-monor-morocco-blank-page-6-us-project-blue-book-ufo-investigations-1947-1969
035 01-036-037-038 document Armée de l’Air Américaine, déclassifié, 8 décembre 1957 Tiflet Monor.
035 01

036

037

038
1958- TELATA D’ISNUIA (EX TERRIROIRE ESPAGNOL – SIDI IFNI)
Au début de 1958, le pilote d'un chasseur C-4K voit un noir, objet cylindrique à proximité de Telata de Isbuia (ex-Sidi Ifni).
Source : Angel Rivero – et ANGEL CARRETERO OLMEDO
ANNEE 1959 - CATALOGUE UFOCAT.
32449 VALLEE JACQUES 6JVE 2878M 1959 08 AF MAR
32379 VALLEE JACQUES 6J 2881M 1959 0804 1500 MEKNES AF MAR
OCTOBRE 1959 – HASI HABAS – CAP BOUJDOUR – SUD MAROC
Un objet métallique a poursuivi une C-2111 de chasse au cours de l'Atlantique entre Hasi Habas et le Cap Bojador.
FIN DES ANNEES 1950 – SUD MAROCAIN
Mr B. nous transmet un témoignage qu’il a relevé il y a de nombreuses années déjà, vécu par Mr X., un ami digne de foi, à la fin des années 50.
Le témoignage a été relevé plus de 20 ans après les faits. Le témoin n’y a pas accordé une importance primordiale à l’époque, il ne l’a pas signalé à sa hiérarchie et en conséquence, aucun rapport à l’époque et beaucoup de détails ne sont plus inscrit dans sa mémoire.
L’observation a été brève, mais néanmoins parfaitement visible car en plein jour. La description qu’il en a fait à Mr B n’a absolument pas été orientée ou influencée car il a tout simplement laissé parler le témoin.
039 Photo : On prend une jeep, en route dans le désert….
Le témoin raconte que les faits se sont passés un dimanche, il était à cette époque-là jeune militaire. En compagnie de trois autres camarades, il décide d’aller assister à un évènement sportif car il a pu obtenir une permission. Ils utilisent alors une jeep de service pour se rendre à la manifestation, car ils sont basés dans une région désertique dans le Sud du Maroc et ils prennent alors une piste sur plusieurs kilomètres.
En fin de matinée, aux alentours de midi, la jeep se met à ralentir et à avoir des hoquets (comme une panne d’essence) puis finie par caler au milieu de la piste. Ils sont tous trois étonnés car le plein d’essence a été fait avant de partir et ils constatent qu’il est impossible de redémarrer le moteur. Ils descendent et ouvrent le capot de la jeep pour vérifier d’où vient le problème. Ils ne constatent aucune fuite.
040 Photo : réparation de la Jeep…
Mr X, poussé par un besoin pressant décide de gravir un talus séparant la piste du désert environnant. À quelques dizaines de mètres de ses camarades, derrière le talus, invisible de ces derniers, Mr X s’installe et en même temps jette un regard sur le paysage caillouteux. C’est alors qu’il observe sur sa droite et à en direction de l’horizon, un nuage de poussières important précédé par un objet de forme allongé ou de disque aplati et dont l’aspect est métallique ou argenté.
041 Photo, atterrissage de l’objet…
Trois ou quatre secondes après avoir constaté ce fait, l’objet alors à terre ou à quelques dizaines de centimètres du sol (impossible de déterminer exactement, compte tenu de l’éloignement et du nuage de poussières) l’objet décolle, s’élève brusquement et disparaît à une vitesse fulgurante, tout cela en quelques dixièmes de secondes !
Le témoin estime l’objet à environ 2 Kms du lieu où il l’observe. Redescendant vers ses camarades, il entend le moteur de la jeep fonctionner et stupéfaction, ses camarades lui apprennent que le moteur s’est remis en marche tout seul ! Le témoin raconte qu’il vient de voir un objet pour lui totalement inconnu, a terre ou proche du sol et qui s’est envolé à une vitesse incroyable. Les trois camarades ne pouvaient pas voir l’objet au sol compte tenu de leur situation, mais aurait pu le voir éventuellement dans l’espace. Mais préoccupé par l’état du véhicule, compte tenu aussi de la durée vraiment très courte de l’envol et de la disparition de l’objet, ils n’ont rien observé de ce phénomène.
Le témoin est aujourd’hui décédé, il ne s’est jamais intéressé au phénomène ovni, ni avant ni après cet événement, mais pour lui, il avait pris conscience « qu’il y avait quelque chose ailleurs » que sur notre planète.
Mr B. qui a relevé le témoignage est convaincu de l’authenticité de ces faits car il connaît le sérieux du témoin et surtout par le fait qu’il était encore visiblement ému par cette observation, malgré le temps écoulé.
Conclusions et remarque de Mr B.
Mr X. non informé de la démarche à suivre lorsqu’on observe un tel phénomène, n’a pas porté une attention particulière à ce fait, si bien qu’il est aujourd’hui dans l’impossibilité de situer exactement le lieu de cette observation. Il ne se souvient pas de quel événement sportif ou manifestation ou le témoin s’est rendu. Il lui semble seulement se rappeler que ce devait être à une course. Il ne se souvient plus précisément ni de l’année, ni du mois. Ce dont il est sûr c’est que cet événement a bien eu lieu et qu’il l’a bien vu !
Note :
Il est bien évident que ce type de témoignage, compte tenu de l’ancienneté et de l’imprécision, même s’il est de grande importance, ne peut pas nous apporter des éléments nouveaux et vérifiables aptes à faire avancer la recherche sur le phénomène ovni. Par contre au niveau statistiques et compte tenu de ses caractéristiques, il a son importance. Nous avons à faire à un cas ancien et nous sommes très heureux de pouvoir sauvegarder cette information, même si elle est imprécise. Nous savons, que rechercher dans « la mémoire collective » des informations sur le phénomène ovni au Maroc, va nous apporter de nombreux témoignages de ce type, c’est tout à fait normal, notre mémoire élimine au fil des années les détails qui l’encombre, ne conservant que les grandes lignes d’un fait marquant. Nous remarquons dans ce témoignage des faits intéressants : arrêts du moteur du véhicule, alors que l’objet est à 2 kilomètres, ce qui veut dire une interférence d’ordre magnétique ou autre, très importante. Ceci corroboré avec d’autres cas est intéressant. L’objet provoque un nuage de poussière, ce qui nous permet de penser qu’il émet un souffle quelconque. Des ingénieurs, physiciens et autres spécialistes sont très intéressés par de tels détails. On peut en déduire beaucoup de chose. La vitesse qui est « fulgurante » nous fait nous poser des questions, sur ce point et ce malgré de nombreuses descriptions, nous ne pouvons formuler que des hypothèses, souvent contredites d’ailleurs. Sur ce point précis, c’est peut-être l’état de nos connaissances, pas encore assez avancés, qui fait que nous « bloquons ».
Nous avons ici à l’évidence un exemple des difficultés que présente notre projet. Mais si nous ne le faisons pas, c’est la totalité de l’information qui disparaîtra. En conséquence, même si vous avez connaissance d’un fait ancien, il est important de nous le communiquer afin qu’il soit sauvegardé dans le meilleur état possible.
Information de Mr B. – Enquête et informations conservées dans les archives d’Ovni Maroc
1960 - MAHBES – SUD MAROC
Au cours d'un bivouac nocturne dans la région au sud de Mahbes en 1960, un objet triangulaire avec des lumières vertes et rouges fait connaître sa présence, qui décollent et atterrissent près des soldats
(Source : article dans El Ojo Critico et ANGEL CARRETERO OLMEDO
DEBUT DES ANNEES 60 - CASABLANCA
Encore un témoignage issu de la mémoire des témoins, un cas que nous n’avions pas encore répertorié. Combien de cas similaires sont tombés dans l’oubli ! Preuve à nouveau que la réalisation de cette histoire des « OVNI au Maroc » est utile. Si vous avez des informations sur ce cas, de nombreux témoins, ou sur toutes autres observations, n’hésitez pas à nous le faire savoir.
042 L’ASSIETTE
MULTICOLORE DE CASABLANCA – DESSIN IMAGE DE L’OBSERVATION
Monsieur, N. O. qui est auditeur de Sécurité IT à Paris - France - nous fait part en Juillet 2009 du témoignage de sa grand-mère, aujourd’hui décédée, une observation qui l’a choqué et sur laquelle aujourd’hui encore, il se pose des questions. Sa grand-mère lui a bien souvent raconté cette histoire, véridique car elle est concrétisée par de nombreux témoignages de l’observation d’un objet, au même moment, au même endroit et à la même heure. Ma grand-mère a eu la chance de voir cet objet, proche d’elle, qui de plus.
C'était vers le début des années 60. Et c'était pendant un ramadan. Cette fête religieuse me permet de localiser l’époque, les femmes avaient l'habitude de se lever vers 4h du matin pour préparer le pain dans le four traditionnel (en terre cuite).
L'histoire se déroule à Casablanca dans le quartier « Hay el Mohammadi « (pas loin du Cinéma Saadâ). À l'époque les gens avaient habitude de bâtir en laissant un jardinet au milieu de leur maison. Donc, les portes des chambres avaient "une vue" sur le centre de la maison. Un beau soir d'été, ma grand-mère est sortie vers 3 ou 4 h 00 du matin pour commencer les préparatifs du repas pour le Ramadan, quand elle a remarqué qu’à quelques mètres du niveau le plus haut de la maison, flottait « une assiette ronde » (une assiette selon ses propres termes).
L'assiette tournait autour d'elle à très grande vitesse (ici ça peut aussi être un effet visuel à cause des lumières) ... l'assiette s'illuminait avec des couleurs qu'elle n'arrivait pas à définir (bleu, rouge, orange, couleur de feu). Elle disait qu'elle était comme tétanisée sur place. Elle n'arrivait même pas à crier.
Et tout d'un coup, l'assiette s'est envolée vers le ciel à une vitesse incroyable (elle disait qu'elle avait disparu dans un battement de cil). Autre fait : l'assiette ne faisait AUCUN bruit. Une fois l'assiette disparue, elle a repris ses occupations, sans même dire un mot. Quelques heures plus tard, quand toute la famille s’est levée, elle a raconté sa vision à mon grand-père. Taquin, il lui a dit que c'était la fin du monde !
L'objet était circulaire et se rapproche de la forme d'une "Madeleine". Ma grand-mère avait l'impression, avant sa disparition brutale qu'il remontait doucement vers le ciel (tout en tournant sur lui-même). L'objet était vraiment très prêt de maison ce qui a provoqué d'ailleurs une frayeur immense chez elle.
En fin de matinée, mon grand-père est allé acheter son journal habituel et à sa grande surprise, plusieurs personnes avaient vu le même phénomène que ma grand-mère. Ce sont essentiellement les gens qui se sont levés tôt pour la prière du matin (4h ou 5h) ou qui s’étaient aussi levés le matin comme ma grand-mère, pour les préparatifs de Ramadan. Cette précision rend aussi cette vision plus crédible car elle a été vue par plusieurs personnes. Les gens de cette époque ne parlent pas beaucoup et plusieurs ont choisi de ne rien révéler !!! D'ailleurs, c'était le fait divers de cet été-là apparemment !!!
A propos de la taille de l’objet voilà ce que je retiens de la description qu’en faisait ma grand-mère : « L'objet doit être relativement de taille moyenne, car quand elle faisait les gestes avec sa main ... elle décrivait quelque chose de grand (pas gigantesque… Mais grand). »
Source : Le témoignage reçu directement du témoin en date du 7 juillet 2009 est conservé dans les archives d’Ovni Maroc
FEVRIER 1960 - AGADIR.
Lors du séisme qui détruisit la ville, plusieurs personnes virent une énorme boule jaune lumineuse traversant le ciel. Elle semblait venir de la mer.
(Pierre DELVAL : "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 202)
1960 - CATALOGUE UFOCAT.
33527 BLUEBOOK 3BB 31+ 1960 0915 AF MAR
33559 BLUEBOOK 3BB 56+ 1960 0920 AF MAR
1961 - 1962 - IMILCHIL (HAUT ATLAS)
IMILCHIL : UN BERGER DANS L’ATLAS MAROCAIN OBSERVE DEUX OVNIs
C’est à la suite des divers appels à témoin lancés sur certains sites et blogs qu’un jeune homme d’une trentaine d’année, Youssef, nous a contactés afin de signaler l’observation faite par son père, deux ovnis sur la région d’Imilchil au Maroc.
043 EN ROUTE VERS IMILCHIL
En quelques lignes Youssef relate ce qu’il a entendu de la voix même de son père, aujourd’hui âgé de 65 ans et habitant un douar (village) dans la région d’Imilchil, une petite bourgade située dans le haut Atlas Marocain à quelque 350 kms de Marrakech.
Il s’ensuit de nombreux échanges de mails sur plus d’une année dans le but d’obtenir plus de renseignements sur les objets observés et compte tenu de l’intérêt du cas, de pouvoir rencontrer son père.
Se rendre à Imilchil est une expédition, il faut aussi que Youssef soit disponible afin d’aller sur place rencontrer son père. Ce n’est que le 15 mars 2015 que l’expédition sera mise en place.
Nous ne donnerons pas dans l’enquête les noms et coordonnées du témoin conformément à sa demande et d’autre part ainsi que nous le faisons ici au Maroc, afin d’éviter d’éventuels problèmes.
Départ à l’aube, plus de 350 kms à avaler…. La route est longue, et, si entre Marrakech et El Ksiba la route est à peu près correcte, il n’en va pas de même sur la portion de la R317 qui nous permet de rejoindre El Ksiba à Imilchil. Il s’agit d’une petite route montagneuse, en très mauvais état par endroit (mars 2015) et notre attention se porte constamment sur « les nids de poule » à répétition qu’il faut éviter. Mais impossible, il y en a tellement que nous abîmerons malgré tous les pneus de notre véhicule. Il nous faut aussi traverser de petits oueds, car les ponts n’existent pas sur cette route. Enfin après 8 heures de route (y compris quelques arrêts pour prendre du carburant ainsi que quelques photos) nous arrivons à Imilchil.
044 La kasbah d'Imilchil
Imilchil c’est un petit village berbère niché à 2200 m d’altitude dans l’Atlas, on en fait très rapidement le tour, les habitants sont accueillants et n’hésitent pas à nous parler. Si nous restions quelques semaines, nous n’aurions pas de difficultés à en connaître la majorité des familles…
045 Dans la campagne autour d'Imilchil
Aujourd’hui, ce village dispose d’une route pour y accéder, quoique mauvaise, mais sa majesté le roi du Maroc aurait promis de la remettre en état lors d’un récent voyage à Imilchil ou il aurait séjourné trois jours (dixit les habitants). L’électricité, les soins, les légumes et autres nécessités quotidiennes y arrivent, même si la région est si pauvre que les magasins, faute de clients ayant un pouvoir d’achat minimum, ne disposent que de l’indispensable. Il y a encore quelques décennies, on accédait à Imilchil par d’interminables pistes à travers la montagne. Peu de personne faisaient le déplacement et plusieurs jours de marche. En fait le seul point de rencontre annuel en était l’immense souk d’Imilchil, aujourd’hui transformé en lieu de festival et de culture ou se regroupaient toutes les populations de la région.
046 Dans les rues du village d'Imilchil
Le secteur d’Imilchil regroupe une trentaine de douars et il est habité par plus ou moins 8000 personnes, de rudes montagnards qui portent des djellabas de laine, des gros pulls colorés fait quelquefois par les femmes du village, des collants rouge vif, bleu, vert sous de lourdes jupes multicolores pour les femmes. Des tenues très colorées qui ne peuvent faire que la joie des rares touristes qui recherchent l’authenticité en venant dans ce petit village à l’autre bout du monde… Imilchil et les villages de la vallée étaient réputés autrefois pour leur insoumission au royaume. L’isolement et le peu d’intérêt qu’on leur portait à cette époque fit que durant 10 années de 1963 à 1973, des bandes de résistance se sont organisées, menaçant le pouvoir. Cela se termina en 1973 par un inévitable bain de sang, une insurrection qui fit des victimes. Les bandes organisées, décapitées, le mouvement à l’évidence a compris que ce n’était pas par cette mini révolution qu’ils pourraient concrétiser leurs revendications.
047 FEMME EN HABIT HABITUEL IMILCHIL
Aujourd’hui heureusement, les ânes et mulets qui parcourent à travers cols, montagnes et vallées la route d’Imilchil ne transportent plus de fusils ni de munitions. On peut donc, grâce aux infrastructures en place, admirer sur plus de 100 kms, des paysages de montagne fantastiques, des cols qui se méritent, des fermes typiques nous transportant à l’âge de pierre et des villages en terre, un torchis qui tient l’habitation chaude l’hiver et fraîche l’été, utilisant des matériaux qui sont partout dans l’environnement, qui ne coûtent rien et ne polluent pas. La majorité des maisons d’Imilchil sont construites elles aussi en terre, ce qui nous transporte lors de notre arrivée dans un autre monde. On y trouve la médina, le vieux quartier avec sa Kasbah en bon état. Sur l’autre côté de la vallée, un vieux fort, toujours en activité qui aurait été construit du temps de l’occupation Française et ou sa majesté Mohamed VI aurait séjourné lors de son déplacement à Imilchil, il y a trois ans, selon ce que nous racontent les habitants. Les amateurs de treks et de randonnées trouveront leur bonheur dans ce village, le point de départ de nombreuses escapades à travers les montagnes, assistées de guides locaux avec comme moyen de transport (pour la nourriture et les équipements) l’âne ou le mulet.
LES DEUX LACS « ISLI ET TILSIT »
Mais juste avant d’arriver à Imilchil, c’est une vue grandiose sur le lac Tilsit qui nous attend. À la sortie d’un virage, on aperçoit ce lac. Il y a du soleil, encore des neiges sur les sommets environnants, (il y a encore quelques semaines, 1 m de neige serait tombée localement !) c’est magnifique.
Non loin du lac Tilsit, par une piste de 7 kms environ, on rejoint le lac Isli. Moutons, chèvres et bergers sont les seules âmes à vivre dans cet isolement et parcourir cette piste à travers une belle vallée, des sommets enneigés est une pure merveille.
049 Le lac Isli
Tilsit est un lac oligotrophe de 30 m de profondeur, d’une superficie de 200 à 250 ha en fonction des précipitations qui est alimenté par des eaux de pluie et de fontes des neiges. On notera la présence dans le lac de brochet et du fameux gardon de Tilsit !
Le lac Isli couvre quant à lui une superficie de 2,55 kms2 pour une profondeur de 95 m. Il a l’avantage d’héberger un poisson endémique, la truite fario qui forme probablement un écotype propre à ce lac, celui de la truite « verte ».
048 le lac Tilsit
La profondeur de ces deux lacs à tendance à diminuer au fil des décennies et également à se remplir d’alluvions. Ces lacs dans leur environnement, situé à 4 kms d’Imilchil pour le plus proche, sont des lieux à voir si vous entreprenez un voyage dans cette région.
LA LÉGENDE D’ISLI ET DE TILSIT
050 - Légende des Amoureux Tilsit et Isli
Il était une fois, dans le petit village d’Imilchil, (ce qui veut dire en Tamazight « porte de l’approvisionnement ») deux jeunes amoureux qui s’aimaient d’un amour impossible. Imilchil est situé sur le versant sud du Haut Atlas central, dans le domaine des Aït Hadiddou, à 350 kms au nord de Marrakech. C’est depuis longtemps un lieu où se déroule un souk annuel, l’occasion pour toutes les tribus locales de se rencontrer, de palabrer, de faire des affaires, d’échanger…
Ces deux amoureux s’étaient rencontrés par hasard, lors du souk annuel au village, leurs regards s’étaient croisés, tout de suite ils avaient compris qu’ils étaient faits l’un pour l’autre et que rien dorénavant ne pourrait les séparer. Elle, qui se prénommait Tilsit, est une jeune fille, belle et d’une grande gentillesse, de la tribu des Aït Ya’za, lui est un jeune homme prénommé Isli, grand et souriant, de la tribu des Aït Brahim (deux fractions de la tribu des Aït Hadiddou). Ils ne s’étaient rencontrés qu’une seule fois, une courte conversation, mais c’était juré, ils se retrouveraient pour ne plus se quitter.
Mais à cette époque, ces deux tribus ne cessaient de se faire la guerre. Une rivalité ancestrale, qui était sans fin pour des querelles de « frontière », au désespoir des chefs de tribus de la région et de la majorité des jeunes qui ne comprenaient pas le pourquoi de tant de haine pour rien. A la mort des anciens, aucun n’emporte ces terres !
Quelques temps après, l’amour étant le plus fort, sans se concerter, Tilsit demanda à sa mère la permission d’épouser Isli. Elle en parla immédiatement à son père qui se mit dans une grande colère. Il n’était pas question que Tilsit épouse un « renégat » de la tribu des Aït Brahim ! De son côté Isli fit de même, il fit la demande à son père qui n’acceptait pas lui aussi qu’il épouse une fille de ces bandits d’Aït Ya’za.
A ce temps-là, et souvent encore aujourd’hui, ce sont les parents qui décident pour les enfants, avec qui ils vont se marier. Cette règle était intangible, tous les enfants la respectaient, comme ils respectent leurs parents. Ils le savaient, mais dans ce cas qui fait exception, leur amour était si fort qu’ils ne pouvaient pas respecter cette règle.
Ces deux jeunes célibataires s’aimaient d’un amour pur, sans limite, d’une profondeur telle qu’ils ne pouvaient envisager de vivre séparés. Isli décida de quitter la maison de ses parents dans l’intention de rencontrer Tilsit et de partir avec elle. Il se rendit au village des Aït Ya’za, surveilla la maison de son amoureuse et dès qu’elle est sortie, il s’empressa de la rejoindre. Les deux amants sans réfléchir et sans hésiter se sont enfuis, instinctivement, et en courant vers la montagne d’Issian. (Ce qui veut dire la montagne des mariés)
Quand ils arrivèrent sur la montagne d’Issian, à bout de souffle, ils se sont assis et ils ont parlé. Bien vite, ils se sont rendu compte de la portée de leur action. Quitter leurs parents, leurs frères, la famille et les amis, c’était trop dur. Mais ils ne pouvaient plus faire marche arrière. Trop tard… Ils se mirent alors à pleurer, à pleurer encore…. Cela dura des jours entiers. Les larmes étaient si importantes qu’elles ont constitué deux lacs, qui portent aujourd’hui leurs noms : les lacs d’Isli et de Tilsit.
Que faire, ils sont conscients qu’ils ont commis une grave erreur en désobéissant à leurs parents et en s’enfuyant. Mais, leur honneur, leur amour est en jeu : ils ne peuvent plus rentrer à leur maison. Ils préférèrent alors se noyer chacun dans le lac qui porte aujourd’hui leurs noms, que de se quitter. Depuis cette terrible journée, on dit dans la région que chaque nuit, ils sortent des lacs pour se rencontrer.
La mort des deux amoureux est aujourd’hui célébrée chaque année par une grande fête, le moussem des fiançailles qui est organisé chaque annuellement à Imilchil. Cette rencontre populaire est fréquentée par toutes les tribus de la région, des milliers de touristes et elle rassemble tous les célibataires qui cherchent à se marier…
On notera que les noms de ces deux lacs, Isli et Tilsit, dans la langue Tamazight se traduit par « le marié » et la « mariée » !
QUANT LES MÉTÉORITES S’EN MÊLENT
Imilchil et ses lacs, est sans aucun doute un pays de légendes, mais c’est aussi un pays où se déroule un enjeu scientifique que se sont accaparés deux équipes de chercheurs en tentant de percer l’origine de ces étranges lacs.
051 La météorite qui dérange
La polémique est née à a suite de la publication en fin 2012, de travaux effectués par l’équipe composée de chercheurs, professeurs, entre autres Messieurs Hassan Nachit, Abderrahmane Ibhi et El Hasan Abia de l’Université ibn Zohr d’Agadir. Ils sont partis de recherches faites en laboratoire et directement sur le terrain et à partir de fragments de météorites qui ont été retrouvées sur les deux rives des lacs Isli et Tilsit. Tous ces éclats de météorites appartiennent à une seule et même météorite qui a éclaté lors de sa chute, en entrant dans l’atmosphère. En conclusion la même origine pour tous ces fragments que l’on trouve sur les lieux et dans les environs et qui sont depuis quelques années vendus localement et sur internet sans aucun problème aux touristes et spécialistes en météorite. Sur le terrain des indices montrent que sur le bord de ces lacs, dans les différentes couches sédimentaires, ce type d’éclat est présent. Ils en déduisent que ces deux lacs ont pour origine l’impact d’une météorite qui se serait fracturée en deux avant sa chute, il y a de cela environ 40 000 ans. Donc deux cratères ayant pour origine la chute d’une météorite d’environ 120 m de diamètre qui aurait formé ces deux lacs. En fait deux lacs d’origine « extraterrestre » !
Cautionnée par de nombreux universitaires Marocains ou appartenant à d’autres pays, les chercheurs d’Agadir sont certains de leurs conclusions largement évoquées dans la presse Marocaine, internationale et au sein du milieu scientifique spécialisé dans le monde. Mais voilà qu’en été 2013, l’équipe du Professeur S. Chaabout du laboratoire GAIA de la faculté de Sciences de Aïn Chock de l’université Hassan II de Casablanca qui a le soutien elle aussi de nombreuses « sommités » et après une étude au printemps 2013 sur les lieux, arrive à d’autres conclusions !
Pour l’équipe Chaabout, les deux lacs ont une origine tout à fait naturelle et elle apporte, selon elle, la preuve du non impact de météorite dans l’origine des lacs d’Imilchil. Elle constate qu’aucune fracture conique n’a été notée, que les couches qui entourent les lacs ne sont pas retournées et que toutes les couches et diverses structures sédimentaires sont totalement liées aux défauts du reste du plateau. Elle illustre ses travaux d’une cartographie précise des environs des lacs qui montre qu’il n’y a pas de déformation importante des roches et différentes couches géologiques qui laisserait penser qu’un cataclysme aurait creusé ces deux structures. La géologie locale est en accord avec l’idée d’une formation des lacs dans un bassin synclinal comme étant le résultat de la tectonique terrestre, ce qui, selon l’équipe du Pr Chaabout, a déjà été mis en évidence il y a bien longtemps.
Origine terrestre ou origine extraterrestre de ces lacs, la polémique est encore à ce jour ouverte. Tout cela contribue à faire de cette région, un lieu où le mystère et les légendes y sont nombreuses et se confient en tête à tête lors des réunions de famille. Il n’est donc pas étrange aussi qu’ici, comme dans de nombreuses régions du Maroc, on parle aussi de la visite d’OVNIs comme étant des engins qui pourraient venir d’un autre monde. On trouve dans la région des témoignages de ces apparitions. Nous avons enquêté sur l’un d’eux, en nous rendant sur le terrain, sur les lieux même de l’observation.
L’ARRIVÉE CHEZ LE TÉMOIN
052 Le témoin, Berger: son troupeau de mouton dans la montagne.
Situé à une dizaine de kms d’Imilchil, par une petite route puis ensuite une piste, accueilli par les aboiements des chiens, nous arrivons à une petite maison locale, typique en terre et Youssef me présente son père qui vit essentiellement de l’élevage en compagnie de ses troupeaux de moutons, chèvres…. Lui, Youssef, il a eu la chance, très jeune, de quitter le bled pour la ville où il a occupé de nombreuses professions les plus diverses, puis au contact des touristes il à appris et il parle aujourd’hui plusieurs langues. Il est vif et intelligent. Son père et sa famille sont restés ici, pour rien ils ne quitteraient leurs montagnes ou ils mènent une vie paisible, naturelle, très pauvre, loin du stress et des tracas liés à la vie citadine. Après un traditionnel thé, je décide de les quitter et de chercher un hôtel au village afin de ne pas les déranger plus longtemps et de permettre à Youssef d’échanger avec son père. Il y a plus de deux années qu’il n’était pas revenu chez son père. Nous parlerons le lendemain matin de l’observation.
Le lendemain à la première heure, je rejoins la famille de Youssef. Après divers palabres, nous évoquons l’observation, les propos du père qui ne parle que le dialecte local étant traduits par Youssef.
C’était en 1961 ou en 1962, l’été en juillet ou août, il avait environ 12 ans et il gardait déjà un petit troupeau de moutons que son père lui avait demandé de sortir car la veille il avait plu. Ce jour-là, le ciel était parfaitement dégagé, pas un nuage, un beau ciel bleu, du soleil. Il était, à quelques kms de la maison et il menait le troupeau vers la vallée. Il devait être 15 h 00 ou 16 h 00. Il se situait alors à mi-hauteur, sur les montagnes surplombant la vallée.
LE PREMIER OBJET
053 - Le passage du 1er objet - OVNI - UFO
Il avait une bonne vision du ciel, une vue 10 sur 10 et il est habitué à scruter l’horizon, et soudainement il voit arriver, se déplaçant par bonds successifs, un objet lumineux qui traverse l’espace en 3 ou 4 secondes. L’objet était très rapide, il l’a vu arriver dès qu’il était visible à l’œil humain, l’a suivi sur son parcours et l’a parfaitement vu disparaître s’estompant dans le lointain.
L’objet lumineux d’un blanc brillant, comme une lumière vive et blanche, avait une dimension qu’il estime à 5 ou 6 fois la grosseur de la plus grosse étoile. Il semblait à une hauteur élevée, similaire à un avion de ligne qui se présente comme un petit point lumineux à très haute altitude. Ses contours ne sont pas délimités avec précision, mais un peu flou. Sa grosseur n’a pratiquement pas varié comparée à celle qu’elle avait lorsqu’il l’a vu arriver, puis passer pratiquement à sa verticale au moment où il a disparu. L’objet se déplaçait rapidement d’Est en Ouest et par bonds successifs très rapides. La durée de visibilité entre deux bonds était inférieure à une seconde et aux deux extrémités du bond, l’objet s’arrêtait également moins d’une seconde. Mais la position fixe de l’objet était nette ce qui mettait en évidence le déplacement. L’objet a parcouru l’espace en 4 ou 5 bonds successifs. L’objet ne perdait apparemment pas d’altitude et se déplaçait en ligne droite en tenant compte de la courbure du ciel visible d’Est en Ouest. La hauteur angulaire de l’objet se situait aux environs de 80° car il n’était pas tout à fait à la verticale du témoin. Au passage de l’objet le témoin n’a entendu aucun bruit. Un silence total et dans l’environnement ou il se situait, il aurait entendu le moindre sifflement ! Le témoin avait une excellente vue à cette époque (et il en a toujours une excellente aujourd’hui !), habitué à regarder dans le lointain il parvient même à distinguer de nombreux détails que les personnes habitant la ville ne peuvent pas voir. Avec une profondeur de champs constamment illimitée, sa vue est très développée. Durant le temps que dura l’observation, il n’a cessé d’observer ce phénomène qu’il ne comprenait pas. On ne parlait pas d’ovni à ce temps-là, les informations ne circulaient pas et c’est récemment qu’il a acquis avec l’aide de ses fils, une télévision qu’il branche sur une batterie et il peut ainsi capter grâce à une parabole de nombreuses chaînes. Il a parfaitement en mémoire cette scène qu’il a évoqué uniquement à sa famille. Après que l’objet ait disparu dans le lointain, il a continué à s’occuper de son troupeau comme s’il ne s’était rien passé. Il en a parlé seulement en soirée à sa famille. Personne n’a pu donner de réponse quant à l’identification de cet objet.
Une analyse dans le contexte étudié nous permet de ne pas douter du témoin qui décrit ce qu’il a vu, sans ajouter de commentaire car bien évidemment, pour lui les ovnis, c’est de l’inconnu et il ne pensait même pas que cela pouvait intéresser la science ! Nous pouvons penser que cet objet pourrait être une rentrée atmosphérique d’un débris de fusée ou autre, toutefois, à l’époque les lancements étaient rares. Les arrêts de l’objet ne correspondent pas à ce type d’objet. Ce n’est donc qu’une hypothèse, rien ne peut la prouver compte tenu que nous n’avons pas précisément la date de l’observation de ce phénomène qui reste encore non identifié, faute de précision sur ce cas.
LA DEUXIÈME OBSERVATION
Le père de Youssef avait repris depuis environ 5 minutes son travail de « berger » quand, regardant le fond de la vallée, direction Est, il observe un second objet, à basse altitude, à quelques centaines de mètres de hauteur par rapport au sol, (nous sommes sur un plateau à plus de 2200 m d’autre part) passé lentement dans son champ de vision. L’objet se déplace à faible vitesse, en ligne droite, se dirigeant lui aussi vers l’Ouest.
Il s’agit d’un objet de forme allongé, ovale de la grosseur d’une voiture. Il dira qu’il avait 5 ou 6 m de long. L’objet était de couleur métallique, mais ne brillait pas et ses contours semblaient nets. À l’ombre de la vallée, aucun reflet du soleil sur l’objet, donc une couleur métallique uniforme ou se dessinait seulement la forme ovale, comme un ballon de rugby (libre interprétation de l’enquêteur compte tenu de la description du témoin.) Il ne peut pas en donner la largeur, mais c’était comme enflée en son centre.
054 - Le témoin et ses moutons devant le spectacles en premier lieu passage d'un objet lumineux qui se déplace par bonds et en second lieu, dans la vallée, un ovni de forme ovale gros comme une voiture qui passe tranquillement aux pieds des montagnes..
L’objet se déplaçait à la vitesse d’un avion à moyenne altitude, dira le témoin. Il a donc eu largement le temps de le voir. Il estime la durée de cette observation à 5 minutes à partir du moment où il l’a vu apparaître de l’Est et disparaître dans le lointain vers l’Ouest. Son déplacement était rectiligne, sans arrêt, ni changement de vitesse et il n’a vu aucune variation de sa couleur. La distance qui le sépare de l’autre versant de la vallée est probablement d’environ 2 kms, ce qui nous interdit de donner réellement avec précision les dimensions de l’objet, qui sont en tout état de cause aléatoires dans le présent cas.
055 Paysage en se rendant sur Imilchil
L’observation a eu lieu entre 15 h 00 et 16 h 00, au cours d’un après-midi d’été en 1971 ou 1972 près d’Imilchil, dans l’Atlas Marocain. Le témoin à aujourd’hui 65 ans. (Rédigé en 03-2015). L’observation se fait à l’œil nu, le témoin est doté d’une excellente vision. Le ciel était clair, d’un bleu pur, sans nuages. L’objet se trouvait dans la partie située à l’ombre de la vallée, le soleil ne n’éclairant plus en totalité. (Détails fourni par le témoin). Après la disparition de ce second objet, le témoin a repris la garde de son troupeau et il a poursuivi son travail, tout en étant intrigué par cet objet qu’il n’avait pas été en mesure d’identifier.
056 Paysage de montagne prés d'Imilchil L’étude de ce cas nous amène à penser à un hélicoptère, bien que le témoin nous ait confirmé que dans ce deuxième cas, il n’avait pas entendu de bruit. Des hélicoptères dans la région, dira le témoin, il n’y en a pas, je n’en ai jamais vu ! Il les connaît toutefois pour en avoir vu lors des rares voyages qu’il a fait à la ville avec ses enfants. Mais il précise bien qu’à cette époque, à la date de son observation, il n’en avait jamais vu et qu’il ne connaissait pas l’existence de ces appareils. Excepté cette hypothèse, bien fragile, (pas de présence d’hélices ou de palmes, pas de queue de l’appareil, contour bien définis…) Nous n’avons pas été en mesure de donner une explication à cette observation.
Une double observation, dans une région reculée du Maroc, qui reste encore classées parmi les « objets volants Non Identifiés ». L’étude de l’environnement et du contexte général de la région nous permet de constater que c’est un pays de légendes, mais que ces légendes liées à des lieux aujourd’hui touristiques, sont artificielles (Isli et Tilsit, deux jeunes gens qui s’aimaient…) et qu’elles ont été créés afin de donner un plus à la région pour en favoriser le tourisme et son développement. Le fait que cette région ait été longtemps isolée du monde nous apporte des précisions sur son contexte, mais elles n’ont aucune incidence sur les observations faites par le témoin, observations qu’on retrouve d’une façon similaire, dans les quatre coins du monde. Nous n’avons trouvé aucune influence de toutes ces études sur le comportement du témoin vis-à-vis de ce qu’il a observé.
Enquête sur place à Imilchil au Maroc de Gérard LEBAT
Mars 2015
Source : Courriels avec le fils du témoin et enquête sur place auprès du témoin
4 JUIN 1962 CASABLANCA
Une observation signalée par un lecteur qui la situe le jour où Johnny Halliday donnait son concert aux arènes de Casablanca. La presse en aurait parlé.
057 Casablanca le jour du concert de Johnny Halliday !
Nous n’avons pas à ce jour plus de détails. Objet visible à partir de la scène, Johnny Halliday aurait même arrêté son spectacle pour regarder le phénomène. (Selon le témoin). La date a été retrouvée, il s’agit du 14 juin 1962, jour où Johnny donnait une représentation à Casablanca.
1964 - CATALOGUE UFOCAT.
37184 37183 CONDON CU STUDY 3CCN N 1964 0209 1835 FES AF MAR
37184 NICAP 3N 1964 0209 1835 FES AF MAR
37183
37185 CONDON CU STUDY 3CCO 1964 0209 FES AF MAR
09 FEVRIER 1964 – SIDI IFNI
Le 9 Février 1964, un membre de Barcelone Badalona Baetulo Observatoire) a photographié un objet inconnu qui pourrait bien être un classique "objet volant non identifié ». L’événement a eu lieu à Sidi Ifni. La publication française L'Astronomie a rapporté l'observation dans son émission mai 1964.
Source : JJ Benítez et ANGEL CARRETERO OLMEDO
http://andaluciamisteriosa.es.tl/Avistamientos-en-el-Sahara-Espa%F1ol.htm
1965 – LAYOUNE OU EL AYUN – Date inconnue.
Location. Near El Aaiun Morocco (formerly Spanish Sahara)
Date: 196
Time: unknown
Carmen Yague, médium et voyante, a rapporté avoir rencontré un objet en forme de disque atterri dans une zone à l'intérieur de certaines dunes de sable. Autour de l'engin, elle vit plusieurs silhouettes ressemblant à des hommes portant des tenues blanches scintillantes. Sur la poitrine, les humanoïdes avaient ce qui semblait être une grande figure en forme de H et ce qui semblait être des nombres binaires. Pas d'autres informations.
Informations complémentaires :
El-Aaiún (également translittérée « Laâyoune » ou « El Ayun »), est une ville du Sahara occidental et une ancienne colonie espagnole. Occupée par le Maroc depuis 1976, El-Aaiún est la capitale de la région marocaine de Laâyoune-Boujdour-Sakia El Hamra.
HC addendum
Source: Ignacio Darnaude, UMMO File. Albert Rosales –USA-
Complément d’information : canular !
Ce cas est considéré comme « une pure invention » en Espagne. En effet le témoin, habitant Madrid, est connu dans le milieu ufologique Espagnol pour avoir constamment varié dans les explications relatives à sa rencontre, notamment sur le nom ou l’origine des êtres. Les pierres (au nombre de trois) qui lui auraient été remises par les humanoïdes rencontrés près de Laâyoune, d’apparence métallique, auraient été selon Carmen Yague analysées par la Nasa. Ceci est totalement faux et a été confirmé par des représentants en Espagne de la Nasa. Carmen Yague prétend que ces pierres ont des pouvoirs de guérison et depuis de nombreuses années elle se sert de ce « support » pour donner des consultations payantes en cabinet. On comprend tout de suite, qu’il ne faut pas insister sur cette affaire, à classer.
Sources : échanges privés avec M.P, ufologue Espagnol qui connaît bien ce dossier.
10 JUILLET 1965 – SAFI (situé au 18-19 ci-dessous)
Mr Mansour Chaa et Mr Abderhamane observent une très grande boule dans le ciel. Pas d’informations détaillées, le cas ayant été relevé lors d’une conversation au cours d’une réunion du GERU et signalé par son Président, le GERU enquête sur le phénomène OVNI dans le Nord de la France. Au cours de nos recherches, nous avons retrouvé la mention de son observation dans les archives du site Tiscalinet en Italie. Mais toujours pas beaucoup de détails sur cette observation.
Source GERU
18 – 19 JUILLET 1965 - SAFI.
Monsieur Mansour Chaa de Safi (à 250 km au Sud de Casablanca) est un homme crédible, qui travaillait en 1965 comme vice-directeur à l’embarquement au port et qui dans la nuit du 18 au 19 juillet, en profitant de la fraîcheur de la nuit obscure, regardait le ciel, quand il observa tout à coup une boule lumineuse, brillante et rapide qui traversait le ciel à grande vitesse. Cet OVNI a également été observé à l’aide d’un théodolite par le docteur Abderrahmane Louane, directeur de la station météo de Safi ; Mr Louane vit cet objet filer à grande vitesse vers l’ouest. Le même objet ou un autre très similaire fut signalé une heure plus tard près de Nice en France.
Source : http://web.tiscalinet.it/lareteufo/marocco3.htm
18 – 19 JUILLET 1965 - SAFI. (SOURCE DIFFERENTE – Journal La Croix)
Mansour Chaa observe depuis une falaise bordant la ville, une boule brillante lumineuse qui traverse l'espace à grande vitesse. Abderrahmane Louane, chef de la station météo repéra l'objet au théodolite. Il se déplaçait vers l'ouest. Journal : La Croix 16 octobre 1954)
1966 – RABAT
Je m'appelle Mohammed, en 1996 j'ai fait une observation à Rabat vers 22 h 00 du balcon de ma chambre à la cité universitaire " Suissi 2 ». J'ai vu un objet dans le ciel qui change de couleurs du rouge au blanc et au jaune, au début j'ai cru que c’était les oscillations d'une étoile (variation des couleurs due à la densité de l'air ou quelque chose dans ce sens). D’un seul coup l'objet a commencé de bouger de gauche à droite et vice versa (cela a duré 20 secondes), subitement l'objet a disparu. J'avais des doutes que c’était une étoile je regardais de temps en temps vers l'emplacement de l'objet en me disant que c'est peut-être une étoile qui a été cachée par un nuage, l'objet n'a pas réapparu pendant une heure ou je guettais pour m'assurer que ce n'est pas une étoile qui va réapparaître après le passage du nuage. Je me suis dit aussi que c'est une supernova pour expliquer la disparition subite de l'objet lumineux, mais après des recherches sur les supernovæ qui ne peuvent pas être visibles à l’œil nu à partir de la terre, j'étais convaincu que c’était un OVNI que j'ai observé.
Il s’agit ici d’un témoignage direct, du témoin, reçu par Mail. Nous avons demandé un complément d’information et nous espérons pouvoir compléter cette observation.
Source : Témoignage par mail de la part du témoin. Juillet 2008. Dossier conservé dans nos archives.
12 JANVIER 1967 – AGADIR
Le rapport d'Agadir reprend et traduit deux articles parus dans Le Petit Marocain du 14 avril 1967. Le rapport dit : « Les deux rapports sont contradictoires, mais indiquent un haut niveau d'intérêt local pour le sujet des OVNI. »
Science-fiction ou science ?
Un objet lumineux traverse le ciel et tombe dans la mer. Ce phénomène s'est produit jeudi soir. Désaccord total entre les témoins : certains disent qu'il y a eu une grosse explosion, d'autres affirment qu'ils n'ont rien entendu.
Et l'autre article :
Jeudi, (DONC 12 JANVIER 1967) vers 19h30 (19h30), le ciel au-dessus d'Agadir a été traversé par un objet très lumineux, volant dans la direction nord-est vers sud-ouest. La traînée blanche laissée par l'objet s'est transformée en un arc-en-ciel. L'objet est tombé dans la mer avec un bruit assourdissant, selon certains témoins. Est-ce l'une de ces roquettes qui échappent à tout contrôle de temps en temps ? C'est possible, mais l'idée qu'il pourrait s'agir d'une météorite prévaut parmi la population.
Texte traduit de l’anglais par un membre d’OVNI Maroc. Document rendus public et disponible aux Archives nationales des États Unis.
058 Document CIA du
18-01-1967 observation AGADIR DU JEUDI 12 JANVIER 1967
28 MARS 1967 - KASBAH TADLA
Petit Marocain, 2 April, 1967 Flying Saucers over Kasbah-Tadla.
Plusieurs personnes auraient vu le 28 mars 1967 vers 19 h15 un objet rond de 8,5 mètres (une dizaine de pieds) de diamètre atterrir sur le toit d'une maison dans « Ancien-One », puis reprendre son vol et disparaître dans le ciel. Selon les informations données par un témoin, un ancien élève de l'école et maintenant étudiant à Marrakech, l'objet glissait dans un mouvement circulaire, puis se tenait à 50 centimètres (environ deux pieds) au-dessus de leur toit. Il semblait avoir une forme longue, avec deux extrémités distinctes, mais il a repris sa forme circulaire en tournant sur lui-même et en transmettant une lumière rouge vif. Des voisins, des passants et des enfants auraient regardé pendant quelques secondes ce spectacle inhabituel.
Source : http://margotmystic.wordpress.com/2007/08/14/ufo-sightings-in-morocco-in-1967/
Document Défense Américaine : http://209.132.68.98/pdf/moondust_dod_6april1967.pdf – Traduction de l’anglais par OVNI Maroc.
059 Doc DEFENSE AMERICAINE DU 6 AVRIL 1967 - OBSERVATION KASBAH TADLA DU 28 MARS 1967

15 AOUT 1967 - KENITRA
Ce n'est pas remarquable par rapport à d'autres observations, mais c’est une chose qui est restée dans ma mémoire. J'étais un jeune Marine envoyé au Maroc, attaché aux forces armées Royale « Sharifan ». Je devais avoir un code de sécurité « top-secret ». La Marine avait des installations de communication au Maroc, du moins c'est ce qu'on m'a dit. Sur ma base à Sidi Yahia, il y avait un bâtiment « interdit à tout le monde » où nous n'étions pas autorisés à nous rendre. (Ce n'était pas un grand bâtiment, peut-être 3000 pieds carrés).
L'installation a été supprimée depuis et le bâtiment a retrouvé un statut identique aux autres bâtiments de la base.
J'étais assis sur un banc vers 9 h 00 le matin, attendant un bus qui devait me conduire à Kenitra pour une permission. Je parlais en français à un ami marocain qui travaille sur la base. J'ai alors vu une dans le ciel un objet ressemblant à une étoile et qui se situait en face de nous. J’ai dit à mon ami que c'était notre nouveau satellite de télécommunications, Telstar. Enfin c’est ce que je pensais. Ensuite, Telstar s'arrêta net. Puis il fit une série de manœuvres impossibles pour un tel engin, y compris des virages très prononcés, à angle droit, à une vitesse très lente. Après quelques minutes, l'objet a filé vers l’horizon, à une vitesse rapide, peut-être un 1/4 de seconde. Mon ami m'a regardé et m'a dit : "Soucoupe Volante" qui est la traduction française pour "Flying saucer ou Ufo".
Je n'avais pas bu. Je n'ai jamais été d’ailleurs un grand buveur. Le ciel était clair et la vision était aussi claire et nette, comme on peut s’y attendre dans un environnement désertique. J'ai parlé de mon observation dans le « squadbay » et le commandant de la compagnie, m'a convoqué à son bureau. Il m'a demandé si je voulais rapporter cette observation d’OVNI. Je lui ai dit que je n'en avais pas particulièrement envie. Il a répondu que je ne devais donc pas en parler dans le « squadbay ». Je donne mon accord et je suis resté discret sur cette apparition.
Je ne me souviens pas qu’il y ait eu chez moi un « temps manquant ». Je n'ai jamais eu d'autres expériences étranges autant que je sache. Il m’est déjà arrivé de rêver et de penser aux histoires de « soucoupes volantes », mais rien de plus
Source : Mufon - USA
14 MARS 1968 – DAKHLA (VILLA CISNEROS) – LAS PALMAS
UN OVNI ESCORTE LE FOKKER 27 DU COMMANDANT CIEUDAD
Ce cas nous a été signalé par Jacques GANDINI, auteur de plusieurs ouvrages et guides sur le Maroc. (1)
Il se déroule à l’époque ou l’Espagne avait encore en main le « Sahara Espagnol ». Il concerne un vol sur Fokker 27, allée et retour, entre Palmas aux Canaries et Villa Cisneros aujourd’hui appelé Dakhla, dans le sud du Maroc d’aujourd’hui. Ce cas a été traité, entre autres, par Alfonso Ferrer et JJ Benitez, deux auteurs et chercheurs Espagnol et ce condensé a été établi à partir de leurs travaux. Certaines retranscriptions dont nous sommes inspirées dans le texte sont de S. Corrales et IHU.
060 CARTE DU SUD MAROC ET TRAJET DU FOKKER 27
Nous nous situons le 14 mars 1968, un Fokker 27 appartenant à la compagnie Iberia assure un vol allée et retour entre la ville de Las Palmas aux Canaries et Villa Cisneros dans le Sahara occidental, aujourd’hui la ville de Dakhla dans le sud de l’état Marocain.
Le vol ne présente aucun souci, aucune anomalie et se déroule normalement jusqu'à son arrivé à Villa Cisneros ou le Fokker 27 se trouve escorté sur sa gauche par une boule lumineuse ronde, une lumière, inhabituelle et dont l’identification n’est pas possible.
Il se trouve alors à 2000 pieds et alors qu’il commence ses manœuvres d’approche de l’aéroport, le second pilote, Paco Andreu, observe une lumière sur sa gauche, qui vole parallèlement à l’avion. Alors que le pilote entame ses manœuvres d’approche pour atterrir, il constate que l’objet inconnu s’éloigne rapidement dans l’espace et disparaît après avoir traversé l’aéroport et survolé la tour de contrôle.
Paco Andreu est le second pilote, le commandant de ce vol est Andrés Ciudad Aldehuela, tous deux sont des pilotes expérimentés ayant un grand nombre d’heures de vol et une excellente expérience sur ce type d’appareil. Ils sont des habitués de la ligne. Ces deux pilotes ont été entendus par les autorités mais aussi par les deux enquêteurs et auteurs spécialistes du dossier ovni cités précédemment. Des enregistrements de ces rencontres ont été faits, l’un était disponible sur le net (en langue Espagnole) : http://www.ivoox.com/encuentro-aereo-ovni-tumba-abierta-audios-mp3_rf_130022_1.html
061 - POSITION OVNI AU COURS DU VOL Mais revenons à cette observation. La lumière descend en parallèle de l’avion avec le même angle de descente que celui du Fokker 27 et à la même vitesse.
Paco la décrit comme étant : « C’était comme un grand disque lumineux blanc aux contours bien définis et avec une lumière très forte. »
Paco Andreu demande alors au commandant Andres Cieudad s’il est possible de contacter la tour de contrôle afin de confirmer la présence de la lumière qui nous suit. Les deux pilotes pensent qu’il s’agit d’un avion à ce moment-là. La tour de contrôle est contactée afin de confirmer et obtenir des infos sur le vol que nous observons sur la gauche. Après quelques secondes, la tour de contrôle répond qu’il n’y a aucun trafic dans la zone. Les deux pilotes sont surpris par cette réponse, mais poursuivent dans la foulée leur procédure d’atterrissage. La lumière descend accompagnant l’avion, sous un angle d’environ 5 – 10 degrés, puis monte à 60 – 80 degrés et s’élance à grande vitesse vers l’espace pour disparaître dans l’infini. L’atterrissage quant à lui se passe bien, pour la sécurité des passagers l’avion est rapidement immobilisé.
Au sol, les pilotes discutent avec l’agent de piste de la Cie Iberia ainsi qu’avec un médecin militaire de la légion, grand fan d’astronomie. Ils n’ont rien vu, ils sont sceptiques sur ce que nous leur décrivons et la plaisanterie est de rigueur.
Mais le temps passe vite, les passagers pour le vol retour sont montés à bord et il est pour nous temps de rejoindre le poste de pilotage. Installés aux commandes de l’avion, les pilotes roulent vers la fin de la piste, s’alignent pour le décollage et demandent l’autorisation du « top départ ». L’autorisation reçu, l’avion décolle. Il n’y avait pas une minute que nous étions dans l’espace que nous recevons un appel de la tour de contrôle :
- « … vol Iberia 372, vous avez une lumière sur votre droite ! »
Nous regardons, c’est une lumière identique à celle qui nous avait accompagné pendant la procédure d’atterrissage. Elle est de retour !
Les pilotes répondent : « Oui, oui, nous la présence d’une lumière en vol à côté de nous… »
La tour : « Pouvez-vous nous dire si cette « chose » peut compromettre la sécurité des vols »
Les pilotes : « non pour le moment, si elle tient sa position, elle n’affecte pas notre sécurité »
062 POSITION DE L'OVNI AU DESSUS DE LA TOUR DE CONTROLE
La tour : « eh bien pour votre information, je peux vous dire que vous avez roulé sur la piste, à ce moment la lumière passe au-dessus de l’aéroport, volant très bas et émet des flashs bleu et rouge. Puis l’objet s’est arrêté au-dessus des bâtiments qui longent la caserne de la légion. L’objet a été observé à partir de l’aéroport avec des jumelles et le médecin, amateur d’astronomie, a été consulté. Tous les observateurs ont confirmé que ce n’était rien de connu à l’époque et ont signalé que durant le survol de l’aéroport, la lumière n’émettait aucun bruit de moteur. »
Les pilotes décollent, constatent l’immobilité de l’engin. Quand ils ont pris de l’altitude, la lumière s’est mise en mouvement et a commencé à suivre le Fokker en se calant sur sa vitesse, tout comme elle l’avait fait durant l’approche et l’atterrissage du précédent vol. Les pilotes vérifient les équipements de navigation, la radio et constatent que tout est OK.
Par la suite, l’agent de la circulation (Eusebio Moratilla) confirmera au pilote : « Quand vous avez roulé du parking à la piste, l'objet est passé au-dessus la tour de contrôle et il s'est arrêté au-dessus de la caserne de la Légion. Il semble avoir anticipé le lancement de Fokker… » Les pilotes ne pouvaient pas le voir à ce moment-là, occupés par les procédures de décollage.
L’astronome amateur, médecin quant à lui il déclare : « J'étais sur une zone de l’aéroport. J’ai observé la lumière avec des jumelles 7 x 50 et j’ai bien vu cette lumière ronde, très lumineuses aux contours bien définis. À ce moment-là, le Fokker d commandant Ciudad venait de décoller. L'OVNI se déplaçait du sud vers le nord, c'est à dire, dans le même sens que l’avion. J'ai laissé les jumelles à l'officier de service de l'aérodrome et je suis allé à la tour de contrôle qui était en conversation avec le Fokker. »
La tour de contrôle insiste sur la sécurité et souhaite être immédiatement informé si l’objet inconnu compromet le vol. Nous les avons en conséquence tenus informé en permanence de l’évolution de la « chose ». Lorsque le Fokker est arrivé à son altitude de croisière, environ 5000 mètres ou 15000 pieds, l’objet qui les accompagne commence à vaciller et se calle exactement sur notre altitude. Puis ensuite, l’objet se déplace au-dessus de nous, puis parfois en dessous de nous, se place à nouveau au-dessus de nous tout en se déplaçant à notre vitesse, toutefois dans des manœuvres à vitesse rapide. Il répète à plusieurs reprises ces déplacements, d’une façon aléatoire, semblant nous examiner sur tous nos côtés.
063 MANOEUVRE DE L'OVNI EN COURS DE VOL Paco précise lors d’une interview : « notre vitesse était d'environ 210 nœuds. C’est, environ 420 kilomètres à l’heure. Parfois l’objet montait et descendait, et il a également changé la couleur du blanc à l'orange. Je me souviens que lorsque nous avons commencé la descente à Las Palmas nous l’avons perdu dans les nuages. »
Nous ne comprenions pas ce que nous voulait cet engin, nous étions stupéfaits. Aucun avion ou engins connus ne pourrait faire ces manœuvres aussi dangereuses et aussi acrobatiques.
L’avion a poursuivi son vol et après 1 heure et demie, il arrive, sans dégât, en vue de Las Palmas. Les pilotes commencent la procédure de descente, des nuages stratiformes sont présent près de l’île, ils descendent à travers les nuages et ne distinguent plus parfaitement la lumière, observant parfois des étoiles. L’étrange lumière ne pouvait donc plus être observée clairement.
Nous avons atterri sans problème. Lorsque les passagers étaient descendus, quittant l’appareil, nous constatons que la presse est déjà à l’aéroport. On peut supposer qu’elle a été prévenue par téléphone par un membre de la tour de contrôle.
Dans les interviews, on peut apprendre :
Qu’elle était la taille de la lumière, pourriez-vous nous donner plus de détails ?
Paco Andrieux répond : Eh bien, comment pourrais-je mieux le décrire ...C’était une source de lumière comme un phare d'avion qui est sur le terrain, une forte lumière, mais ce n'était pas une lumière projetée. C’était comme une sphère lumineuse.
À quelle distance était l’engin ?
Paco : « C’est très compliqué… elle était à notre droite par moment lorsque nous étions en direction de Gran Canaria, nous avions l’horizon du désert pour point de repère…. Sans villes, sans présence de lumières ou de tout ce qui pourrait nous donner un calcul sur la distance, je ne peux pas donner de réponse précise… ça aurait pu être à 2 ou 3 miles, mais aussi à 50 miles car la « chose « peut être gigantesque… »
C’est vraiment intéressant, peut-être la plus intéressante observation d’un ovni, surtout venant d’un aviateur expert comme vous. Avez-vous rejeté la possibilité qu’il pouvait s’agir d’une manœuvre militaire ? Vous pouvez parler de la présence d’une base militaire à proximité ?
Paco Andreu : « Vous pouvez aisément comprendre que, dans l'année 1968, des manœuvres militaires dans le désert étaient rares. Les avions militaires connus à l'époque avaient pour bases Gran Canaria et El Aaiun. C’étaient des avions de transport Junkers, un avion de 1934-35 et il était donc impossible qu'ils soient en mesure de faire de telles manœuvres. Et puis, la seule chose qu'il aurait pu être ... il n'y avait pas encore d'hélicoptères ... ou oui, il y avait une unité d'hélicoptères à Los Rodeos, mais ils étaient là pour le service d'évacuation et en cas d'urgence seulement. Dans la région du Sahara il y avait des « piston driven T-6 ” qui pouvaient s’y entraîner, mais ils ne ressemblent pas à ce que nous avons vu. »
Nous avons pensé au fait que vous auriez pu voir une étoile, qu’en pensez-vous ?
Paco Andreu : « Non, non, jamais. Une étoile nous ne voyons pas ... une étoile que nous voyons au-dessus nous, c’est comme vous le faites depuis le sol. Mais nous en observons parfois dessous de nous. Cette lumière ne pouvait pas être une étoile. Et ce n'était pas une comète. Nous avons vu un nombre infini de comètes en vol et nous savons que leur trajectoire est linéaire. Il s’agissait d’autre chose. Je ne sais pas si c’était habité, sans pilote ou guidé automatiquement à distance. Aucune idée. Il pourrait y avoir beaucoup de discussions à ce sujet. Mais le fait est que ce que nous avons vu est inconnu. Et la vérité c’est que je n'ai jamais oublié, malgré les années qui se sont écoulées. »
Une enquête a été menée par les autorités de l’air, ils ont contacté les témoins et les tours de contrôle de Las Palmas et de Villa Cisneros, mais tout cela a été traité avec une confidentialité absolue, « top secret ». Les directeurs locaux des services de la navigation aérienne de Las Palmas ou de Villa Cisneros ont été très bien informés de la situation, pourtant, encore à ce jour, le rapport n’a pas encore été rendu public.
Les pilotes, les témoins gardent un souvenir précis de ces événements. Ils ne savent toujours pas ce qu’ils ont observés, en tout état de cause, à ce jour, personne n’a été en mesure de dire ce qui a été vu. Les pilotes déclarent qu’ils n’ont jamais été inquiétés par l’objet, qui « circulait » parfois à grande vitesse lors de certaines manœuvres. Pour le commandant Ciudad, nul ne doute, c’était « commandé » par une intelligence et il pense que nous ne sommes pas la seule civilisation de notre univers.
Un cas non élucidé, important car il concerne la navigation aérienne, sa sécurité et surtout le fait que de tels objets se défient totalement du contrôle de l’espace aérien qui n’a absolument pas été maîtrisé par les services des armées chargés du contrôle de l’espace aérien.
Référence :
1) Quelques ouvrages de Jacques Gandini, passionné par le Maroc et auteur de nombreux guides.
- L'Atlas Marocain, Nouvelles Routes Touristiques de Jacques Gandini (15 mars 2011)
- Pêche au Maroc atlantique : D'Essaouira au Cap Barbas de Jacques Gandini (7 octobre 2009)
- Pistes du Maroc : Tome 7, Pistes et nouvelles routes touristiques de l'Anti-Atlas à travers l'histoire de Jacques Gandini et Hoceine Ahalfi (1 février 2013)
Etc….
2) « El Reloj del Fin del Mundo " un ouvrage d’Alfonso Ferrer.
3) Source d’informations complémentaires sur internet :
- http://inexplicata.blogspot.fr/2012/02/another-ufo-encounter-in-spanish-sahara.html
- http://www.planetabenitez.com/prensa/montana03.htm
- http://sahara-panorama.blogspot.fr/2012_02_01_archive.html
- http://alfonferrer.blogspot.fr/2009/10/insolito-encuentro-aereo-en-canarias.html
15 MAI 1968 - SIDI YAHIA - REGION D’OUDJDA
Occurred: 5/15/1968 20:00 (Entered as: 05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003 10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi Yahia U.S. Naval Facility),
Shape: Disk
Duration: 3 hours
064 BASE AMERICAINE DE SIDI
YAHIAOVNI aperçu par quatre personnes à Sidi Yahia, Maroc, Afrique du Nord
Alors que nous étions stationnés à Sidi Yahia au Maroc, ma femme et moi avons été invités à nous rendre sur le site du récepteur pour assister à un OVNI qui avait partiellement explosé puis était remonté en flèche. Nous n'avons pas pu passer les sentinelles de la Marine bien qu'elles aient vérifié ce qui s'était passé. Nous avons d'abord été prévenus par téléphone par un TC du site de l'émetteur.
Plus tard dans la nuit, lorsque le CT a cessé son service, il est venu chez nous avec sa femme (qui travaillait pour le capitaine de la base) et nous a fait sortir et voir l'OVNI planer silencieusement dans les airs. C'était une forme de disque gris avec des lumières rouges et vertes sur le fond et était complètement silencieux. Je ne pouvais pas voir le haut de celui-ci car il était au-dessus de ma tête. Il était difficile d'en juger la taille, mais la nuit était aussi claire que cela dans le désert. Ce n'était pas un ballon météorologique car il était trop grand et ne bougeait pas mais planait silencieusement. Je ne suis pas resté debout pour assister à son départ car ma femme et moi devions tous les deux nous présenter au travail tôt le matin et nous étions des travailleurs consciencieux et ne buvions ni ne fumions.
Il s'agit d'un rapport authentique d'un militaire e-9 (30 ans de service) et de sa femme qui travaillait pour le gouvernement américain.
Ma femme est allée travailler à Supply le lendemain matin et quand elle l'a signalé, ils se sont tous moqués d'elle.
Le E-8 ou E-9 qui travaillait sur le site de l'émetteur a été rétrogradé le lendemain au poste de maître d'armes de caserne.
Qu'est-ce que cela nous dit ? Faisaient-ils voler un OVNI capturé dans cette région éloignée ou était-ce de l'espace et notre gouvernement le sait ;
Tout un mystère que je ne résoudrai jamais de mon vivant.
((Note du NUFORC : Nous avons demandé plus d'informations sur l'événement. La date est approximative.))
Source : Site du Nuforc - http://www.nuforc.org/webreports/032/S32540.html
COMPLEMENT
Occurred: 5/15/1968
Reported: 8/2/2005 12:55:06 PM 12:55
Posted: 9/2/2005
Location: Sidi Yahia (Morocco),
Shape: Disk
Duration
Follow-up on previous submission
Occurred: 5/15/1968 20:00 (Entered as: 05/15/1968 20:00)
Reported: 10/21/2003 10:08:16 PM 22:08
Posted: 10/31/2003
Location: Morocco (Sidi Yahia U.S. Naval Facility),
Shape: Disk
Cela s'ajoute au rapport de quelqu'un d'autre. Un agent du Service d'enquête de la Marine a demandé un film, a donné un reçu, et l'a vu par la suite. Personnellement témoin de disques au-dessus de la ville de Kenitra (25 miles à l'ouest de Sidi Yahia) pendant de nombreuses nuits au cours de l'été 1968.
D'autres les ont signalés, le NIS a cessé de prendre des déclarations écrites.
Le réparateur de ma section a vu le disque du quai de chargement à la station de communication et a été averti par l'officier de quart de ne pas le signaler.
Source : Site du Nuforc - http://www.nuforc.org/webreports/045/S45407.html
20 OU 21 JUIN 1968 – SIDI BENNOUR. SOURCE UFOCAT.
68175
74250 GEPA PHEN. SPAT 5GP 73F , 1968 0620 SIDI BENNOUR AF MAR
68175 LDLN 5FR 70AVL 1968 0621 SIDI-BENNOUR AF MAR
7 AOUT 1968 TANGER/TETOUAN (date de la publication du cas)
Le correspondant du journal catholique "Ya" publiait, le 7 août 1968, le témoignage d’un docteur américain résidant au Maroc, qui avait vécu un impressionnant face à face avec un OVNI ; Le médecin circulait sur la route Tanger-Tétouan quand il aperçut, ainsi que son épouse "un objet volant qui émit une lumière d’une puissance jamais vue". "L'objet volant", déclara le médecin, "allait d’un côté à l’autre, comme s’il inspectait l’automobile, et tout à coup s’arrêtait à quelques mètres d’altitude, en émettant un vrombissement et un puissant faisceau de lumière argentée qui inonda tout le paysage". "En ce qui concerne la lumière émise par l’objet inconnu", poursuit le docteur, "elle n’irrita pas les yeux et on pouvait la fixer sans être ébloui".
Source : http://web.tiscalinet.it/lareteufo/marocco3.htm -
17 SEPTEMBRE 1968 – LAAYOUNE - SUD MAROC
Le 17 Septembre 1968, une sphère de vol plané au-dessus des pistes de l'aérodrome militaire à El Aaiun, ce qui provoque les autorités à allumer les lumières, il devrait s'avérer un aéronef en détresse.
Source : ANGEL CARRETERO OLMEDO http://andaluciamisteriosa.es.tl/Avistamientos-en-el-Sahara-Espa%F1ol.htm
29 NOVEMBRE 1968 – CEUTA
A minuit, le 29 Novembre 1968, plusieurs habitants de Ceuta ont été témoins du vol d'un objet en forme de ballon de rugby. Il se présentait comme une lumière qui clignotait des couleurs rouge et bleu. L'objet a disparu après quelques minutes après s’être déplacé rapidement vers le désert Albadé García.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales
NUIT DU 30 NOVEMBRE 1968 AU 01 DECEMBRE 1968 RABAT
Entre Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Voir dans le rapport de l’observation du 8 décembre 2012, ci-dessous issu de LDLN qui place cette observation à la date du 8 décembre 2012. Il semble que l’article du GEPA soit la bonne référence car on trouve cette information dans la presse en date du 8 décembre 2012, d’où certainement la confusion.
SOURCE : PHENOMENE SPATIAUX GEPA NR 20 MOIS DE JUIN 1969
8 DECEMBRE 1968 - RABAT
Par M. DUTUIT dans LDLN contact lecteur numéro 99 bis de mai 1969
à Rabat une soucoupe volante se pose.
Le dimanche 8 décembre 1968, à 3 h 30 du matin, M. et Mme Caviglioli viennent de quitter Rabat en voiture en direction de Casablanca, leur résidence.
II y a peu de circulation à cette heure, la route est libre, la voiture fonce dans la nuit ; le ciel est noir, teinté de rouge. Ils arrivent à l'entrée de Rabat, 3 km avant l'embranchement d'Harhoura.
A côté de son mari, Mme Caviglioli lui dit soudain :
« ...Regarde la lune, elle est bizarre ce soir... elle est toute rouge ! »
« ...Luna rossa... la, la, la... », fredonne !e conducteur.
« ...Mais, regarde! elle tourne... elle va tomber... »
Et, en effet, derrière les arbres, cette espèce de lune rouge descend du ciel. Elle va plus vite que la voiture, beaucoup plus vite, et paraît tourner sur elle-même...
Elle s'approche du sol et soudain s'arrête, et c'est fait, la « chose » vient de se poser en peu en avant de la voiture, à 800 mètres de nos témoins.
Le conducteur ne plaisante plus, ne chantonne plus, il a stoppé la voiture pour mieux observer.
« Un spectacle impressionnant », dira-t-il plus tard.
« Je frissonne quand j'y pense », ajoute Mme Caviglioli.
L'objet rougeoyant et étincelant qui fonçait dans le ciel, dans un tournoiement vertical, éclaira sa descente de faisceaux lumineux multicolores dirigés perpendiculairement au sol. II est là maintenant, posé ou presque au-dessus d'un champ bordant la route.
II apparaît un moment sous la forme d'un « cigare » auréolé de lumière rouge : comme deux assiettes renversées, dira M. Caviglioli à notre correspondant, M. Dutuit.
Quelques minutes s'écoulent, et au centre du « cigare » s'éclaire un rectangle d'un blanc brillant non aveuglant, des projections lumineuses partent du dessous de l'engin, éclairant le terrain au-dessous. II est rare, nous semble-t-il, de trouver dans nos récits d'observation, une description aussi complète d'un atterrissage d'engin ; on les voit partir le plus souvent.
De leur voiture, à 800 m de là, tous phares éteints, nos deux témoins observent ce qu'il va se passer.
« Pas de doute, c'est une soucoupe », dit le mari.
« ... Partons, j'ai peur », répond Mme Caviglioli.
Au même moment, la « chose » se soulève, vient vers eux, oscillant légèrement « comme sur des coussins d'air, au ras du sol ». Elle progresse, Mme Caviglioli s'affole :
« ...Partons vite, on ne sait pas ce qu'il va se passer, ce qu'ils vont faire... »
Mais, voici que l'engin opère une marche arrière, et au même instant la voiture reprend sa route...
« Je serais bien resté sur place, dit M. Caviglioli, mais ma femme avait très peur ».
Plus loin, la curiosité fut plus forte que la peur. Ils arrêtent leur voiture et M. Caviglioli tente de s'approcher du lieu de l'atterrissage, en contournant une élévation de terrain.
L'engin avait disparu, il ne reste plus, à son emplacement, qu'une lueur rouge braise, comparable à la réverbération d'une ville pendant la nuit.
M. Caviglioli est architecte et c'est un homme très sérieux. II est retourné plusieurs fois, mais en vain, sur le lieu de ''atterrissage pour recueillir des indices.
065 Dessin de l'objet réalisé par M. Caviglioli.C'est M. Dutuit, notre correspondant à Casablanca, qui a recueilli, auprès de M. et Mme Caviglioli, quelques renseignements complémentaires sur cette observation qui a été publiée par <. La Vigie Marocaine » (l'ouverture était blanche et non orange).
Le dessin composé par M. Caviglioli est extrait du journal.
Nous espérons quelques détails complémentaires en liaison avec les failles (à l'heure où nous écrivons, un séisme assez violent vient d'avoir lieu), ils ne nous sont pas parvenus. Nous pensons que tel quel, ce récit présente beaucoup d'intérêt.
N.D.L.R. - De Nice, en dernière minute, M. Watrin nous adresse un plan et croquis de la ville et de la région. Nous sommes en mesure de préciser que l'atterrissage a eu lieu sur une faille géologique.
L’OBSERVATION EST ICI PLACEE A UNE DATE DIFFERENCE (Bulletin du GEPA)
NUIT DU 30 NOVEMBRE 1968 AU 1ER DECEMBRE 1968 RABAT
Entre Rabat et El-Harhoura ( Phénomènes Spatiaux N°20 juin 1969)
Non loin de Rabat, et sur la côte occidentale du Maroc, M. et Mme Caviglioli furent, dans la nuit du 30.11 au 1.12.1968, les témoins d'une étrange apparition. Cet incident donna lieu à un article dans « La Vigie Marocaine » du 8.12.68 et fit l'objet d'une brève mention dans « Paris-Jour » du 10.12.68, mention que J.-L. Becquereau eut l'obligeance de nous faire parvenir.
Nous aurions pu en rester là - tant d'observations nous parviennent dont il ne nous est pas possible de faire état ! - si nous n'avions reçu d'un de nos membres résidant au Maroc, M. D., une lettre datée du 13.12.68 dans laquelle il nous faisait part de son intention de mener sur ce cas une enquête approfondie.
Quelque temps après, il nous adressa un compte rendu provisoire qui fut suivi de ce qu'il considéra comme le rapport définitif.
L'observation elle-même est des plus intéressantes mais la qualité de l'enquête menée par Mr. D. ajoute encore à cet intérêt.
Nous avons eu le plaisir de rencontrer à Paris Mr. D. et il nous a inspiré la plus entière confiance. Le fait que nous pensions plus prudent de lui conserver, pour des raisons d'ordre professionnel, un certain anonymat, ne doit lui retirer aux yeux de nos lecteurs aucun crédit.
Comme il nous l'a lui-même suggéré, nous dirons ici que notre correspondant appartient à un service scientifique de recherche où il se consacre à des études visant un tout autre sujet que celui qui nous préoccupe.
Il y a un peu plus d'un an, mésestimant - à son jugement actuel - la masse, la cohérence, la signification des témoignages sur le phénomène OVNI, et pensant que, de ce fait, ledit phénomène n'était pas encore mûr pour l'étude, il était enclin à le considérer avec scepticisme.
C'est un témoignage du type IV A de Jacques l'allée (1), rapporté par un des ouvriers travaillant sous sa direction, qui déclencha chez lui, sur la base de réflexions personnelles, la prise de conscience de la réalité possible des OVNIs, une prise de conscience qui fut accélérée par son étude ultérieure des travaux concernant ces objets. L'ouvrier en question était un paysan berbère illettré, n'ayant subi, dans ce domaine aucune influence psychosociale et dont le témoignage fut ensuite corroboré par celui d'autres paysans berbères habitant dans la même région.
L'enquête qu'on va lire est la première faite en cette matière par ce chercheur.
Conditions de l'enquête
L'enquête a été menée comme il suit :
- Une relation générale de l'observation a été faite par M. Caviglioli. Des précisions étaient demandées au témoin au cours du récit, La sincérité, l'esprit critique et la mémoire du témoin étaient testés chaque fois que possible.
M. Caviglioli, qui est architecte, accompagnait son récit de nombreux dessins.
- M. Caviglioli me conduisit le lendemain sur les lieux de son observation. Son épouse était présente et tous deux effectuèrent au cours du trajet, parcouru lentement, une sorte de reconstitution qui me permit de noter quelques différences entre ce qu'avait perçu M. Caviglioli et ce qu'avait perçu son épouse. Ces différences, minimes d'ailleurs, dans les témoignages seront notées dans le compte rendu d'enquête.
- Un questionnaire préalablement établi d'après l'ouvrage des Vallée (.1. et l. Vallée), « Les phénomènes insolites de l'espace », La Table Ronde, Paris 1966) a été soumis à M. Caviglioli, après qu'il eut fait son exposé général, dans le but de lui faire approfondir plusieurs aspects de son témoignage et de ne rien oublier qui soit essentiel.
- L'enquêteur est ensuite retourné seul sur le terrain.
066
Vue du terrain et du déplacement de l’ovni.
Ce travail a été effectué les 15, 16 et 17 janvier 1969, donc un mois et demi après l'événement. L'objet a été vu par les témoins du bord de la route par une nuit très noire. Des pluies torrentielles ont sévi à plusieurs reprises entre l'observation et l'enquête. Par conséquent, bien que les témoins connaissent parfaitement la route de Casablanca à Rabat, une certaine imprécision règne en ce qui concerne la connaissance du lieu d'atterrissage et le couloir de déplacement de l'« objet » au sol, qui ne peuvent être donnés qu'à 300 m près. Une visite des lieux ne nous a rien montré de particulier. De toute façon, dans ce cas, étant donné le délai après lequel a été effectuée l'enquête, et les autres circonstances dont il a été question plus haut, les erreurs qui pourraient naître d'un examen trop imaginatif du terrain sont trop aisées à commettre pour que l'on se risque à cet examen.
Généralités
L'avis de l'enquêteur ayant, dans les enquêtes concernant les Objets Volants Non Identifiés, une certaine importance, je dirai que les témoignages ont été précis, surtout celui de M Caviglioli, et que leur honnêteté ne semble pas devoir être mise en cause. Sur le plan professionnel, M. Caviglioli avait probablement plus à perdre qu'à gagner en laissant publier le récit de ce qu'il avait vu. Peut-être faut-il signaler que, rentrés à leur domicile à Casablanca à 6 heures du matin, les témoins ne dormirent que quelques heures et repartirent immédiatement vers Rabat pour voir si la configuration du terrain, les points de repère qu'ils avaient pris, correspondaient bien à la réalité. Ils étaient à tel point ébranlés par leur nuit, qu'ils ne répondirent même pas à des amis qui leur faisaient signe d'arrêter sur leur route.
La remarque que je ferai maintenant est assez formelle car, comme le souligne Vallée dans l'ouvrage déjà cité, la cohérence ou l'incohérence de l’ensemble des phénomènes de cette catégorie ne peuvent apparaître que lors d'une étude globale faisant intervenir des méthodes perfectionnées de traitement de l'information. Cette remarque concernant la présente enquête est la suivante : Dans la mesure où l'enquêteur croit M. et Mme Caviglioli sincères et honnêtes, l'observation de type I (cf. Vallée, même référence) qu'ils ont décrite ne peut être réduite dans son intégralité à un phénomène naturel actuellement connu. Toujours si l'on admet la sincérité et l'honnêteté des témoins, la complexité de structure et de comportement du phénomène décrit (Phase V) ne peuvent s'expliquer que par une hallucination très complexe des témoins, ou bien alors par une structure intelligente du phénomène décrit.
Météorologie : Observation faite de nuit, le ciel étant très noir (couverture nuageuse complète), sans pluie ni vent ni brouillard. Ces indications viennent des témoins et n'ont pas été vérifiées.
Réseau routier : Dans le territoire intéressé par l'observation, existent trois routes allant de Rabat à Casablanca, parallèlement à la côte, c'est-à-dire selon une orientation Nord-Est/Sud-Ouest.
- La plus côtière est la route secondaire 222
- Un peu plus à l'intérieur du pays est la route principale 36.
- La troisième route est la principale N 1.
La trajectoire de l'objet se situerait d'après les indications des témoins entre la R.S. 222 et la R.P. 36, ou carrément au-dessus de l'océan.
Les évolutions de l'objet au sol se situent entre la R.S. 222 et ]a R.P. 36, environ 800 m avant la bretelle de raccordement de ces deux routes au niveau de El-Harhoura (cf., carte Michelin). la route la plus fréquentée est la R.P. 36, qu'ont suivie les témoins. Mais, même sur cette route, la circulation est très faible la nuit.
Cartes disponibles et Géologie
- Carte Michelin n 169 du Maroc au millionième avec agrandissement de la région Rabat-Casablanca au six-cent-millième.
- Carte I.G.N. « Témara » au cinq-cent-millième. Feuille n NI-29-X1I-3c de 1927 révisée en 1935-1936. C'est un fond topographique qui ne reflète plus l'infrastructure du pays. La R.P. 36 n'y figure pas.
- La carte géologique du Maroc au 500.0000', feuille de Rabat, publiée en 1954.
La géologie du territoire consiste en une couverture de sédiments quaternaires d'origine littorale et sans tectonique superficielle. Ces sédiments sont cartographiés qMD : Quaternaire marin et dunaire consolidé. Trois lignes de dunes consolidées longent ainsi la côte et, portant pâturages et cultures, déterminent de petits plateaux de 40 m d'altitude environ.
L'OBSERVATION
Il s'agit, selon la classification de Vallée, d'une observation de type I faisant suite à une observation de type IV. Elle eut lieu dans la nuit du 30 novembre au 1er décembre 1968, sur un segment de route de 6 km environ, à la sortie de Rabat. Débutant à 3 h 50 du matin, elle dura 45 minutes.
Dans la succession des faits décrits par les témoins, nous distinguerons six phases, les trois premières se rapportant à une observation du type IV et les trois dernières, à une observation du type I.
067
– Croquis : Le Lieu de l’atterrissagePhase 1
La voiture de M. et Mme Caviglioli, une Citroën DS 21 à phares à iode pivotants, sort de Rabat en direction de Casablanca et aborde le rond-point de croisement de la route Hôpital Avicenne- quartier de Yacoub-El-Mansour avec celle de Casablanca. Au rond-point même, Mme Caviglioli qui est devant et à droite pousse un cri d'étonnement et montre à son mari, qui conduit, une boule rouge orangé à 45° de hauteur environ, au-dessus de Yacoub-El-Mansour, à l'Ouest. M. Caviglioli chantonne : « Luna rossa, etc. ».
La voiture dépasse le rond-point et s'engage dans la ligne droite (1 km environ) qui aboutit à la bifurcation de la R.P. 1 avec la R.P. 36. A ce niveau se trouve le cabanon de la Sécurité routière. Cette ligne droite est bordée de très grands eucalyptus. A gauche de la route (en direction de Casa) se trouvent les pépinières Vita, à droite, une alternance de terrains vagues et d'édifices divers. Toujours à sa droite, Mme Caviglioli aperçoit derrière le feuillage des arbres une lueur. Elle demande à son mari : « Mais tu t'amuses avec tes phares ? » A la réponse négative de M. Caviglioli, tous deux regardent plus attentivement et constatent qu'il s'agit toujours de la « lune rousse » vue à travers les eucalyptus, à une hauteur angulaire peut-être moins grande qu'au carrefour. Cette boule est toujours un peu en avant de la voiture.
La D.S. arrive au cabanon de la Sécurité routière. Le caractère d'étrangeté de la boule n'avait pas encore dû apparaître à M. Caviglioli puisqu'il me dit au cours de la reconstitution : « Je prends tantôt l'une, tantôt l'autre de ces routes ; ce soir-là, j'ai pris la grande route» (la R.P. 36). II m'a alors semblé que la motivation consciente de son choix n'avait pas été l'objet insolite.
C'est tout de suite après cet embranchement de routes qu'il remarque que l'objet prend de l'avance sur leur voiture. L'étrangeté de la chose le frappe alors et il demande à son épouse de prendre un point de repère. En amorçant la grande courbe en montée (800m environ) par laquelle débute la R.P. 36, M. Caviglioli accélère à 140 km/h environ pour tenter de suivre l'objet.
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– Photo : Premier aspect de l’objet à la
sortie de RabatDescription de l'objet (vu au cours de cette première phase)
Selon M. Caviglioli le diamètre apparent de l'objet était de une demi-lune. Son épouse ne peut préciser car elle fut surtout étonnée par les couleurs. Elle crut d'abord voir la lune. Rappelons que cette nuit-là était très noire ; c'était aussi cinq nuits avant la pleine lune. Mme Caviglioli a employé le terme «fuligineux » pour décrire un ensemble de rouge et d'orangé brouillé, avec des stries circulaires de ces deux teintes et un halo lumineux trouble. Le tout lui parut très beau. Elle s'est étonnée que cette lune lui ait donné l'impression d'être « verticale » dans le ciel alors que d'ordinaire elle 1a trouve « oblique ». A l'enquêteur qui lui demande de préciser sa pensée, elle traduit après coup que l'objet, qui devait se révéler ensuite à ses veux comme étant discoïde, devait être à ce moment « de champ » dans le ciel.
« Cela donnait l'apparence de tourner sur soi-même comme une roue, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre " précisera M. Caviglioli. A ma demande, il affirme que ce mouvement se faisait sans libration, et qu'il ne s'agissait pas d'un déplacement global de l'objet autour d'un point extérieur au centre du disque visible avec une translation linéaire surajoutée. Il m'est confirmé que sur sa trajectoire linéaire le disque était affecté, ou semblait affecté, d'un mouvement circulaire net, régulier, dont le centre était celui du disque (cf. Fig. 1).
Phase 2
Toujours très vite, après le virage en montée, la voiture aborde le deuxième virage en descente, et en sens inverse du premier. La première courbe escalade le deuxième cordon de dunes consolidées, et le deuxième virage en descente, rapprochant la route de la côte, l'amène dans la dépression entre le premier et le deuxième cordon de dunes (voir le panorama).
Lorsque la voiture s'engagea dans la petite dépression existant entre les deux lignes de collines, l'objet se trouva un court instant dissimulé derrière le cordon de dunes le plus côtier. I1 se confirme donc que l'objet était en descente et l'enquêteur suppose que l'objet volait plutôt au-dessus de l'océan, non loin de la côte, qu'au-dessus du littoral. C'est ce que semble indiquer la comparaison entre la grandeur apparente donnée par les témoins à l'objet pendant cette phase de l'observation et la dimension qu'ils lui attribuèrent plus tard lorsqu'ils le virent au sol (l5 m).
Phase 3
Les témoins avaient roulé sur trois kilomètres à partir de l'embranchement des R.P. 1 et R.P. 36. 1e cordon côtier de dunes est à cet endroit très bas et ils revoient l'objet qui passe instantanément de l'aspect discoïde à l'aspect lenticulaire comme si le disque d'abord vertical avait basculé de 90° pour se mettre horizontal.
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Objet presque au sol (quasi atterrissage).Phase 4
L'objet leur paraissant avoir arrêté sa course, M. et Mme Caviglioli arrêtent leur voiture au bord de la route, environ 1 km avant la route de raccordement avec la R.S. 222. Les deux routes sont ici très proches l'une de l'autre : 600 à 1000 m. Ils descendent de voiture après en avoir éteint les phares et regardent en direction de l'objet et de l'océan, océan qu'ils n'auraient d'ailleurs pas pu voir même de jour, car les collines côtières les en séparaient. Ils distinguent, lointain dira M. Caviglioli, le disque rouge, et Madame Caviglioli dit : « C'est peut-être un reflet sur l'eau ». Son mari, qui connaît particulièrement bien 1a route, pour la prendre plusieurs fois par semaine, lui fait remarquer que l’océan n'est pas visible de l'endroit où ils sont. Face à l'enquêteur, il se demandera plus tard si les « phares » de l'objet (voir plus loin) n'étaient pas alors déjà allumés et si ce n'est pas leur éclat sous le disque qui a amené son épouse à penser à un reflet sur l'eau.
Les événements prennent ensuite un tout autre cours.
Le temps d'une seconde, (M. Caviglioli me mimera : hop-hop) le disque, de très lointain qu'il était, s'impose soudain à leurs yeux comme très proche. «C'était maintenant un énorme cigare». L'adjectif énorme est employé, précise ensuite le témoin, par contraste avec ce qu'ils avaient vu jusqu'alors. J'estime à 250 m environ la distance de l'objet à ce moment. Je pense que c'est le chiffre que M. Caviglioli a eu le plus de mal à estimer et qu'il est très imprécis. Mieux vaudrait peut-être dire entre 250 et 600 m. I1 est possible que cette imprécision, que je déduis des hésitations du témoin à la formuler et des autres chiffres qu'il me donna d'abord, il est possible, dis-je, que cette imprécision soit la conséquence de l'intense surprise des deux témoins et de l'aspect de l'objet à ce moment. Il se présente alors comme un cigare rouge (le rouge d'un métal échauffé par frottement dira M. Caviglioli) cerné par une gaine de lumière d'un rouge étincelant et surmonté, sur une hauteur de trois étages, d'une colonne de lumière diffuse rose-rouge, un peu comme la lumière d'une ville dans le lointain mais plus brillante (cf. Fig. 2). M. Caviglioli confirme, alors que je le questionne, qu'il s'agissait bien d'une colonne de lumière et non d'un halo mal circonscrit. L'objet est à ce moment juste au-dessus du sol, sans le toucher.
Phase 5
C’est la plus étrange de cette observation et probablement celle qui prête le plus à discussion.
Une « fenêtre » de lumière blanche comparable, dira M. Caviglioli à celle de phares à iode, mais n'éclairant pas le paysage, « s'ouvre » entre les deux moitiés inférieure et supérieure de l'objet dont la forme apparait alors nettement, Les témoins sont d'accord pour dire que la meilleure représentation à donner de l'objet à ce moment est celle de deux assiettes dont les cavités se font face, ces deux assiette-, étant séparées par un intervalle.
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Figure 3 : Objet au cours de la phase 5, après allumage des “phares”.C'est cet intervalle qui présentait la luminescence d'une lampe à iode, tandis que les «Coques» inférieure et supérieure paraissaient maintenant plutôt grises que rouges, par contraste peut-être avec l'éclat de la « Fenêtre » médiane. Monsieur Caviglioli dit qu'il pense que cette « fenêtre » faisait le tour de l'objet discoïde et il emploiera l'image suivante : « Comme un tour de papier adhésif sur l'anneau séparant les deux assiettes ». Il insistera sur le fait que l'objet était nettement symétrique. Des « phares » blancs à pinceaux très peu ouverts sont allumés sur le pourtour de la coque inférieure et éclairent obliquement le sol. Cela n'avait pas l'allure de tigelles lumineuses mais bien de phares à faisceaux peu divergents. Sur le pourtour du disque, la «fenêtre » lumineuse était en léger retrait par rapport aux bords des deux coques inférieure et supérieure.
Dès que sa partie médiane s'est éclairée, l'objet s'est lentement mis en route en direction des témoins qui se trouvaient toujours sur le bas-côté de la route. Il s'avançait de façon très douce « comme sur un coussin d'air », en allant, un peu, de droite et de gauche. M. Caviglioli apprécie sa vitesse à ce moment à 20 km/h environ. L'objet s'est arrêté à 150 m d'eux au plus et l'architecte dit avoir pu l'examiner aussi aisément qu'un prototype d'automobile à la même distance. Selon lui, le diamètre du disque était de 15 m et son épaisseur au centre d'environ 3 m.
Lorsque l'objet se fut stabilisé à 100 150 m d'eux M. Caviglioli dit à son épouse : « J’y vais ! ». Celle-ci se récria, demandant à partir immédiatement et expliquant qu'elle avait entendu parler d'enlèvements perpétrés par des choses semblables ou lu des récits à ce sujet.
L'objet alors, recula de la même façon qu'il s'était approché, et jusqu'au point d'où il était parti, approximativement.
Je demande aux témoins quels étaient leurs états d'âme au moment de l'approche vers eux de l'objet qu'ils décrivent, s'ils avaient eu peur, Leurs réponses sont très différentes. M. Caviglioli dit qu'il n'avait pas eu peur. Il avait été émerveillé par la beauté de « l'objet» et de sa marche, il en avait ressenti une joie intérieure et avait éprouvé un désir ardent d'aller vers l'objet. Pour avoir par la suite discuté avec lui de sujets beaucoup plus généraux et plus «terrestres» que les soucoupes volantes, je crois volontiers que la peur, si elle a existé en lui à ce moment, est passée inaperçue et que c'est la curiosité et d'autres conditionnements qui ont pris le dessus. Mme Caviglioli quant à elle, dit avoir eu peur. Elle avait confié à son mari que, plutôt que d'avoir ressenti une réelle frayeur, elle s'était cru « reportée aux premiers âges de l'humanité, lorsque l'homme voyait des divinités partout et s'effrayait de choses qui nous paraissent aujourd'hui naturelles ». Je ne cite pas fidèlement ses paroles mais je ne dénature pas leur sens.
Phase 6
L'objet disparut ensuite sur place d'une façon inexpliquée par les témoins. I1 est resté à son emplacement une rémanence lumineuse en colonne telle que nous l'avons décrite pour la phase IV. M. Caviglioli a tenté d'arrêter deux camions qui vinrent à passer sans que les chauffeurs ne le voient ou ne veuillent s'arrêter. Cette colonne lumineuse devait persister vingt minutes au dire de M. Caviglioli. Elle ne faisait encore que commencer à se dissiper lorsqu'ils partirent vers Casablanca.
L'objet disparu, et voyant à sa place la colonne, ils se demandèrent si l'objet était vraiment parti ou s'il était dissimulé à leur vue parce qu'il avait reculé en direction de la mer, de l'autre côté de la colline. Afin de le savoir, ils remontèrent en toute hâte dans leur véhicule et, roulant aussi vite que possible, prirent la bretelle de raccordement de la R.P. 36 avec la R.S. 222 puis, une fois sur cette dernière, à E1-Harhoura, s'engagèrent sur une centaine de mètres en direction de Rabat. La colonne demeurant visible pendant tout ce trajet, mais non l'objet, M. Caviglioli arrêta sa voiture et décida de quitter la route à pied et de marcher jusqu'à la colonne lumineuse. Son épouse s'y opposa de nouveau vigoureusement, et ils rejoignirent !a R.P. 36 sur laquelle ils s'engagèrent en direction de Casablanca.
Comme nous l'avons dit, la rémanence lumineuse se dissipait à peine.
Précisions complémentaires
On trouvera ci-après quelques précisions qui n'avaient pas trouvé place dans la relation précédente :
L'ancienne dune qui longe le littoral entre la R.P. 36 et la R.S. 222 ne porte pratiquement, tout du long à ma connaissance, aucune habitation, tout au moins jusqu'à la bretelle de raccordement des deux routes citées. Il n'y a sur ce petit plateau que des pâturages et des cultures. De jour, il y a toujours un ou deux troupeaux de vaches. Les habitations les plus proches sont relativement éloignées, et de l'autre côté de la R. P. 36 vers l'intérieur. Il faut faire exception du village balnéaire d’El-Harhoura, qui devait être l'agglomération la plus proche du lieu d'atterrissage. Encore faut-il remarquer qu'à cette époque ce genre de village balnéaire est assez déserté.
M. et Mme Caviglioli ont informé la Gendarmerie Royale de ce qu’ils avaient vu. La Gendarmerie n'y a pas prêté d'attention.
- M. Caviglioli voit très bien de loin. Il est un peu presbyte. Mme Caviglioli n'a pas été interrogée sur son acuité visuelle.
- M. et Mme Caviglioli revenaient cette nuit du domicile d'amis chez lesquels ils avaient passé la soirée et la première partie de la nuit. M. Caviglioli , qui souffre de l'estomac ne boit pas d'alcool, son épouse ne supporte pas d'alcool et en boit très peu.
- C'est la première fois que ces témoins ont vu ce genre de phénomène Un ami de M. Caviglioli, pilote de ligne. avait vu un objet semblable au sol, plaine de Ben Guérir (70 km au nord de ,Marrakech).
- il n'a pas été souligné dans le récit de l'observation que strictement aucun bruit n'a été entendu tout au long des évolutions de l'objet que ce soit en l'air ou au sol.
- Il n'a été procédé à aucune recherche concernant le magnétisme ou la radioactivité de quoi que ce soit.
Nous remercions très vivement Mr. D de l'enquête si minutieuse à laquelle il s'est livré et dont il a bien voulu nous faire part.
Ce témoignage, émanant d'observateurs dignes de foi et recueilli par un enquêteur dont le souci d'objectivité est évident, acquiert une très grande valeur par le fait qu'il porte sur le quasi atterrissage d'un objet insolite qui, au cours de la cinquième phase de l'observation, a été vu à courte distance.
On notera qu'au cours de la phase 1 M. Caviglioli attribue à l'objet, vu « de champ » dans le ciel, un mouvement de rotation « net et régulier ».
Au cours de la phase 4. l'objet apparaît « cerné pur une gaine de lumière d'un rouge étincelant », ce qui fait penser une fois de plus, à un phénomène d 'ionisation.
Lors de 1a phase 5, des « phares » s'allument sur le pourtour de la coque inférieure de l'objet, éclairant obliquement la sol. Il nous est dit dans 1e compte rendu que les pinceaux de ces « phares » n'avaient pas « l'allure de tigelles lumineuses mais bien de phares à pinceaux peu divergents » . Apparemment, donc, il n'y avait là ni phénomène de « tigelles » ni emploi de sources de lumière cohérentes (lasers) - à l'encontre de ce qui semble bien s'être passé dans le cas de Monte Maiz (Bulletin du G.E.P.A. N 6. trimestre 1964, p. 23).
Le silence qui règne au cours des mouvements puis du stationnement à une faible distance du sol, de cet objet insolite déjà de grande taille (15 m de diamètre environ), possédant une structure bien définie et symétrique ainsi que des sources de lumière distinctes dont l'allumage paraît bien commandé, ce silence, disons-nous, écarte d'emblée tout mode de sustentation classique. Aucun avion ou hélicoptère n'aurait pu évoluer ni se maintenir si proche du sol et des témoins dans un pareil silence. On n'imagine pas non plus un ballon ou même un dirigeable se livrant à ce genre de manœuvres. D'autre part, la structure précise de l'objet sa « fenêtre » équatoriale et l'existence de faisceaux de lumière distincts, tout cela exclut absolument qu'il ait pu s'agir d'un des plasmoïdes chers à Philip Klass.
L'inexplicable disparition de l'objet, ne laissant subsister qu'une « rémanence lumineuse » tenace -- et qui pourrait bien être, cette fois, un authentique plasma – a déconcerté les témoins. De ce point de vue, l'observation décrite paraît bien s'ajouter à la liste de toutes celles au cours desquelles les objets semblent s'évanouir sur place, comme s'ils s'échappaient dans quelque dimension insaisissable à nos sens ou comme s'ils n'avaient été que 1a « projection » tridimensionnelle dans notre espace, et à des fins inconnues, d'objets dont la réalité matérielle se serait située ailleurs.
Il est remarquable que, là encore, et en conformité avec la loi statistique formulée par Jacques Vallée (« Flying Saucer Review », 5-6-68, page 11), cette manifestation insolite est survenue dans une zone qui, comme le note l'enquêteur, était, à l’époque de l’année, déserte.
Le remarquable effort de M. D. pour préciser les conditions géographiques et géologiques ainsi que le déroulement de cette observation mérite tous nos compliments.
Source : Lumières dans la nuit. Phénomènes Spatiaux du GEPA.
Référence UFOCAT : 49224 – 54867 – 62580 – 75755
1969 – SAFI
Il s’agit d’une photographie d’un ovni prise par Abraham El Douradi.
Time : 15,10
Location : Safi
Photographe : Abrahim El Douradi
Referencies: Photograph Catalogue by Bernard Delair
Information de Juan Ballester Olmos, document figurant dans le catalogue FOTOCAT
28 FEVRIER 1969 - CASABLANCA
Il y avait eu un séisme. J’étais à la fenêtre vers 23H20, je regardais lorsque devant moi à quelques 300 m j’ai vu une flotte composée de cinq ou sept objets lumineux qui sont arrivés et sont restés en suspension à peu près 2 minutes, puis ils sont repartis à une vitesse fulgurante. Depuis ce temps je n’ai cessé de me poser des questions. Pour moi il ne s’agit plus de l’existence de ces engins, mais de ceux qui s’y trouvent dedans. Est-ce des hommes ou bien d’autres êtres. Question sans réponse.
Source : http://area51blog.wordpress.com/2009/10/12/temoignage-dovni-a-casablanca/
14 NOVEMBRE 1969 - BENZU MAROC ( ENCLAVE ESPAGNOLE DE CEUTA )
62666 VALLEE JACQUES 6JV3 1969 1114 2145 BENZU AF MAR
64550 PHILLIPS TED 6TPS 421T 1969 1114 2145 BENZU, F = AF MAR
NOVEMBRE 1969 - CEUTA
À la fin du mois de Novembre 1969, Francisco Gil et Cristina se promenaient dans les rues de Ceuta quand ils ont vu un objet dont la dimension apparente était de 50-60 centimètres. Ils étaient composés de deux cercles concentriques à partir desquels une lumière intense oscillante. La lumière de la couronne externe était plus faible. L'objet est descendu sur le sommet d'une colline, dissimulé par des arbres, en émettant des flashes d’une lumière vive.
Le couple, après avoir atteint Punta Bermeja, a trouvé un second objet, quelque 3 mètres de diamètre avec un éclairage moins intense. Il a disparu rapidement au bout de 10 minutes, après être resté immobile.
Les membres du groupe CEONIX ont appris au cours de l’enquête ultérieures qu’on avait retrouvé deux rainures dans le sol et d'autres traces inconnues.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales
1970 – OUKAIMEDEN
En 1973, je suis allée à la Station de l'Oukaimeden avec ma Tante qui habitait à Marrakech. Je me souviens très bien du témoignage du Monsieur qui tenait l'auberge chez Juju. Il a été témoin vers 1970 d'un atterrissage de trois OVNIS en bas des télésièges. L'électricité s'est coupée, il faisait nuit. Effrayé, lui et sa femme ont appelé les militaires dans une base non loin de là. Quand ceux-ci sont arrivés sur place, les trois engins qui étaient en vol stationnaires sans émettre aucun bruit ont décollé en spirales à une vitesse époustouflante. Les autorités ont ordonné aux militaires à l'époque de ne pas ébruiter cet événement. Juju qui nous confiait tout cela s'était à l'époque conformé à cet ordre mais je pense qu'aujourd'hui, il y a prescription, c'est pour cela que j'en parle.
Source : Témoignage déposé sur le bloc MAROC INTERNATIONAL par « Anonyme » le 22-02-2015.
MAROC ENVIRON 1970
C'était au Maroc, plus particulièrement à Meknès. Les spectateurs d'un film western dont je faisais partie sortaient du cinéma A.B.C.
Je prends ma moto au parking face à l'ABC et là je lève la tête en enlevant l'antivol, un engin de forme triangulaire passe à grande vitesse sur l'avenue. Cela a été vu par des centaines de témoins, l'année vers les 1970 + ou -, le plus surprenant : pas de bruit et au ras des toits, vélocité extrême.
Pierre (Orange) – France - Source Site du GREPI
1970 - PRINTEMPS – CASABLANCA
Voici le témoignage de Georges qu’il a bien voulu me faire parvenir par mail, un grand merci à lui !
Bonjour,
« Au printemps 1970 à 07h10 Gmt par temps clair, ciel bleu sans nuage, je me rendais au travail quand un léger sifflement me fit lever la tête, venant de l’est une soucoupe volante était en phase de freinage , des volutes bleu électrique a l’avant du disque côté ouest au fur et à mesure du ralentissement le bleu s’est rependu tout autour de l’engin jusqu’à l’arrêt complet, distance 130 mètres, altitude environ <50 mètres, l’engin avait la taille d’une caravelle, il était forme de deux dômes métalliques couleur aluminium, le dôme supérieur était percé de hublots éclairés couleur du jour très intense (flamme de l’acétylène).
Sur le dôme supérieur un dôme transparent, rapport des masses, environ un tiers en largeur et un tiers en hauteur avec le dôme inférieur légèrement plus plat, donc le dôme supérieur plus haut, à travers le dôme transparent on pouvait voir quatre postes de pilotages NORD-SUD-EST-OUEST. Un être s’est levé du poste de pilotage ouest il était vêtu d’une tenue noire genre combinaison de plongée il a posé le bras sur l’écran d’un appareil du poste de pilotage et a regardé la ville de CASABLANCA qui se trouve derrière moi, puis il est parti vers le nord et a disparu derrière le poste de pilotage sud.
La silhouette était la même que la nôtre. Position de l’observateur, altitude 25 mètres, sud par rapport à l’engin. Le bleu électrique est monté au niveau des hublots sur le dessus et le dessous le centre est devenu rouge cerise entre les deux les couleurs de l’arc en ciel à ce moment-là l’engin a commençait à bouger en direction du nord l’angle de départ environ 35 degrés le départ a été très lent un peu comme nos fusées mais la vitesse est montée progressivement pour devenir fulgurante il n’y avait qu’un point rouge qui a disparu. L’engin vole à plat, il ne prend pas l’angle comme un avion. Temps d’observation arrivée mini 10 secondes, stationnement mini 25 secondes, départ de 0 à X 10 secondes. Sans un bruit. »
Source : http://area51blog.wordpress.com/2009/10/12/temoignage-dovni-a-casablanca/
1971 - SANS DATE – ESPAGNE - MAROC, GOLFE DE CADIX – PRES DE LA COTE MAROCAINE.
A 4 heures du matin trois amateurs à la pêche, non loin de la côte marocaine furent surpris par le fait que malgré la mer calme tout autour, sous leur bateau les eaux étaient si agitées qu’ils risquaient de chavirer. Ils cherchèrent à voir quelle pouvait en être la cause et pensaient à un sous-marin. C’est alors qu’ils virent à une distance de 3 à 4 km un objet de la taille d’un autobus au fuselage brillant projetant une énorme luminosité ; cette chose montait à la verticale avant de prendre une direction horizontale et de disparaître.
Cat. De casos Ovni en Sevilla de 1960 à 1980 investigados en Umbrete por Manuel Osuna Llorente – Manuel Filpo Cabana) Caso 25 -
(M. Osuna communique ce cas) - Communiqué par Godelieve Van Overmeire
Le 18 JUILLET 1972 - DESERT SAHARIEN MAROCAIN
Un prétendu Crash d’ovni dans le Désert Saharien Marocain. 3 corps y auraient été retrouvés. Nous ne disposons d’aucune information précise sur ce dossier, aucune autre source sérieuse. Si vous avez de la documentation sur ce cas, veuillez nous contacter. (Source de la présente info : Ufologie.net) (Info reprise sur de nombreux sites aux Usa, sans en citer la source.)
On assiste, de la part de sites récents qui voient le jour sur le net, à la reprise de cette information, propageant ainsi ce qui semble être une information sans fondement. Malgré nos récentes recherches, aux États Unis, pays d’origine de l’information, personne n’est en mesure de nous donner quoi que ce soit sur ce soi-disant « crash » au Maroc, listé dans divers catalogues. Nous ne désespérons pas d’aboutir, mais dans les circonstances actuelles et par le fait que la grande majorité des sites qui propagent cette information ne sont pas en mesure d’en donner l’origine, nous considérons qu’il s’agit d’un « faux ». Compte tenu de l’importance de l’information, après quelques années de recherches orientées sur l’ufologie au Maroc, auprès de nombreuses sources Américaines et Marocaines, nous aurions dû être en mesure d’obtenir une confirmation, si minime soit-elle. Ce n’est pas le cas. Nous invitons dans la situation actuelle, les divers supports, à mettre en garde leurs lecteurs quant au peu de réalisme de ce cas qui devrait être purement et simplement supprimé de la littérature ufologique. Poursuivre la diffusion d’une telle information, qui aurait alors une grande importance, sans en connaître la source n’est pas sérieux.
18 JUILLET 1972 - MORROCO, SAHARA DESERT – Idem ci-dessus.
3 bodies recovered : cette information provient de :
Rien de sérieux semble-t-il dans cette histoire que nous ne retrouvons nulle part ! Pourtant un certain nombre de catalogues la reprennent sans mettre d’avertissement quant à son authenticité, qui jusqu’à plus amples renseignements semble douteuse.
1973 – AUSERT 6 PROVINCE OUED DAHAB LAGUERA
Les membres de la section des opérations spéciales de la légion témoin de la présence d'une sphère lumineuse rouge à Ausert en plein jour.
1976 – 1974 – 1975 SAFI
Je suis marocain, né le 30 août 1965.
Quand j'étais encore petit, je me rappelle être sur la terrasse d'un immeuble où habitait ma grand-mère à Safi, au Maroc. Nous étions plusieurs personnes, dont ma sœur aînée, en train de regarder un grand festival à l'occasion de la Fête du Trône, qui durait à l'époque trois jours. C’était au début du mois de mars en 1973, 1974 ou 1975.
La nuit était déjà tombée quand on a vu une lumière blanche se rapprocher peu à peu, qui a pris à un moment la forme d'un trapèze. Elle était très visible et à basse altitude. Je n'ai jamais entendu quelqu'un parler d'avoir vu ça. En plus de moi, ma sœur se souvient elle aussi de cet événement.
Hicham (Doukkala-Abda – Maroc)
Source GREPI Genève.
1973 OU 1974 – FES Je suis titulaire d’un doctorat universitaire en géologie.
En 1973 ou 1974, mes amis et moi jouions aux billes devant la porte de notre école. L'un de nos amis cria soudain pour nous montrer une sorte de sphère de couleur orange-rosâtre, avec des trous clairs au centre, qui tournait de droite à gauche en ne faisant aucun bruit. Cet objet, qui avait la taille d'un immeuble, se déplaçait du sud au nord en tournant sur lui-même.
Mes amis se demandaient ce que c’était et je leur répondis que c'était un satellite américain. C’était nouveau et c'est mon grand frère qui m'avait parlé de ça. Alors mes amis et moi avons laissé tomber cet objet volant et sommes revenus à notre partie de billes.
Saïd (Fès - Maroc)
Source GREPI Genève.
JANVIER 1974 - DAORA - SUD MAROC
Un soir, en Janvier 1974, les soldats voire plusieurs objets lumineux près du sol à une piste près de Daora.
Source : ANGEL CARRETERO OLMEDO
27JANVIER 1974 – SAGUIA EL HAMRA - PROVINCE DE LAAYOUNE
27 Janvier 1974 : les occupants d'un hélicoptère militaire espagnol participant à la "Arred-el Yam" opération contre le Front Polisario voire une lueur sur le terrain dans le Saguia el-Hamra secteur. Diriger leur hélicoptère vers elle, la voir une forme sphérique, objet rond qui mesure trois mètres de diamètre émergeant d'un fossé. L’objet n’avait pas d'ouvertures que ce soit et a disparu vers l'est dans une affaire de secondes.
Source : ANGEL CARRETERO OLMEDO
FEVRIER 1974 - UAD TERNIT OU OUED TENIT – SUD MAROC
A la fin de 1974, un chasseur participant à la "Tifaniti II" opération a été accompagnée par un artefact ovale métallique alors qu'il survolait la région Uad Ternit. On relève une contradiction dans la date.
(Source : journal de El Ojo Critico et ANGEL CARRETERO OLMEDO)
28 AVRIL 1974 – CEUTA
Plusieurs membres du personnel d'un journal quotidien d’informations de Ceuta ont réussi à observer un étrange objet lumineux à 24 :00 heures le 28 Avril 1974. L'objet était à une hauteur considérable, une grande distance donc et semblait se déplacer lentement. Il émettait une lumière qui varie de la couleur blanchâtre à l’orange. Il a disparu en quelques secondes.
Source : Olmedo Andalousie Misteriosa Angel Carretero - S. Corrales
10 FEVRIER 1975 - CASABLANCA
Des centaines d’habitants voient deux soucoupes immobiles.
Source : Le Parisien Libéré du 20-02-1975, info communiquée par le GERU
SEPTEMBRE 1975 - CASABLANCA
Septembre 1975, période de la marche verte, peut être un samedi soir vers 21 h 00, je regardais en famille Abdelouhab Doukali à la télé, quand soudain mon cousin cria " feu d'artifice ". Nous sommes tous sortis sur le balcon (Bd Ziraoui à Casablanca) pour constater qu’une escadrille d'ovni était visible dans le ciel. Le lendemain ce phénomène a été repris dans le MATIN.
Ce témoignage nous a été transmis par FM de Casablanca, qui s’est tu depuis l’origine des faits. Septembre 2008. Dossier : archive d’Ovni Maroc
1976 OU 1977 - SAFI
Voici le témoignage de ma mère. A Safi, sur la côte atlantique Marocaine : Ma mère gardait mon grand frère qui avait environ 3 ans. Je n’étais pas né à cette époque-là. Tout à coup elle dit apercevoir, presque à travers des feuilles d’un arbre de leur jardin, comme un trait sombre et fin dans le ciel bleu. L’objet est resté strictement immobile au vu de sa position par rapport aux feuilles. Un quart d’heure plus tard, elle a dû rentrer. Peu après elle est ressortie, mais l’objet n’était plus là.
Le soir avant que mon père ne soit rentré, donc probablement en fin d’après-midi, deux amis de mes parents, des coopérants Belges et Américains sont venus lui rendre visite, très agités et excités. : « On a vu un ovni ! « Ils lui ont raconté qu’ils étaient à la plage, bien plus au sud de là ou ma mère avait également observé l’objet (mais ce n’était peut-être pas le même). Ils lui ont décrit alors la façon dont a disparu l’objet : « une accélération foudroyante vers l’océan suivi d’une disparition dans une gerbe d’étincelles.
Source : Forum « Les mystères du phénomène OVNI ». Témoignage de SEBASTIEN – 1er Mars 2008.
Autre source :
J'ai 22 ans. Mes parents ont vécu trois ans en expatriés au Maroc. C'est par une après-midi de 1977 que ma mère, alors occupée à garder mon grand frère de 3 ans dans leur jardin près de Safi, s'est trouvée confrontée à l'observation d'un OVNI.
Il était de la forme d'un cigare gris mat de taille inconnue mais à un angle de 45 degrés, au-dessus du désert. Il est resté strictement immobile pendant un quart d'heure environ, avant que ma mère ait dû rentrer un instant dans la maison... À sa sortie, une minute après, il n'était plus là !
C'est ce qui l'a marquée car le relief est très plat là-bas et il semble impossible à un hypothétique ballon dirigeable de disparaître à cet horizon lointain en si peu de temps !
Mais l'histoire va se compléter par la suite... Le soir, mon père rentre et mes parents reçoivent alors deux amis, partis cette après-midi-là se balader dans le désert. "Vous n'imaginez pas ce qu'on a vu aujourd’hui !" disent-ils à mes parents. Ma mère qui s'était tue jusqu'alors resta sur son silence et les écouta : c'était un cylindre semblable à un cigare et qui est resté 15-20 minutes strictement immobile, semblant faire le point sur leur carte, non loin de la côte atlantique.
Puis soudain, l'objet s'est mu, d'abord tout doucement vers l'océan puis il augmenta sa vitesse de telle sorte, qu'avant de franchir l'horizon, les amis de mes parents l'ont perdu de vue !!
Ma mère, depuis sait, moi j'attends... En outre elle a un ami scientifique qui avait fait une autre observation. Je me demande comment les gens qui ont eux-mêmes observé cela peuvent envisager de continuer leur vie comme si de rien n’était ! Moi je ne pourrais pas ! C'est trop grave
Précision :
J'avais déjà témoigné en 2002 pour une observation au Maroc en 1977 que ma mère avait faite. Juste une précision sur son témoignage : le cigare n’était pas au-dessus du désert mais au-dessus de la côte atlantique. Les deux amis l’avaient vu depuis le désert.
Source Grepi
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES DU TEMOIN
(Témoignage direct de Mme X, mère de Monsieur X1 qui a fait connaître ce cas.)
Enquête Septembre 2008
071 - OBSERVATION SAFI 76 ou 77 L’observation s’est déroulée en 1976-1977, vers 15 h 00, en ville et sur la commune de Safi au Maroc. Le phénomène à durée une quinzaine de minute et on distinguait une forme précise, celle d’un cigare. Il n’a pas varié dans son aspect. Sa couleur, gris-Bleu, est restée telle quel tout au long de l’observation. J’ai observé cet objet en position fixe tout au long de mon observation. La forme allongée était un peu plus épaisse que celle d’un avion à très haute altitude. Je n’ai remarqué aucun mouvement.
L’objet a été observé dans la direction Nord Est dans un ciel bleu, sans nuage. D’autres témoins l’ont vu disparaître vers l’Ouest. J’estime la hauteur angulaire de cet objet à 75° et était situé à une très haute altitude.
Cette observation a été faite à l’œil nu, le témoin ne portant pas de lunette. Il gardait son fils ce jour-là au moment de l’observation de ce phénomène. Je n’ai pas attendu la fin de l’observation personnellement et je suis rentré après une quinzaine de minute dans ma maison.
D’autres personnes ont été à l’époque témoins de la présence de cet engin dans le ciel de Safi.
Une vidéo que le témoin a apprécié voir car il y trouve une forte ressemblance avec l’OVNI observé. La forme, les proportions, le ton de la couleur sont conformes à son observation.
Archive d’Ovni Maroc.
18 – 19 SEPTEMBRE 1976 MEDHIA
DEUX MOTARDS DE LA POLICE OBSERVENT DES DISQUES VOLANTS AU DESSUS DE LA PLAGE DE MEHDIA A KENITRA AU MAROC
Nous sommes dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976, il y a donc déjà de bien nombreuses années, mais cette nuit-là, avec mon collègue Karim S, j’ai observé un phénomène inhabituel, une série de formes circulaires qui se déplaçaient dans l’espace.
072 Le motard de la gendarmerie Marocaine devant le spectacles d'OVNI -UAP
Nous étions deux, en service commandé (dans le cadre police/gendarmerie Royale de la route – brigade motocycliste - motard en conséquence), nous étions rattachés à la brigade de Kenitra. En fait, pour plus de précision, nous faisons partie de la Gendarmerie Royale et non pas de la Sûreté Nationale (dite la Police). La police des routes est un service parmi les autres services qui relève de la compétence de la Gendarmerie. Nous avions pour mission ce soir-là de faire une surveillance de la route principale Nr 2 qui va de Rabat à Tanger. Nous étions arrêtés pour un contrôle, à hauteur du point kilométrique 23 situé sur cette route principale. Le point 23 se trouve à hauteur de la plage de Mehdia, à une distante d’environ 3 kms à vol d’oiseau du lieu où nous nous situons. (Mehdia fait partie de la région de Gharb-Chrarda-Beni-Hassen, près de la ville de Kenitra à 30 km au nord-est de la capitale Rabat.)
073 Motards de la Gendarmerie Nationale Marocaine
La nuit était noire, le lieu de notre stationnement et les environs avoisinants étaient dotés de l'éclairage public déjà à l'époque, mais par contre les habitations étaient rares. Le ciel était dégagé et nous avions une vue parfaite dans notre environnement. Les étoiles étaient présentes en nombre sur la voûte céleste et bien visibles, aucun, ou pratiquement pas de nuage en conséquence. Mon regard se porte alors en direction de la mer, de la bourgade de Mehdia et de sa plage. Je vois alors plusieurs disques de forme circulaire (je ne me souviens plus du nombre exact, mais il y en avait plusieurs, peut-être une dizaine, un peu moins, mais c’est seulement un ordre d’idée) de couleur dorée, comme la couleur du soleil, mais sans éclat et sans émettre de rayons. Une forme de disque bien défini. Ces objets étaient tous de la même grosseur et se suivaient l’un derrière l’autre, en file indienne, à une distance qui me semblait identique entre ces différents objets. Ils se déplaçaient relativement lentement et laissaient entendre un sourd bruit similaire à celui d’un gros camion circulant dans une nuit calme et silencieuse. Malgré l’éloignement, on entendait très bien ce bruit qui devait être relativement fort si on était situé à côté des objets. Ces engins ne semblaient pas très éloignés de nous, la plage est à environ 3 Kms, nous les distinguions très bien et nous estimons qu’ils pouvaient être à une altitude de quelques centaines de mètres au mieux par rapport au sol, vu de notre point d’observation. En fait les disques survolaient presque la cime des arbres qui ont une hauteur d’environ 8m, mais sont implantés sur le sommet d'une cote que je peux estimer à son tour de 20 à 25 % par rapport à la route principale n° 2. Plus simple : vous êtes devant la porte de l'École Militaire et vous regardez le sommet de la Tour Eiffel.
Bien évidemment, selon nous, ils pouvaient être au-dessus de la plage, mais compte tenu de la distance, ils pouvaient aussi se situer au-dessus de la mer, toutefois semble-t-il relativement proche du bord de mer. Leur grosseur apparente, je l’estime de la même dimension que la pleine lune et peut-être un peu plus grand selon mes souvenirs. Mon collègue Karim et moi-même avons une excellente vue et nous avons tous les deux étés en mesure de suivre l’évolution de ces engins durant quelques minutes, (je n’ai plus souvenir de la durée précise) provenant du nord et se dirigeant vers le sud, direction ou ils ont disparu. Plus précisément, les disques disparaissaient de temps à autre de notre champ de vision à cause des arbres, mais de temps en temps on peut les voir distinctement entre les branches jusqu'à ce qu’ils disparaissent définitivement, toujours à la même vitesse. Nous avons eu le temps de bien les observer, sans comprendre pourtant ce dont il pouvait s'agir, seulement des objets circulaires, jaune doré, qui ont parcouru tranquillement notre champ de vision en émettant un bruit sourd, mais sans changer à aucun moment ni de vitesse, ni de direction. Ce bruit sourd était très fort, provenait de ces engins, les accompagnait et nous l’avons entendu jusqu’au moment de leur disparition et même après qu’ils aient quitté notre champ de vision, s’estompant progressivement. On entendait également une sorte d’écho à ce bruit.
074 carte de la région Rabat Kénitra

Nous avons tous les deux réfléchi à ce que pouvaient être ces objets, mais nous n’avons pas été en mesure de les comparer à des objets que nous connaissons. Nous savons, pour avoir entendu des informations à ce sujet, qu’il existe des objets qui sont observés dans notre espace aérien, (on parlait à cette époque de « soucoupes volantes » !) dont nous ne pouvons pas donner une origine. Mais nous n’y intéressons pas spécialement, aucune information n’a été publiée à cette époque dans la presse à propos d’objets inconnus dans l’espace, si bien que nous n’avons pas donné une grande importance à ce phénomène. Nous ne l’avons pas signalé dans notre rapport journalier, ce qui est d’ailleurs une faute professionnelle. Nous n’avons évoqué, de façon brève, ce phénomène qu’à certains de nos proches, sans approfondir. Aujourd’hui, je me pose toujours des questions à propos de cette observation et surtout sur l’impossibilité, même aujourd’hui, avec mes connaissances plus poussées de ce qui nous entoure, d’y donner une solution.
Compte tenu de l’éloignement, je ne peux pas donner d’autres précisions sur les dimensions exactes de ces engins, qui devraient toutefois selon ce que nous avons vu, être de la grosseur d’une grosse voiture.
Le témoin qui nous relate ces faits est quelqu’un de sérieux, qui ne plaisante pas, c’est Mustafa X marocain, 2 enfants, né en 1952 à Safi au Maroc, mais sa famille est originaire de la région d’El Jadida. Après son service dans la gendarmerie, il a entre autres, travaillé quelques années dans une ambassade au Maroc, puis environ 4 ans à Paris, également membre d’un service officiel qui représente son pays. Il réside actuellement en Suisse et il pense s’installer dans l’avenir dans son pays d’origine au Maroc afin d’y retrouver un climat propice pour y passer une agréable retraite au soleil….
ÉVÈNEMENT SIMILAIRE À CETTE ÉPOQUE
WIKILEAKS ET LES OVNIS AU MAROC
075 - Wikileaks et les OVNIS
Dans les documents secrets détournés par Wikileaks ont peu lire : des gendarmes marocains ont vu des ovnis en 1976. Hallucination collective ? En tout cas, Hassan II s'est saisi du dossier.
Hasard, c’est au cours de l’année 1976 qu’un Major de la gendarmerie royale qui rentre chez lui très tard la nuit, à 01h15 du matin vers Kenitra observe à partir de son véhicule, un objet lumineux dans le ciel. La garde de nuit qu’il a quitté depuis peu a fait la même observation. Sept autres gardes de nuit dans le royaume observent le même objet mystérieux et non identifié.
En moins de 24 h Housni Benslimane est au courant de l’affaire, le roi Hassan II suit personnellement le dossier et l’ambassade américaine informée est invitée à donner toutes les informations utiles sur ces « ovnis ». Sa majesté, au courant de la présence d’ovnis dans le monde entier, tient à en savoir plus sur toutes ces observations d’objets non identifiés qui se déroulent en 1976, dans le royaume.
Ces engins volants non identifiés similaires, ont été vu la nuit du 18-19 septembre de l’année 1976 par la gendarmerie dans sept différentes régions (Marrakech, Casablanca, Agadir, Fès, Meknès, Essaouira, Kalaat Assraghna) entre 01h00 et 01h30 du matin.
Robert Anderson, alors ambassadeur des USA au Maroc, affirme dans le rapport qu’il ne sait pas ce qu’il peut bien faire de tous ces éléments que le Maroc lui a fournis. Il transmet toutefois à qui de droit. On ne sait pas si les américains ont donné une solution à ces affaires, bien embarrassantes pour le diplomate.
Gérard Lebat
Témoignage direct du témoin, conservé dans les archives des Rencontres Ufologiques de Marrakech.
Voir aussi : L’histoire des OVNIS au Maroc, un ouvrage gratuit sur Internet, que l’on peut consulter en se rendant le site OVNI MAROC International.
Nota :
- Les prénoms, noms, villes identitaires et autres éléments permettant le levé de l’anonymat ont été modifiés.
- Version 1.1. Vérifiée par le témoin.
19 SEPTEMBRE 1976 – COTE OUEST MAROC. INCIDENT DE TEHERAN
Observation le long de la côté ouest du Maroc, ce à quoi Henry Kissinger répondit
Un autre document fit surface révélant qu’entre 01h00 et 02h00 de la nuit heure locale, le 19 septembre 1976 un OVNI très similaire avait été vu dans diverses localités du Maroc, soit environ 3 à 4 heures plus tard.
Le document était adressé par l’ambassade américaine à Rabat, Maroc vers le Département d’État des USA et était daté du 25 septembre 1976. – « Objet : Demande d’information. Objets volants non identifiés” La lettre mentionnait que la police marocaine avait enregistré de très nombreux rapports concernant un objet volant de manière générale parallèlement à la côte Atlantique à basse altitude. L’objet argenté et lumineux avait une forme circulaire ou tubulaire et émettait par intervalles des traînées d ‘étincelles brillantes et de fragments. Il ne faisait aucun bruit. Un des correspondants non nommés dit qu’il l’avait vu lui-même, et qu’il volait lentement comme un avion qui s’apprête à atterrir. Au début il semblait en forme de disque mais en se rapprochant il avait une apparence tubulaire. »
Le Secrétaire d’État Henry Kissinger répondit dix jours plus tard dans le style de la politique des USA concernant les Ovni. Kissinger fit remarquer que le rapport du Comité Condon avait démontré que tous les Ovni pouvaient être attribués à des causes naturelles et qu’aucune enquête ne devait suivre. Kissinger dit que les gens avaient probablement vu un météore ou une retombée d’une partie de lancement de satellite, choses pour lesquelles il n’y a pas de rapport. » (Fawcett & Greenwood, 86-87)”
18-19 SEPTEMBRE 1976 MARRAKECH – CASABLANCA – RABAT - KENITRA.
Autre source.
Bien que rien ne permette de lier formellement les deux événements, on se doit de constater que cette nuit du 18 au 19 septembre 1976 fut aussi agitée au Maroc qu'en Iran.
C'est ainsi que l'ambassade des États-Unis à Rabat allait questionner le Département d’État dans un message officiel, également produit par les ufologues américains du CAUS. On y lit que la gendarmerie avait reçu des appels d'Agadir, de la région de Marrakech, de Casablanca, Rabat et Kenitra entre autres, signalant entre 01h00 et 01h30 du matin le passage d'un phénomène lumineux. Celui-ci volait du sud-ouest vers le nord-est, sans bruit, et à une vitesse relativement faible selon certains témoins. Décrit de forme circulaire ou tubulaire et de couleur argentée, il laissait échapper des étincelles par intermittence. Le fonctionnaire américain concluait son rapport en avouant sa perplexité et en demandant que lui soit fournies toutes informations susceptibles de concerner ce phénomène, informations qu'il entendait transmettre à ceux - dont les noms furent censurés avant divulgation du rapport - qui, sur place, lui avaient signalé ces observations.
Le mois suivant, le Secrétaire d’État Henry Kissinger répondait à l'ambassade, rappelant les conclusions de la commission Condon sur les ovnis en général, et suggérant que les témoignages marocains puissent être attribués à la désintégration dans l'atmosphère d'un météore ou d'un satellite. Les descriptions semblent effectivement proches de celles enregistrées dans les cas de rentrées atmosphériques. Cette concordance de date ne serait-elle donc qu'une coïncidence ?
RM
Source : Extrait de la revue « Phénoména » n° 23 de septembre -octobre 1994 page 14
19 SEPTEMBRE 1976 TELEX ORIGINAL AMABASSADE US RABAT CAS DE CASABLANCA-AGADIR-RABAT…. BIBLIOTHEQUE PUBLIQUE DE LA DIPLOMATIE AMERICAINE
076 - 077 photos des échanges
Présentation du document sur internet et origines :
MOROCCAN REQUEST FOR INFO -- UFOS
Date: 1976 October 5, 20:41 (Tuesday)
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Original Classification : UNCLASSIFIED
Current Classification :UNCLASSIFIED
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UFOS RÉF : RABAT 5209 ; ÉTAT 244918
1. IL EST DIFFICILE D'OFFRIR UNE EXPLICATION DÉFINITIVE QUANT À LA CAUSE OU À L'ORIGINE DES OVNIS APERÇUS DANS LA RÉGION MAROCAINE ENTRE 0100 ET 0130 HEURE LOCALE LE 19 SEPTEMBRE 1976.
2. UNE ENQUÊTE APPROFONDIE SUR CE SUJET A ÉTÉ MENÉE AUX ÉTATS-UNIS EN 1969 ; ÉTUDE SCIENTIFIQUE D'OBJETS VOLANTS NON IDENTIFIÉS, E.U. CONDON, PUBLIÉ PAR BANTAM BOOKS, NEW YORK. CETTE ÉTUDE INDIQUE QUE LES OBSERVATIONS DÉTAILLÉES D'OVNI PAR DES TÉMOINS FIABLES PEUVENT ÊTRE EXPLIQUÉES DE PLUSIEURS FAÇONS, PAR EXEMPLE : EN TERMES D'ACTIVITÉ LOCALE DE BALLONS, D'AVIONS OU DE SATELLITES ; PAR LES CONDITIONS MÉTÉOROLOGIQUES ET ATMOSPHÉRIQUES, Y COMPRIS LES ÉVÉNEMENTS MÉTÉORIQUES ; ET PAR DES OBJETS ASTRONOMIQUES. NON CLASSIFIÉ NON CLASSIFIÉ
PAGE 02 ÉTAT 247538
3. LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN N'A CONNAISSANCE D'AUCUNE ACTIVITÉ D'AÉRONEFS OU DE SATELLITES AMÉRICAINS, MILITAIRES OU CIVILS, DANS LA RÉGION MAROCAINE QUI AURAIT PU ÊTRE CONFONDUE AVEC DE TELLES OBSERVATIONS LE 19 SEPTEMBRE 1976. CELA N'EXCLUT PAS LES VOLS D'AVIONS OU D'AUTRES PAYS OU DES CONDITIONS OU ÉVÉNEMENTS ATMOSPHÉRIQUES INHABITUELS COMME CAUSE POSSIBLE.
4. TOUT LE SUJET DES OVNI A FAIT L'OBJET DE NOMBREUSES CONTROVERSES. À L'HEURE ACTUELLE, IL N'Y A PAS D'AGENCE DU GOUVERNEMENT AMÉRICAIN QUI ÉTUDIE CETTE QUESTION, L'OPINION ÉTANT QUE DE TELLES OBSERVATIONS, POUR LESQUELLES DES DONNÉES SUFFISAMMENT DÉTAILLÉES ET FIABLES SONT DISPONIBLES, PEUVENT ÊTRE ATTRIBUÉES À DES CAUSES NATURELLES ET QU'UNE ÉTUDE PLUS APPROFONDIE N'EST PAS JUSTIFIÉE.
5. BIEN QU'IL N'Y AIT PAS DE PLUIE DE MÉTÉORES MAJEURE EN SEPTEMBRE, LE TAUX DE MÉTÉORES SPORADIQUES DANS L'HÉMISPHÈRE NORD EST À SON MAXIMUM TÔT LE MATIN ET PENDANT LES MOIS D'AUTOMNE. MAIS, LES MÉTÉORES SONT GÉNÉRALEMENT VISIBLES À UNE ALTITUDE D'ENVIRON 100 KM, ET NON DE 1 KM. CEPENDANT, LES ESTIMATIONS SUBJECTIVES DE LA HAUTEUR DE CES OBSERVATIONS SONT GÉNÉRALEMENT TROP BASSES. LA TRAJECTOIRE PLATE SW À NE POURRAIT ÊTRE COMPATIBLE AVEC UN MÉTÉORE OU UN SATELLITE EN DÉCOMPOSITION. LES TRAJECTOIRES TANGENTIELLES NE SONT PAS LES PLUS PROBABLES POUR LES MÉTÉORES, MAIS NE SONT PAS IMPOSSIBLES. IL EST PEU PROBABLE, D'APRÈS LA DESCRIPTION, QUE L'ÉVÉNEMENT AIT PU ÊTRE UNE RÉFLEXION D'UN SATELLITE EN ORBITE POLAIRE.
6. NOUS VÉRIFIONS EN OUTRE SI CE PHÉNOMÈNE A ÉTÉ OBSERVÉ OU NON PAR LA STATION AU SOL DE L'OBSERVATOIRE ASTROPHYSIQUE SMITHSONIAN DANS LE SUD DE L'ESPAGNE. LA PERSONNE-RESSOURCE À LA SAO, À CAMBRIDGE, DANS LE MASSACHUSETTS, EST JAMES CORNELL, TÉLÉPHONE : 617-495-7461.
7. SI CET ÉVÉNEMENT ÉTAIT UN MÉTÉORE, UNE OBSERVATION COMPARABLE AUX ÉTATS-UNIS SERAIT LA BOULE DE FEU DE L'ALBERTA D'AOÛT 1972 QUI A VOYAGÉ DU SUD AU NORD DE LAS VEGAS, NEVADA, ÉTATS-UNIS À EDMONTON, ALBERTA, CANADA ET ÉTAIT À PEU PRÈS TANGENTE À LA SURFACE DE LA TERRE, SON POINT LE PLUS BAS EN ALTITUDE ÉTANT D'ENVIRON 40 KM. C'ÉTAIT UN ÉVÉNEMENT TRÈS FRAPPANT ET DANS LEQUEL LE MÉTÉORE SEMBLE ÊTRE ENTRÉ PUIS SORTI DE L'ATMOSPHÈRE. NON CLASSIFIÉ NON CLASSIFIÉ
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8. AFIN D'ANALYSER À FOND L'ÉVÉNEMENT MAROCAIN, IL SERAIT NÉCESSAIRE DE DISPOSER D'AUTRES DESCRIPTIONS OU PHOTOGRAPHIES DE LA RÉGION. EN ATTENDANT, ON AURAIT TENDANCE À CROIRE QU'IL S'AGIT D'UN MÉTÉORE, ET PROBABLEMENT D'UN MÉTÉORE, OU EN RAISON DE LA DESCRIPTION D'UNE VITESSE LENTE, D'UN BRUIT NUL ET DE FRAGMENTS EN COMBUSTION, D'UNE PARTIE D'UN SATELLITE EN DÉCOMPOSITION, DONT IL N'EXISTE AUCUN ENREGISTREMENT PRÉCIS DE RENTRÉE.
KISSINGER NON CLASSIFIÉ NNN
HIER, 23 SEPTEMBRE, LE COLONEL HOUSNI BENSLIMANE, COMMANDANT DE LA GENDARMERIE ROYALE, A DEMANDÉ À ME VOIR À 1000 HEURES LE MÊME JOUR.
A SON ARRIVÉE, LE COLONEL BENSLIMANE A DÉCLARÉ QUE LE ROI L'AVAIT ENVOYÉ POUR DISCUTER DES OBSERVATIONS D'OBJETS VOLANTS NON IDENTIFIÉS (OVNI) AU-DESSUS DU MAROC DANS LA NUIT DU 18 AU 19 SEPTEMBRE. SELON LE COLONEL BENSLIMANE, LA GENDARMERIE AVAIT REÇU DES APPELS DE GRENOUILLES D'AGADIR, DE LA RÉGION DE MARRAKECH, DE CASABLANCA, DE RABAT, DE KÉNITRA ET D'AUTRES RÉGIONS SIGNALANT L'OBSERVATION D'OVNI ENTRE 01H00 ET 01H30, DANS LA NUIT DU 18 AU 19 SEPTEMBRE. LES RAPPORTS DE CES ENDROITS TRÈS ÉLOIGNÉS ÉTAIENT REMARQUABLEMENT SIMILAIRES, C'EST-À-DIRE QUE L'OBJET SE TROUVAIT GÉNÉRALEMENT SUR UNE TRAJECTOIRE SUD-OUEST À NORD-EST, QU'IL AVAIT UNE FORME CIRCULAIRE LUMINEUSE ARGENTÉE ET QU'IL DÉGAGEAIT DES TRAÎNÉES INTERMITTENTES D'ÉTINCELLES ET DE FRAGMENTS BRILLANTS, ET NE FAISAIT AUCUN BRUIT. IL A PROMIS DE FOURNIR PLUS DE DÉTAILS AUJOURD'HUI, LE 24 SEPTEMBRE, ET A DEMANDÉ QUE NOUS FOURNISSIONS TOUTE INFORMATION QUE NOUS POURRIONS AVOIR SUR CES OBSERVATIONS. LE COLONEL BENSLIMANE A DÉCLARÉ QUE LE ROI ÉTAIT PERSONNELLEMENT INTÉRESSÉ. J'AI PROMIS QUE NOUS FERIONS CE QUE NOUS POUVIONS.
AUJOURD'HUI, 24, UN MAJOR MOHAMED LISSAOUI DE LA GENDARMERIE ROYALE A RENCONTRÉ DATT ET LUI A DONNÉ UN RÉSUMÉ DES OBSERVATIONS. LISSAOUI A ÉGALEMENT PERMIS À DATT DE REGARDER DES DESSINS
CONFIDENTIEL CONFIDENTIEL
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RABAT 05209 250817Z DE L'OVNI PRÉPARÉ PAR DIVERS INDIVIDUS, Y COMPRIS LUI-MÊME, QUI AVAIENT APERÇU L'OVNI.
3. LES HEURES DES OBSERVATIONS ONT VARIÉ DE 0100 À 0200 HEURES LE MATIN DU 19 SEPTEMBRE, LA MAJORITÉ D'ENTRE ELLES SE PRODUISANT ENTRE 0100 ET 0130 HEURES. DES OBSERVATIONS ONT ÉTÉ SIGNALÉES À AGADIR, KALAA-SRAGHNA, ESSAOUIRA, CASABLANCA, RABAT, KÉNITRA, MEKNÈS ET DANS LA RÉGION DE FÈS. IL Y AVAIT UN ACCORD GÉNÉRAL QUE L'OVNI SE DIRIGEAIT APPROXIMATIVEMENT DU SUD AU NORD, GÉNÉRALEMENT PARALLÈLE À LA CÔTE ATLANTIQUE MAROCAINE, À UNE ALTITUDE ESTIMÉE DE 1 000 MÈTRES, ET QU'IL N'Y AVAIT ABSOLUMENT AUCUN SON DE L'OVNI.
4. LES DESCRIPTIONS DE L'OVNI SE RÉPARTISSAIENT EN DEUX GRANDES CATÉGORIES, C'EST-À-DIRE UN TYPE DE BOULE APLATIE LUMINEUSE DE COULEUR ARGENTÉE (EN FORME DE DISQUE), OU UN GRAND OBJET LUMINEUX EN FORME DE TUBE. LES OBSERVATEURS ONT RAPPORTÉ QUE L'OBJET ÉMETTAIT PAR INTERMITTENCE DES ÉTINCELLES BRILLANTES DE L'ARRIÈRE.
5. LE MAJOR LISSAOUI A DÉCLARÉ QU'IL AVAIT ÉTÉ ENVOYÉ POUR INFORMER DATT SUR LE SUJET PARCE QU'IL AVAIT LUI-MÊME APERÇU L'OVNI EN REVENANT DE LA VILLE DE KÉNITRA VERS 0115 DU MATIN. IL A DÉCRIT L'OVNI COMME VOLANT PARALLÈLEMENT À LA CÔTE À UNE VITESSE RELATIVEMENT LENTE, COMME S'IL S'AGISSAIT D'UN AVION SE PRÉPARANT À ATTERRIR. IL LUI EST D'ABORD APPARU COMME UN OBJET EN FORME DE DISQUE, MAIS EN S'APPROCHANT, IL L'A VU COMME UN OBJET LUMINEUX DE FORME TUBULAIRE.
6. FRANCHEMENT, JE NE SAIS PAS QUOI PENSER DE CES OBSERVATIONS, BIEN QUE JE TROUVE INTRIGANTE LA SIMILITUDE DES DESCRIPTIONS RAPPORTÉES DANS DES ENDROITS TRÈS DISPERSÉS. EN TOUT ÉTAT DE CAUSE, JE SOUHAITE ÊTRE EN MESURE DE RÉPONDRE RAPIDEMENT À LA DEMANDE D'INFORMATION DU ROI HASSAN, ET J'APPRÉCIERAIS TOUT CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE POUR M'AIDER DANS CETTE TÂCHE. ANDERSON CONFIDENTIEL
Traduit de l’anglais par OVNI Maroc.
25 SEPTEMBRE 1976 WIKILEAKS PUBLIE UN CABLE ENGAGEANT LE MAROC SUR L’AFFAIRE DES OVNI DU 19 SEPTEMBRE 1976
Wikileaks Maroc : Hassan II suivait les ovnis de près
Publié le 10.04.2013 à 17h30 Par Julie Chaudier
Wikileaks a encore frappé. Le site Wikileaks a rendu publiques, le 8 avril, 1,3 millions de câbles diplomatiques datant des années 70. L’un d’eux révèle qu’Hassan II s’intéressait de très près aux ovnis, au point d’envoyer le général Housni Benslimane lui-même demander des informations auprès de l’ambassade des États Unis.
/DR
Le 25 septembre 1976, l’ambassade des États Unis à Rabat envoie un télégramme électronique, à Margaret P. Grafeld, au Département d’état des États Unis, révèle Wikileaks. À 10 heures du matin, Housni Benslimane, commandant de la gendarmerie royale, rencontre l’ambassadeur Robert Anderson après avoir demandé à la voir, plus tôt dans la matinée. Hounsi Benslimane se déplace en personne. L’heure est grave, il s’agit d’ovnis.
« Quand il est arrivé, le colonel Benslimane a dit que le roi l’avait envoyé pour discuter de plusieurs observations d’objets volants non identifiés au-dessus du Maroc, dans la nuit du 18 au 19 septembre. Selon le commandant Benslimane, la gendarmerie a reçu plusieurs appels d’Agadir, de la région de Marrakech, de Casablanca, Rabat, Kenitra et d’autres régions qui rapportent [le passage] d’ovnis entre 1 heure et 3 heures du matin », raconte l’ambassadeur.
Le roi personnellement intéressé
Le roi craignait-il une attaque étrangère ? La traversée illégale de l’espace aérien marocain ? Non. L’objet n’a rien à voir avec un avion d’après les descriptions du commandant Benslimane. « L’objet allait généralement du sud-ouest au nord-est, il était argenté, lumineux et de forme circulaire et envoyait des éclats lumineux par intermittence et il faisait du bruit », rapporte l’ambassadeur.
Le général Benslimane s’est déplacé en personne jusqu’à l’ambassade pour demander directement les informations que pouvaient avoir enregistré les américains sur ces ovnis. L’ambassadeur précise : « le colonel Benslimane a dit que le roi était personnellement intéressé. J’ai promis que nous ferions ce que nous pourrions. »
Surpris, mais loin de prendre à la légère la demande royale, Robert Anderson écrit directement au Département d’État. « Franchement, je ne sais pas quoi faire de ces observations bien que je trouve intrigantes les similitudes entre les différentes descriptions réalisées dans des endroits très éloignés les uns des autres. En tout cas, je souhaite pouvoir répondre rapidement à la demande d’information du roi Hassan et je vous serais reconnaissant quoi que vous fassiez pour m'y aider », conclut-il.
19 SEPTEMBRE 1976 (une autre version)
A 04h00 ou 05h00 du matin, un ovni (celui vu le même jour à Téhéran ?) est vu en train de voler à peu près parallèlement à la côte Atlantique. Durant 1 h, depuis environ 01h00 du matin heure locale, un ovni brillant et laissant des étincelles dans son sillage vole lentement à une altitude estimée à 1000 m, survolant le pays du sud au nord. Des rapports émanent d'Agadir, de Kalaa Sraghna, d'Essaouira, de Casablanca, de Rabat et de Fez. L'ovni vu de loin ressemblait à un disque et de plus près à un cylindre.
(Source : agence de presse diverses)
Certaines dépêches d’agences reprennent en illustration la photo ci-dessous, qui ne représente en fait qu’une photo faite après le lancement d’un missile Poséidon. Note ajoutée sur demande de Juan Ballester Olmos, cette photo pouvant induire en erreur !
19 SEPTEMBRE 1976 LA SOLUTION A CES OBSERVATIONS COMMUNIQUEE PAR TED MOLCZAN UN SPECIALISTE DE LA TRAQUE DES SATELLITES.
From: Ted Molczan
Date: Fri Oct 05 2012 - 02:45:20 UTC
078 - Photo d'un OVNI
Récemment, je suis tombé sur une vieille histoire d'OVNI avec des descriptions qui suggéraient fortement une rentrée mal identifiée depuis l'orbite terrestre, ce que je crois corrélée avec la rentrée connue d'un morceau de matériel d'un étage de fusée russe.
1. Observations
Les observations ont eu lieu au Maroc dans la nuit du 18 au 19 septembre 1976 UTC, sur une zone s'étendant sur environ 600 km. Le roi Hassan a demandé l'aide du gouvernement américain pour les expliquer, ce qui a abouti au message suivant de l'ambassade des États-Unis au Maroc au département d'État :
J'ai trouvé les extraits suivants très utiles sur le plan analytique :
"1. ... L'objet était sur une trajectoire généralement sud-ouest à nord-est, c'était une forme circulaire lumineuse argentée et dégageait des traînées intermittentes d'étincelles et de fragments brillants, et ne faisait aucun bruit..."
"3. Les heures des observations ont varié de 0100 à 0200 heures le matin du 19 septembre, la majorité d'entre elles se produisant entre 0000 et 0130 heures. Des observations ont été signalées à Agadir, Kalaa-Sraghna, Essaouira, Casablanca, Rabat, Kénitra, Meknès et la région de Fès. Il y avait un accord général sur le fait que l'OVNI suivait une trajectoire approximativement du sud au nord, généralement parallèle à la côte atlantique marocaine, à une altitude estimée à 1 000 mètres, et qu'il n'y avait absolument aucun son de l'OVNI."
"4. Les descriptions de l'OVNI se répartissaient en deux grandes catégories, c'est-à-dire un type de boule lumineuse aplatie de couleur argentée (en forme de disque), ou un grand objet lumineux en forme de tube. Les observateurs ont rapporté que l'objet émettait par intermittence des étincelles brillantes de l'arrière.
"5. Le Major Lissaoui a déclaré qu'il avait été envoyé pour informer Datt [attaché de la défense américaine] sur le sujet parce qu'il avait lui-même aperçu l'OVNI en revenant de la ville de Kenitra vers 0115 du matin. Il a décrit l'OVNI comme volant parallèlement à la côte à une vitesse relativement lente, comme s'il s'agissait d'un avion se préparant à atterrir. Il lui est d'abord apparu comme un objet en forme de disque, mais en s'approchant, il l'a vu comme un objet lumineux de forme tubulaire.
Cela semble être un bel exemple d'une rentrée qui a été perçue comme une soucoupe ou un engin cylindrique/en forme de cigare, à une distance beaucoup plus proche que la réalité.
D'après le contexte, j'ai pris les heures rapportées comme norme locale, qui se trouve être la même que l'UTC. Par conséquent, j'ai cherché des désintégrations qui auraient pu se produire le 19 septembre 1976 entre 01 h et 02 h UTC.
2. Corrélation avec 1976-074C / 09051
Ma recherche de la base de données Space Track de l'USSTRATCOM a révélé des désintégrations répertoriées sur chacun des 18, 19 et 20 septembre 1976 UTC. Les désintégrations pour les deux dernières dates ne sont pas corrélées avec les observations d'OVNI, mais celle du 18 septembre l'a fait. L'objet en question est 1976-074C / 09051. Apparemment, il est resté en orbite un peu plus longtemps que prévu. C'était l'ensemble du moteur BOZ éjecté du troisième étage de la fusée Molniya qui a orbité autour de Molniya 1-35 en juillet 1976. Mark Wade fait état d'une masse de 700 kg, mais on ne sait pas exactement quelle quantité de carburant est présente. Une masse à vide aussi faible que 50 à 100 kg serait suffisante pour produire une rentrée visuellement impressionnante. (C'est la rentrée d'un moteur de remplissage du lancement de Zond IV en 1968 (1968-013C / 03136), qui a abouti à ce qui est devenu le prototype des observations d'OVNI soucoupe/cigare.)
L'USSTRATCOM a enregistré la date de décomposition comme étant le 18 septembre 1976, mais mon analyse l'a placée tôt le 19 septembre, à quelques minutes de 01h30 UTC, ce qui correspond à l'heure des observations.
J'ai obtenu les TLE (2-line orbital element sets) pour mon analyse auprès de Space Track, mais ils sont également disponibles sur le site de Jonathan McDowell :
J'ai estimé la date et l'heure de la désintégration en utilisant la combinaison des propagateurs de désintégration Satevo et Satana d'Alan Pickup, qui sont basés sur les recherches publiées du Dr Desmond King-Hele, qui a été l'un des principaux chercheurs sur les mathématiques et la physique des orbites des satellites terrestres au cours des trois premières décennies de l'ère spatiale. Satevo propage rapidement et de manière fiable un TLE jusqu'à la décroissance, signale la date et l'heure estimées et génère des TLE propagés pour chaque révolution jusqu'à la décroissance. Satana est un préprocesseur pour Satevo, qui utilise les mêmes algorithmes de décroissance pour ajuster des taux de décroissance plus précis aux TLE de l'USSTRATCOM, ce qui, selon moi, aide à améliorer la précision des estimations de décroissance. L'utilisateur spécifie trois TLE, couvrant idéalement plusieurs tours, et le programme génère des versions améliorées. Alan recommande fournissant le résultat de Satana à Satevo pour faire l'estimation finale de la décomposition.
J'ai transmis les trois derniers TLE de l'USSTRATCOM à Satana, ce qui a donné cette meilleure estimation du TLE final :
76074C 173 x 152 km
1 09051U 76074 C 76262.69174196 .11501936 94379-1 44144-3 0 90590
2 09051 62.8815 351.7629 0016273 58.0891 302.0689 16.41174274 9060
En l'introduisant dans Satevo, on a estimé le temps de décomposition le 18 septembre à 23:08 UTC, et une TLE s'est propagée jusqu'au début de la révolution finale :
La propagation de ce TLE à l'aide de SGP4 a révélé que l'objet aurait probablement survécu jusqu'au 19 septembre, la descente finale commençant vers 01:10 UTC. Le train de débris de rentrée a dépassé la côte marocaine, se déplaçant vers le nord-nord-est, conformément aux éléments 1 et 3, et il aurait été visible depuis les huit lieux d'observation d'OVNI.
Ci-dessous, un graphique de la piste au sol :
Il convient de noter que le profil d'altitude et le point de descente terminale (où la trajectoire se termine et où les fragments survivants descendent presque verticalement) sont assez incertains, donc bien que la trajectoire soit tracée à travers l'Europe occidentale, elle ne s'est peut-être pas étendue aussi loin. Si c'est le cas, et si le temps était favorable, il peut exister des rapports d'observation.
Le tableur suivant permet d'estimer les éphémérides (trajectoire du ciel) du train de rentrée à partir de n'importe quel endroit à portée. Il suffit d'entrer les coordonnées du site sur la première feuille. Toute partie qui s'élève à au moins 3 degrés au-dessus de l'horizon sera surlignée en rouge.
La deuxième feuille fournit les éphémérides pour les huit endroits au Maroc où des observations ont été signalées. Vous trouverez ci-dessous un résumé, énumérant les coordonnées de chaque emplacement et l'altitude estimée du train de débris de rentrée au point culminant :
N W HASL Culm
Agadir 30,42 9,59 40 18
Essaouira 31,51 9,76 5 27
Kalaa-Sraghna 32.06 7.40 401 13
Casablanca 33.57 7.58 5 20
Rabat 34,01 6,83 10 18
Kenitra 34,26 6,58 10 17
Meknès 33,89 5,55 480 12
Région de Fès 34,04 5,00 298 10
La rentrée aurait culminé bien au-dessus de l'horizon et aurait été facilement visible de tous ces endroits, qui s'étendent sur une portée d'environ 600 km à travers le Maroc. Il convient de noter que l'altitude estimée au cours de cette période - environ 85 km - est quelque peu incertaine, mais même la réduire à 50 km au moment de l'approche la plus proche de la région de Fès n'invaliderait pas les résultats.
3. Réponse du gouvernement américain
Le gouvernement américain n'a pas réussi à identifier la cause exacte des observations d'OVNI, mais il a très bien réduit les possibilités, selon ce rapport attribué au secrétaire d'État Henry Kissinger :
Son commentaire final :
"8. Afin d'analyser en profondeur l'événement marocain, il serait nécessaire d'autres descriptions ou photographies de la région. En attendant, on aurait tendance à croire qu'il s'agit d'un météore, et probablement d'un météore, ou en raison de la description d'une vitesse lente, d'un manque de bruit et de fragments en feu, d'une partie satellite en décomposition, dont il n'existe aucun enregistrement précis de rentrée.
Je ne sais pas si l'on a tenu compte de la possibilité que 1976-074C / 09051, qui se serait décomposé le 18 septembre, aurait pu survivre assez longtemps pour provoquer les rapports d'OVNI tôt le 19 septembre. Je suis raisonnablement confiant dans mon estimation que c'est le cas, mais je ne prétends pas à l'infaillibilité ; par conséquent, j'accueille et encourage les analyses alternatives. Je serais particulièrement intéressé de connaître les résultats des propagations de rentrée semi-analytiques ou numériquement intégrées, qui pourraient donner une estimation plus fiable du temps de descente et du profil d'altitude.
Ted Molczan
Wikileaks Maroc : L’Ovni qui inquiétait Hassan II était un morceau de fusée russe
Pol. Nationale | Publié le 16.04.2013 à 10h00 | Par Julie Chaudier
PUBLICATION SUR LE SITE MAROCAIN : YABILADI
Il y a moins d’une semaine un câble diplomatique publié par Wikileaks révélait que Hassan II s’était inquiété, à la fin de l’été 1976, d’un Ovni qui avait traversé le ciel du Maroc. Un Américain passionné de satellites a trouvé l’explication, 36 ans plus tard : il s'agissait d’un morceau de fusée russe.
079 - Trajectoire de la fusée russeTed Molczan
, celui qui regarde aujourd’hui les satellites américains depuis son balcon, à Toronto, a trouvé la réponse que Housni Benslimane, commandant de la gendarmerie royale, était venu chercher, en vain, à l’ambassade américaine de Rabat, le 25 septembre 76, de la part du roi Hassan II lui-même. L’Objet volant non identifier (Ovni), observé simultanément depuis plusieurs villes du Maroc, dans la nuit du 18 au 19 juillet 76 qui avait tant intrigué Hassan II était, en fait, les débris d’une fusée russe finissant sa chute et sa destruction dans l’atmosphère terrestre, le long de la côte marocaine.
Quand il est arrivé, le colonel Benslimane a dit que le roi l’avait envoyé pour discuter de plusieurs observations d’objets volants non identifiés au-dessus du Maroc, dans la nuit du 18 au 19 septembre. Selon le commandant Benslimane, la gendarmerie a reçu plusieurs appels d’Agadir, de la région de Marrakech, de Casablanca, Rabat, Kenitra et d’autres régions qui rapportent [le passage] d’ovnis entre 1 heure et 3 heures du matin », raconte l’ambassadeur des États Unis à Rabat, Robert Anderson, à sa hiérarchie le département d’État américain le 25 septembre 1976, dans un télégramme diplomatique rendu publique par Wikileaks, il y a une semaine.
L'Ovni marocain
Le général Benslimane s’est déplacé en personne jusqu’à l’ambassade pour demander directement les informations que pouvaient avoir enregistré les américains sur ces ovnis. L’ambassadeur précise : « le colonel Benslimane a dit que le roi était personnellement intéressé. J’ai promis que nous ferions ce que nous pourrions. »
Le 2 octobre, le secrétaire d’État, Henry Kissinger signe un télégramme diplomatique à destination de l’ambassade américaine à Rabat : il prévoit d’offrir une réponse aux préoccupations du souverain la semaine suivante. « Il est difficile d’offrir une explication définitive de la cause à l’origine des ovnis observés dans la zone marocaine », commence le second télégramme du département d’État, envoyé le 5 octobre à l’ambassadeur.
Toutes les hypothèses rationnelles sont passées en revue, puis il conclut : « On aurait tendance à croire que l’objet était une météorite, une météorite probablement spectaculaire, ou bien, en tenant compte des descriptions faisant référence à une vitesse lente, à aucun bruit, et à des fragments en feu, un satellite en décomposition pour lequel il n’y a pas eu d’enregistrement précis. »
Satellite russe de communication militaire
Faux, répondait Ted Molczan, le 5 octobre 2012, après avoir lancé des recherches dans plusieurs bases de données. Ted Molczan est un geek d’une espèce originale décrite par le New York Times dans un article paru le 5 février 2008 : il est l’un des observateurs amateurs des satellites les plus connus. Ted Molczan passe son temps libre, la nuit, sur son balcon à Toronto à observer le ciel avec des jumelles. À l’automne 2012, il raconte qu’il entend parler d’une vieille histoire d’Ovni ; « avec des descriptions qui suggèrent fortement une réentrée [de débris satellite, ndlr] mal identifiée depuis l’orbite terrestre qui est je crois à mettre en corrélation avec la réentrée connue d’un morceau du matériel de l’étage d’une fusée russe », estime-t-il dans une analyse publiée sur son blog.
Après avoir eu connaissance de la requête d’Hassan II à l’ambassade des États Unis, il lance des requêtes dans la base de données Space Track d’USSTRATCOM. Aucune des destructions de pièces de satellites recensée le 19 septembre 1976 ne peut expliquer ce que les Marocains ont vu, mais le 18 septembre, une partie du moteur du troisième étage de la fusée russe Molniya qui met en orbite le satellite russe de communication militaire Molniya 1-35 est éjecté, découvre Ted Molczan. Selon ses recherches l’objet aurait pesé près de 700 kg, sans compter la quantité de fuel encore contenu dans cette partie de la fusée. Une taille plus que suffisante pour faire une entrée fracassante dans l’atmosphère terrestre.
Le reste de ses recherches « ont révélé que l’objet aurait probablement vécu jusqu’au 19 septembre, avec une descente finale commençant à 1h10 du matin, heure GMT. La réentrée du train de débris est passée le long de la côte marocaine dans la direction nord, nord-est. Tout concorde. Pas d’extra-terrestres. En pleine guerre froide, les ovnis marocains n’étaient que des débris de fusée russe.
NOVEMBRE 1976 – TANGER (extrait incomplet communiqué par un informateur ? Nous reproduisons à la date du 11 novembre 1976 l’information originale. )
Voilà près d’un quart de siècle que j’ai fait cette observation et je n’en parle publiquement que maintenant. J'ai été réprimandé par votre répondeur pour avoir attendu plus d'un quart de siècle avant de déposer un rapport, mais qui diable contactez-vous à Tanger, au Maroc, en 1976 ? Tanger au Maroc. J'étais à l'ouest de Tanger, au Maroc. J'étais à l'ouest de Tanger, Maroc en 1976. Les témoins supplémentaires étaient ma femme ((nom supprimé)), un guide touristique ((nom supprimé)) et un chauffeur de taxi. Témoins supplémentaires, ma femme (nom supprimé), un guide (nom supprimé), et un chauffeur de taxi. La journée était ensoleillée et le ciel était dégagé de nuages.
La journée était ensoleillée et le ciel était clair avec quelques nuages. Le paysage était aride, stérile et obscur de toute végétation. Le paysage est aride et ne présente aucune végétation. Je pouvais voir environ 25-30 milles d’horizon. Je pouvais voir environ 25-30 milles vers l’horizon. Le taxi se trouvait directement à l'ouest de Tanger et se dirigeait vers l'est. Le taxi dans lequel j’étais se situait à l’ouest de Tanger se déplaçait dans la direction est. J’ai observé une lumière vive et stationnaire dans le ciel en direction de la ville. J'ai observé tout d'abord une lumière brillante et stationnaire dans le ciel en direction de la ville. La lumière est apparue comme un gros avion conventionnel avec des feux de position allumés et qui volerait directement vers vous. La lumière apparaît comme un grand avion conventionnel avec feux et elle se déplaçait vers nous. J'ai demandé au guide "où est l'aéroport ?" J'ai demandé au guide « Où est l'aéroport ? » Il a indiqué à droite et au sud de notre position. Il m'a indiqué à la droite et au sud de notre position. Ils sont restés stationnaires pendant environ 20 à 30 secondes avant qu'ils manœuvrent légèrement vers l'extérieur et vers le haut de la lumière. en formation, et ils ont pris une position stationnaire. Deux séries supplémentaires de trois disques d'argent sortirent de la lumière et se déplaçèrent dans différentes positions. Deux ensembles supplémentaires de trois disques de couleur argentée sont ensuite sortis de la lumière et manœuvraient autour d’elle dans différentes positions. Ils se déplaçaient rapidement vers des positions et devenaient stationnaires, hormis un ajustement occasionnel par des disques singuliers, mais restaient essentiellement par séries de trois disques par formation, comprenant un total de neuf disques. Ils avançaient rapidement vers un endroit précis et ils ont pris alors une position stationnaire. Ils manœuvraient cependant de temps à autre en vue d'un ajustement occasionnel de leur position, mais essentiellement, ils sont restés en formation de trois disques comprenant un total de neuf disques. J'ai estimé que la taille de l'engin était de 30 à 35 pieds de longueur et de 6 à 8 pieds de hauteur. J'ai évalué la taille de l'engin à 30 à 35 pieds de longueur et à 6 à 8 pieds de hauteur. Leurs mouvements étaient fondamentalement fluides et en formation. Leurs mouvements se faisaient en douceur et dans la formation. La première série de trois disques s'est légèrement déplacée dans leur formation et J'avais l'impression qu'ils jouaient ou qu'ils étaient prêts pour une "course de dragsters". Après avoir observé toute la formation d'une dizaine d'engins pendant environ une minute, la première série de trois disques a décollé à une vitesse très élevée vers le sud. Le premier ensemble de trois disques s’est légèrement déplacé dans leur formation et j’ai eu l’impression qu’ils jouaient ou qu’ils étaient prêts pour une « drag race »
Après avoir observé la formation de l'ensemble des dix moteurs pendant une minute environ, le premier ensemble de trois disques s'est déplacé alors rapidement en s'élevant en direction du sud. Ils avaient parcouru environ un tiers de l'horizon de 20 à 25 milles, lorsque les deux autres séries de trois ont décollé. Ils ont couvert environ un tiers de l'horizon de 20 à 25 milles, alors que les deux autres séries de trois commençaient elles aussi à se déplacer. Rien ne semblait être un quelconque reflet de lumière dans un miroir. Il ne semblait pas y avoir de réflexion de la lumière sur les moteurs. Après le décollage, les trois ensembles de disques n'étaient visibles que pendant environ 4 secondes avant de sortir de mon champ de vision vers le sud. Les trois ensembles de disques après leur déplacement dans l'espace ont été visibles pendant environ 4 secondes puis ils ont disparu, en s'éloignant à grande vitesse, de mon champ de vision en direction du sud. Dès que j'ai perdu de vue le disque volant, j'ai regardé en arrière vers la zone de l'engin éclairé, m'attendant à voir la lumière ou une silhouette sombre comme si un avion apparaissait avec ses feux de route éteints.
Dès que j'ai perdu de vue les disques volants, j'ai regardé en arrière, en direction de la zone artisanale, éclairée, pensant voir une lumière ou une silhouette sombre, semblable à un avion qui apparaît avec ses feux éteints. Rien n'était visible. Rien n’était visible. L'engin avait disparu. Le moteur avait disparu. Je n'avais pas de caméra vidéo ni d'appareil photo. Je n’avais pas de caméra vidéo ou d’appareil photo. Bien entendu, ce type de photo ou de vidéo constituerait une preuve valable de la technologie aéronautique bien au-delà de la compréhension du public. Bien sûr, ce type de photo ou vidéo serait alors une preuve valide de la technologie de ces aéronefs qui est bien au-delà de la compréhension du public. Je serais millionnaire et très célèbre si j'avais possédé des appareils photo ce jour-là.
Les moteurs se sont déplacés à plusieurs milliers de kilomètres par heure. Je suis un commandant de la marine à la retraite et j'ai été associé à la technologie actuelle que l'armée possédait ouvertement. Je suis un commandant à la retraite de la marine et si nous avions la technologie de ces appareils, nos militaires seraient en avance sur toutes les armées du monde. Ces véhicules dépassent largement les F-16, SR 71, bombardiers furtifs, Aurora ou tout autre appareil que nous pouvons imaginer. L'incident que j'ai observé en novembre 1976 pourrait également être en corrélation avec le contact qu'a eu le pilote militaire iranien en septembre 1976, au cours duquel un disque sphérique est sorti d'une lumière et a fait le tour du pilote iranien avant de disparaître rapidement. L'incident que j'ai observé en novembre 1976 pourrait être rapproché du cas du pilote de l'armée iranienne de septembre 1976, ou un disque sphérique est sorti d'une lumière et a encerclé le pilote iranien avant de disparaître rapidement. J'ai entendu dire que d'autres observations auraient pu avoir lieu au Portugal et en Angleterre au cours de l'automne 1976. J'ai lu que des observations complémentaires ont eu lieu au Portugal et en Angleterre au cours de l'automne 1976. Je n'ai jamais observé d'avion militaire égal à la vitesse et à la maniabilité de ce que j'ai vu ce jour-là. Je n'ai observé aucun avion militaire qui puisse égaler la vitesse et la manœuvrabilité de ce que j'ai vu ce jour-là. J'ai raconté cette histoire à plusieurs collègues militaires à mon lieu d'affectation à Rota, en Espagne, mais je n'ai pas été invité à déposer un rapport officiel auprès d'une autorité supérieure. J’ai raconté cette histoire à plusieurs collègues militaires sur mon lieu d’affectation à Rota, en Espagne, mais je n’ai pas été invité à déposer un rapport officiel à mes autorités supérieures.
11 NOVEMBRE 1976 TANGER 5 IDEM INFO DATE NOVEMBRE 1976
Observation d'OVNI NUFORC 42379
Date de survenue : 1976-11-11 14:00 heure locale
Date : 2005-02-25 11:36 Pacifique
Durée : 5 minutes
Nombre d'observateurs : 4
Lieu : Tanger (Maroc), Maroc
Forme : Sphère
Caractéristiques : Lumières sur l'objet, Émission d'autres objets
Votre service de réponse m'a réprimandé pour avoir attendu plus d'un quart de siècle avant de déposer un rapport, mais qui diable contactez-vous à Tanger, au Maroc, en 1976 ?
J'étais à l'ouest de Tanger, au Maroc. D'autres témoins étaient ma femme ((nom omis)), mon guide touristique ((nom omis)) et un chauffeur de taxi. La journée était ensoleillée et le ciel était dégagé. Le paysage était aride, aride et dépourvu de toute végétation. Je pouvais voir environ 25 à 30 miles d'horizen.
Le taxi se trouvait directement à l'ouest de Tanger et se dirigeait vers l'est. J'ai observé une lumière brillante et stationnaire dans le ciel en direction de la ville. La lumière est apparue comme un gros avion conventionnel avec des feux de position allumés et qui volerait directement vers vous. J'ai demandé au guide touristique « où se trouve l'aéroport ? » Il indiqua à droite et au sud de notre position. J'ai remarqué que la lumière ne changeait pas d'intensité ou d'altitude comme l'aurait fait un avion en descente/ascension.
Après avoir observé la lumière brillante pendant environ une minute, j'ai observé trois disques d'argent s'éloigner de la lumière et s'arrêter. Ils sont restés immobiles pendant environ 20 à 30 secondes avant de manœuvrer légèrement vers l'extérieur et vers le haut de la lumière. Ils se déplaçaient très rapidement, presque en formation, et devenaient stationnaires. Deux autres séries de trois disques d'argent se sont déplacées de la lumière et se sont déplacées dans différentes positions. Ils se sont rapidement déplacés vers des positions et sont devenus stationnaires, à l'exception d'un ajustement occasionnel par des disques individuels, mais sont restés essentiellement en séries de trois disques par formation, comprenant un total de neuf disques.
J'ai estimé que la taille de l'engin était de 30 à 35 pieds de long et de 6 à 8 pieds de haut. Leurs mouvements étaient essentiellement fluides et en formation. Après avoir observé toute la formation de dix engins pendant environ une minute, le premier ensemble de trois disques a décollé à une vitesse très élevée vers le sud. Ils avaient parcouru environ un tiers de l'horizon de 20 à 25 milles, lorsque les deux autres groupes de trois ont décollé. Rien ne semblait être un type de reflet miroir de la lumière.
Les trois séries de disques après le décollage n'ont été visibles que pendant environ 4 secondes avant de sortir de mon champ de vision vers le sud. Dès que j'ai perdu de vue le disque volant, j'ai regardé en arrière vers la zone de l'engin éclairé, m'attendant à voir la lumière ou une silhouette sombre comme un avion apparaîtrait avec ses feux éteints. Rien n'était visible. L'engin avait disparu.
Je n'avais pas de caméra vidéo, ni d'appareil photo. Bien sûr, ce type de photo ou de vidéo serait une preuve valable de la technologie aéronautique bien au-delà de l'entendement public. Je serais millionnaire et très célèbre si j'avais possédé des appareils photo ce jour-là. Les véhicules ont parcouru plus de plusieurs milliers de kilomètres à l'heure.
Je suis un commandant de la marine à la retraite et j'ai été associé à la technologie actuelle que l'armée possédait ouvertement. Ces véhicules ont surpassé le SR 71, le F-16, le bombardier furtif, l'Aurora ou tout autre avion imaginable que nous pouvions imaginer. L'incident que j'ai observé en novembre 1976 pourrait également être corrélé au contact que le pilote militaire iranien a eu en septembre 1976, au cours duquel un disque sphérique est sorti d'une lumière et a encerclé le pilote iranien avant de disparaître rapidement.
J'ai entendu dire que d'autres observations avaient peut-être eu lieu au Portugal et en Angleterre au cours de l'automne 1976. Je n'ai jamais observé d'avion militaire égal à la vitesse et à la manœuvrabilité de ce que j'ai vu ce jour-là. J'ai raconté cette histoire à plusieurs collègues militaires de mon lieu d'affectation à Rota, en Espagne, mais je n'ai pas été incité à déposer un rapport officiel auprès d'une autorité supérieure.
En ligne 2005-04-16
Source Catalogue NUFORC USA
Commentaire
Témoignage d'un OVNI près de Tanger
080 01 observation de
Tanger, une lumière, une série de trois disques puis deux autres séries de
trois disques….Contexte initial
Alors que vous vous trouviez dans un taxi à l'ouest de Tanger et que vous vous dirigiez vers l'est, votre attention a été attirée par une lumière brillante et stationnaire dans le ciel. La lumière, d'une intensité constante, ressemblait à un gros avion en approche avec ses feux allumés, mais elle ne changeait ni d'intensité ni d'altitude, contrairement à ce que ferait un aéronef conventionnel.
Apparition et manœuvres des disques
Après avoir observé la lumière pendant environ une minute, vous avez vu trois disques d'argent en émerger.
Ces disques se sont arrêtés, sont restés immobiles pendant 20 à 30 secondes. Ils ont ensuite manœuvré légèrement vers l'extérieur et vers le haut par rapport à la lumière.
Deux autres séries de trois disques ont ensuite suivi le même schéma, se positionnant rapidement en formation. Au total, neuf disques se sont regroupés en trois formations distinctes, tout en restant proches de la lumière d'origine. Vous avez estimé la taille de ces engins à environ 30 à 35 pieds de long et 6 à 8 pieds de haut. Leurs mouvements étaient décrits comme fluides et synchronisés.
Départ soudain
Après une minute d'observation de la formation complète de dix engins (la lumière principale et les neuf disques), la première série de trois disques a décollé à une vitesse extrêmement élevée en direction du sud. Les deux autres groupes ont décollé peu après. La formation a disparu de votre vue en seulement 4 secondes.
Disparition de l'objet principal
Dès que les disques sont sortis de votre champ de vision, vous avez regardé de nouveau vers l'emplacement de la lumière d'origine. Celle-ci avait également disparu, sans laisser de silhouette sombre, ce qui rendait l'événement d'autant plus mystérieux.
24 MARS 1977 – VILLA CISNEROS – DAKHLA AUJOUR’HUI
Un DC-8 scandinave volait près de Villa Cisneros en termes d'horaires, le 24 Mars 21 :15 1977, année où il a rencontré un "nuage lumineux". Cet incident a été signalé à la tour de contrôle dans les îles Canaries.
Source : ANGEL CARRETERO OLMEDO
1979 AU MAROC
Afrique du Nord 1979 - 3 objets observés dans le ciel alors que j'étais débout, alors que j'étais marin en Afrique du Nord en 1979. C'est la première fois que je parle de cet incident. Je ne l’ai jamais évoqué ! Il était environ 2 heures du matin et j’étais en patrouille lorsque j’ai remarqué une lumière dans le ciel que je pensais être une étoile filante. Il était environ deux heures et j'étais en patrouille lorsque j'ai remarqué une lumière dans le ciel. Je pensais que c’était une étoile filante. Alors que je restais là à regarder l'objet, il s'est transformé en 3 objets se déplaçant selon des schémas étranges à des vitesses qui n'étaient pas possibles à ce moment-là. Comme je persistais à la regarder, l'objet, il s'est transformé en trois objets en mouvement dans des mouvements anormaux et à une vitesse qui était importante, impossible à atteindre à cette époque.
Je suis resté là et j’ai regardé avec étonnement cette séparation en trois objets et leurs déplacements en différents endroits dans le ciel. les objets ont ensuite formé ce qui semblait être un motif de formation, puis se sont séparés à nouveau et ont volé selon des motifs non conventionnels pendant environ 2 minutes, semblables à quelqu'un déplaçant une lampe de poche autour d'une pièce sombre à des formations si rapides. Les objets, se sont positionnés en ce qui semblait être un modèle de formation, puis de nouveau se sont séparés et se sont déplacés dans une formation non conventionnelle pendant environ 2 minutes. C’était similaire au déplacement d’une personne avec une lampe de poche dans une pièce sombre mais à une vitesse très rapide. Puis ils ont simplement disparu en formation. Puis, Cette formation a rapidement disparu. Cette base était une station de communications de haute sécurité avec plusieurs tours de 360 pieds dans un périmètre de cinq milles.
14 JUIN 1980 – MAROC.
L’objet est décrit comme étant énorme (plus de 120 mètres de diamètre, ou environ 150 pieds) de couleur rouge-orangée, et de la forme d’un fer à cheval ou d’un croissant. Après les grandes descriptions de ce qui était arrivé aussi bien en Russie qu’en Amérique du Sud vers la fin de l’article, des observations non confirmées eurent lieu au Maroc où le même genre d’objet fut mentionné :
“ Mais des rapports non vérifiés dirent qu'un Ovni fut vu cette nuit-là au Maroc, ou le ciel était clair. Des calculs démontrent que le Kosmos-EW et le matériel associé sont éclairés pendant tout l’intervalle en question par le soleil ; cela devait se lever à l’ouest vers 22h50 TU (le Maroc est exactement à l’heure du Temps Universel et donc cela aurait été à 22h16.), aller vers le nord-ouest et parvenir à mi-chemin du zénith vers 22h30, puis se mouvoir de manière générale horizontalement jusqu’au moment d’arriver au nord à 22h50. A ce moment la distance aurait été de plus de 8000 miles et le nuage pouvait avoir été complètement dispersé”
17 OCTOBRE 1980 - AGADIR
Un premier témoin remarque un phénomène lumineux entre 22 H 30 et 24 H 00, qu’il prend d’abord pour un avion et le fait remarquer à deux autres témoins. L’objet continue sa course en s’approchant d’eux : il a une forme ovale et ne fait aucun bruit... L’altitude est estimée entre 400 et 600 mètres, le temps est clair, la nuit est douce avec un peu de vent. Le phénomène change alors de direction, prend de l’altitude et disparaît...
SOURCE : L.D.L.N. n°215-216. Condensé de Bruno Bousquet
08 DECEMBRE 1980 - 19 H 45 - SAFI
Deux témoins, professeurs au lycée Hassan II à Safi, voient passer un phénomène de forme très allongée, lumineux, qui paraît glisser sans bruit dans le ciel. Puis il disparaît, caché par des maisons. Juste après, et un long moment après encore, les témoins ressentent une intense impression de calme et de paix intérieure. L’observation a duré 15 secondes à peu près.
SOURCE : L.D.L.N. n°300.
5 ET 6 DECEMBRE 1981 – ESSAOUIRA.
Un objet de forme allongée, très lumineux, et qui se déplace lentement dans le ciel est observé par plusieurs personnes.
SOURCE : L.D.L.N. n°213-214, d’après Fraternité Matin du 13/01/1982). Condensé de Bruno Bousquet.
Voir ci-dessous Source LDLN date serait la bonne. Le 28 décembre 1981 plage d'Essaouira Maroc.
Le 28 décembre 1981, à 19,30, une dizaine de personnes qu'on trouvait sur la plage d'Essaouira voyaient une bulle lumineuse sur l'océan. L'engin tournait sur si même en dégageant des faisceaux de lumière. Le même phénomène avait été précédemment signalé dans la nuit entre le 5 et le 6 décembre de différentes personnes, compris un expert du F.A.D.
Selon LDLN : 26 DECEMBRE 1981, 19 H 30 GMT, ESSAOUIRA.
Une dizaine de personnes et plus voient évoluer au-dessus de l’océan une boule de très forte luminosité. Cet objet semble tourner autour de lui-même sur un axe immobile. Il reste visible une demi-heure environ. De très vives lumières émanent de son contour, et de temps en temps, des rayons lumineux se détachent de son sommet. Le tout disparaît très vite.
SOURCE : L.D.L.N. n°213-214, d’après Fraternité Matin du 13/01/1982). Condensé de Bruno Bousquet.
1986 - RABAT
Au Maroc, dans la ville de Rabat, durant l'été 1986 vers 21h00, un ami et moi avons décidé de jouer au tennis.
Comme d'habitude, nous avons mis un jeton pour allumer le projecteur du court pour une heure, mais on a dépassé le temps réglementaire et le projecteur est resté allumé. Alors nous en avons profité. Mais vers minuit, nous étions seuls dans tout le club sportif. Il n'y avait que le gardien, et il était dehors dans le parking. Le club restait ouvert jusqu'à une heure tardive à cause du ramadan.
Alors que j'étais prêt à servir la balle, j'ai vu un grand cercle dans le ciel, entouré de spots lumineux rouges et verts, qui clignotaient, et ça ne faisait aucun bruit. L'apparition a duré trois à cinq secondes puis le cercle a disparu subitement, comme si l'on avait éteint une lampe. Croyant que c'était une hallucination, j'ai voulu continuer à jouer, mais mon copain était inerte, lorsqu'il m'a demandé ce que c'était. Alors là, nous avons arrêté de jouer et nous avons commencé à en parler.
A cette époque nous étions âgés de 17 ans, nous ne fumions même pas de cigarettes. Le cercle faisait au moins 10 mètres de diamètre et il était immobile. Je ne peux pas vous dire à quelle hauteur il était, mais c'était la première fois que j'ai eu cette expérience et, depuis, je crois aux ovnis.
Pour moi, les extraterrestres ce sont nos descendants qui ont réussi à remonter le temps en dépassant la vitesse de la lumière !
Amine (Rabat - Maroc) Source GREPI
MAI 1987 - OULMES
Le 9 Décembre 2010 Monsieur B.P. qui habite aujourd’hui en France, nous contactait afin de nous apporter son témoignage sur une observation qu’il a faite en Mai 1987, alors qu’il était en vacances à Oulmès. Il logeait alors à l’hôtel des Thermes, avec son oncle, chasseur, également témoin de l’observation. Il avait alors 17 ans.
Un soir au coucher du soleil, en plein ramadan, nous rentrions d’une balade quand soudain nous avons vu sur la crête de la montage 3 lumières de couleur jaune orange qui formaient un triangle. Mon oncle étant militaire dans l'armée de l'air, m'a tout de suite dit que ce n'était pas un aéronef (vitesse, déplacement lumières etc.… cela ne collait pas avec cette explication). La "chose" s'est approchée de nous (je me souviens d'un vieux berbère terrorisé qui sortait d'une mosquée). Elle s'est positionnée au-dessus de nous (à peu près à 150 m d’altitude), puis un bruit terrible (comme un "bang" supersonique) s’est fait entendre, puis plus rien ! L’objet s’est volatilisé.
Je n'en ai pas dormi de la nuit ! Le lendemain matin, nous sommes retournés sur les lieux, sur la colline et nous avons trouvé une zone ou la végétation semblait avoir été calcinée sur 10 m2 ! Évidemment, nous ne savions que faire, les autorités ici ne prennent pas en considération ce genre de phénomène. Nous n’avons fait aucune déclaration et nous avons conservé ces faits entre nous. Nous n’y avons trouvé aucune explication malgré nos connaissances.
Cette expérience me "hante" souvent la nuit et ça fait du bien d'en parler !
Nous avons fait un croquis de la scène que le témoin a confirmé comme ressemblante à la réalité
Source : témoignage direct du témoin. Archives d’Ovni Maroc.
1988 – MAROC – VILLE INCONNUE
En 1988, en revenant de l’entraînement vers 23.00, mon frère et moi avons vu comme un grand ballon lumineux tomber du ciel. Il s'est arrêté, pas loin de nos têtes, à peu près à la distance de vol des hélicoptères.
Cette masse était au début comme un grand objet enflammé, entourée de nuages alors qu'on était au début de la saison d'été et que le ciel était clair.
Quelques secondes après on a commencé à voir un « engin » : il était énorme et envoyait des lumières multicolores. Il s’est ensuite séparé en six engins plus petits, en forme de disques, qui se sont placés les uns au-dessus des autres en ligne, verticalement, séparés par seulement quelques mètres.
Ils ont finalement disparu très rapidement.
Mustapha (Maroc) Source GREPI
1989 – 1990 - APPROXIMATIVEMENT - MARRAKECH
À Marrakech, quand j'étais petit, je devais avoir 6 ou 7 ans (disons 1989/1990, années incertaines toutefois), c'était le ramadan je me rappelle, on dînait au rez-de-chaussée, dans le salon, et après le dîner, moi et ma sœur, je me rappelle, on s'est levé en premier, pour débarrasser la table, j'ai pris petit plateau et elle un grand plateau, pour aller du salon à la cuisine. Il faut traverser la cour et au milieu de la cour, nous avons "senti" quelque chose, on s'est arrêté, on a eu le même réflexe qui a été de regarder vers le ciel.
Bref, on a vu "quelque chose" ! On s'est alors précipité pour déposer nos plateaux à terre et on s'est dirigé vers la porte en courant, en appelant les parents et les frères.
Une fois dans la rue, le spectacle était magnifique. On voyait un énorme "engin" rond, plein de lumières, de simples lumières, rien d'extravagant. Elles ressemblaient aux lumières des avions. Bref, l'engin était sphérique, si tu vois ce que je veux dire, comme une énorme boule volante. L'engin volait à basse altitude et à faible vitesse, ce qui nous a laissé le temps de bien l’observer.
Il y avait toute ma famille, dans la rue, ainsi que bon nombre des gens du quartier, tous sorti admirer le "phénomène". L’objet ne faisait aucun bruit. Il a volé tranquillement dans le ciel, lentement (relativement) et cela a duré une ou deux minutes.
Ça m'a vraiment marqué.
Stp ! si tu connais des gens qui ont vu le même truc dans la même période, avec la même description, ça m'intéresserait de le savoir !
Parce que, plus le temps passe, plus on se demande si on l'a vraiment vu ou pas... heureusement que je n'étais pas seul, personne ne m'aurait cru !
Ah au fait, j'ai failli oublier, peu de temps après, disons quelques jours après, ma sœur a vu un autre phénomène cette fois-ci, elle était seule et cela n’avait rien à voir avec le premier objet.
Il faisait aussi nuit, elle regardait par la fenêtre, quand elle a vu une énorme boule de "feu" multicolore traverser le ciel a une vitesse incroyable. Elle a dit "il faisait nuit et l'objet brillait tellement qu'on aurait dit qu'il faisait jour….
Source : Témoignage écrit du témoin par Émail.
15/05/2008 13 :50:22 Paris, Madrid (heure d'été) - De : djwal0u@
1989 – 1990 - COMPLÉMENT D’ENQUÊTE OBSERVATION DE MARRAKECH CI-DESSUS
Écrit après la rédaction des premiers éléments de l’observation, figurant dans un courrier préliminaire datant de Mai 2008.
Monsieur E. habite à cette époque le quartier de Hay El Bahja à Marrakech. De nombreuses habitations aux abords du domicile de Monsieur E. Monsieur E, à aujourd’hui 25 ans et il est Responsable du Marketing et du Commercial dans une Firme sur Casablanca.
Il décrit le phénomène ainsi :
« Un soir d'été 1989/1990 je ne suis même pas sûr de l'année parce que j'étais encore enfant à l'époque, j'étais en famille, on venant à peine de terminer le dîner. Sortant du salon et me dirigeant vers la cuisine, accompagné de ma sœur, tous deux chargés de plateaux, question de débarrasser la table, lorsque nous avons traversé la cour en direction de la cuisine, je ne me rappelle plus comment ni pourquoi exactement on s'est arrêté et on a regardé vers le ciel. Nous avons été surpris de voir un engin, sphérique, énorme (pour un souvenir d'enfant, les grandeurs sont toutes relatives) je dirais qu'il fait environ 30 à 40 mètres de diamètre, plein de petites lumières, tout ce qu'il y a de plus normal.
Ma sœur (plus âgée que moi de 7 ans) et moi, nous avons couru vers l'extérieur tout en appelant le reste de la famille. Une fois dehors, dans la rue donc, nous avons contemplé le phénomène. L'engin volait silencieusement à basse altitude, je dirai à une altitude comprise entre 100 et 150 mètres et à petite vitesse, ce qui a permis à moi, ma famille ainsi qu'à une grande partie des gens du quartier d’être témoins de cette l'observation. »
L’engin n’a jamais varié dans son aspect, tout au long de cette observation. L’objet était sombre, noir et les lumières qu’on voyait un peu partout étaient rondes, comme des hublots. Les lumières n’étaient pas aveuglantes. Sa vitesse de déplacement était lente et régulière. La direction de déplacement de cet objet : Venant du Sud et se dirigeant vers le Nord. Le ciel était clair et étoilé, ce qui fait que l’objet de couleur noir, se détachait nettement. Je ne me rappelle plus si la lune était présente. Je ne porte pas de lunette et l’observation a été faite à l’œil nu. Cet engin m’a fait penser à un avion, mais vraiment de forme bizarre (sphérique avec des hublots partout !) Tous les voisins ont discuté de cette observation après la disparition de l’objet, durant quelques minutes, personne ne savait de quoi il pouvait s’agir, puis tout le monde est rentré à son domicile.
Source : Questionnaires d’enquête élémentaire, juillet 2008 – Archive d’Ovni Maroc Marrakech.
ANALYSE DU TEMOIGNAGE
·Analyse du Témoignage d'Observation à Marrakech
Ce commentaire se fonde sur le résumé du récit de Monsieur E. concernant l'observation d'un phénomène aérien non identifié à Marrakech, entre 1989 et 1990. Le témoignage, bien que reposant sur un souvenir d'enfant, présente plusieurs points forts qui le rendent particulièrement digne d'intérêt.
1. Corroboration et Multiplicité des Témoins
L'un des aspects les plus solides de ce récit est le nombre de témoins. L'observation n'a pas été un événement isolé. Monsieur E. était accompagné de sa sœur, et l'événement a attiré l'attention de "une grande partie des gens du quartier". La présence de témoins multiples renforce considérablement la crédibilité de l'observation, car il est moins probable que plusieurs personnes partagent la même hallucination ou la même erreur d'identification en même temps. La discussion post-observation entre les voisins confirme également qu'il s'agissait d'un événement réel et perçu collectivement.
2. Cohérence des Détails
Bien que Monsieur E. ait été un enfant à l'époque, les détails qu'il fournit sont précis et cohérents :
Forme et apparence :
La description d'un objet sphérique, sombre, avec des lumières rondes comme des "hublots" est très spécifique. Ce n'est pas une forme vague et il exclut des phénomènes plus classiques comme une étoile filante ou un satellite.
Mouvement :
L'objet était silencieux, lent et régulier. Il ne présentait pas de mouvement erratique ou de vitesse excessive, ce qui le différencie de la plupart des phénomènes aérospatiaux connus. Sa direction précise, du Sud vers le Nord, est un détail fort qui pourrait être utilisé pour une éventuelle enquête.
Altitude : L'estimation d'une altitude basse (100 à 150 mètres) est un autre élément clé, car cela indique que l'objet était proche et non pas un phénomène lointain dans le ciel.
3. Le Contexte de l'Observation
Le ciel était clair et étoilé, ce qui a permis à l'objet sombre de se détacher nettement du fond du ciel. Ce détail élimine la possibilité que l'objet ait été obscurci par des nuages ou d'autres conditions atmosphériques. Le fait que l'observation ait eu lieu à l'œil nu, et non à travers des jumelles ou une caméra, renforce l'idée d'une perception directe, bien que sujette aux limites de la mémoire humaine.
4. Points Faibles et Limites du Témoignage
Mémoire d'enfant : L'âge de l'observateur au moment des faits rend certaines estimations, notamment la taille (30 à 40 mètres), potentiellement exagérées ou relatives à la perception d'un enfant. La confusion entre 1989 et 1990 est également un indicateur de la difficulté de se souvenir de dates précises après tant d'années.
Manque d'explication : Comme les voisins, Monsieur E. n'a aucune explication rationnelle pour ce qu'il a vu. L'objet ne correspond pas à un avion, un ballon-sonde ou tout autre engin connu.
En conclusion, ce témoignage est une observation de groupe convaincante en raison de la présence de nombreux témoins et de la cohérence des détails fournis. Bien que les dimensions et la date exacte puissent être sujettes à caution en raison du temps écoulé, la description de l'objet, son mouvement silencieux et sa faible altitude en font un cas d'OVNI classique et intrigant.
26 MARS 1990 – MAROC – PEU APRÈS MINUIT
EN 1990, j’étais au Maroc, nous étions dans la dernière semaine du mois de Mars, le dimanche, peu après minuit. J’ai vu comme un avion carré jaune qui a atterri en face de moi, a environ 20 mètres. L’objet était comme un phare de couleur jaune vif. Sa taille était de 6 ou 7 mètres de large et de long et sa hauteur était d’environ 2 mètres. L’objet s’est déplacé vers moi, sur mon côté gauche. J’ai vu aussi deux soucoupes qui se situaient environ 6 m au-dessus de moi. Il y avait un espace d’environ 1 m entre les deux disques. Les deux disques émettaient une lumière blanche et brillante, en ma direction, ceci durant environ 5 à 10 minutes.
Puis j’ai entendu quelqu’un parler. J’ai entendu une langue Arabe correcte durant 2 à 3 minutes. Cette voix venait des « soucoupes » et j’ai pensé que c’était des anges. L’engin carré jaune a fait un déplacement sur moi et j’ai été inconscient durant 3 ou 4 heures. Je me suis retrouvé au même endroit, ais plus aucun engin, tout avait disparu. Mais je ne me sentais pas bien dans ma peau et durant au moins 4 ans j’ai pensé à cela. Aujourd’hui, je me rends compte qu’il ne s’agit pas d’anges, mais de personnages étrangers à notre terre.
Deux années plus tard, je suis venu aux États-Unis. En décembre dernier, j’ai soudainement perdu l’audition de mon oreille gauche.
Ce récit a été reçu à l’ufosnw par fax. Le texte a donc été légèrement déchiffré et remis en forme.
MARS 1990 – RÉGION DE EL KELAÂ DES SRAGHNA
Il s’agit du cas commenté ci-dessus, selon le rapport du témoin communiqué cette fois ci au Mufon US. Quelques détails changent et ce fait est dû à la traduction. Il y a cohérence entre les deux versions.
UFO EVENT INFORMATION :Date : 26/3/1990 0:00:00
Date de précision : approximative
Heure de l'événement (heure locale):
Fuseau horaire GMT Offset : 0000
Fuseau horaire Nom : Afrique / Casablanca
Précision Time : approximative
Durée de l’événement :
City (le plus proche): Marrakech
Pays : MAROC
081 Plan de la région
BRÈVE DESCRIPTION DE L’OBSERVATION DE L’OVNI : Il est comme aplati planant au-dessus d’un autre, alors qu’un l'avion atterrissait.
082 Reconstitution de l'observation en image
Description détaillée de l’observation :
[Nom du témoin retiré / CMS / dr] Je suis né et j’ai grandi au Maroc. En 1997, j’ai quitté le Maroc pour les U.S.A. Lorsque je vivais encore au Maroc au cours de la dernière semaine de Mars 1990, j’habitais dans une région appelée « Sraghna » (1). J’étais alors dans un quartier calme, peu construit avec très peu de présence humaine. Une nuit, j’ai vu un avion jaune qui a atterri à 15-20 mètres en face de moi avec pour éclairage le faisceau jaune d'un projecteur très lumineux. Sa taille était d'environ 7-8 mètre et se situait à ma gauche. Je vois soudain deux objets plats dans l’espace, ils planaient l’un au-dessus de l'autre, séparés l’un de l’autre par une distance de deux mètres et se situaient à 8-10 de ma position. Les deux objets volants aplatis, ont ensuite dirigé dans ma direction deux faisceaux d’une lumière blanche, très brillante. Ceci a durée 10 à 15 minutes. Puis j’ai entendu durant une à deux minutes, quelqu’un qui parlait en langue arabe. Puis, après quelques minutes je suis tombé comme « inconscient » et ceci durant une heure, et peut être plus. Je suis ensuite sorti de cet état d’inconscience comme si je me réveillais et j’ai constaté que les deux disques étaient partis.
Je pense qu’ils ont injecté quelque chose à l’intérieur de mon corps. Je pensais au moment de l’observation que les occupants de cet avion étaient des anges. C’est partir de cette expérience que j’ai commencé à voir ces anges, ceci durant 5 ans.
Un jour ils ont même essayé de me jeter « comme dans un trou noir ». C’est à cette époque que j’ai commencé à réaliser que je me trompais, ce n’était pas des anges mais des « étrangers » venus d’une autre planète ou d’un autre système solaire. Je suis certain qu’ils ont injecté dans mon corps quelque chose, « un truc vert ». J’ai quitté à cette époque la région de Sraghna pour retourner à Casablanca dans ma famille. Après deux ans, je suis parti pour les États-Unis.
Le problème est que je les ai entendus ultérieurement et en décembre 2011 j’ai perdu l’audition de mon oreille gauche. Depuis 1990 ils me torturent, c’est le cas encore actuellement en juin 2015. J’ai déjà évoqué le 13 mai 2012 mon problème auprès d’associations OVNI, à nouveau le 10 juin 2014, sans obtenir de solution. L’année passée (en mai 2014) j’ai vu une forte lumière sur mon corps, j’ai été surpris car je voyais dans cette lumière et dans mon corps une partie de ces « Aliens » (trucs vert). J’ai pris alors la caméra vidéo de mon téléphone portable, mais rien sur l’image.
S’il vous plaît, dites-moi ce qui se passe, sauvez-moi la vie……….
Note du traducteur
1 - La province d'El Kelaâ des Sraghna (en arabe : قلعة السراغنة) est une subdivision à dominante rurale de la région marocaine de Marrakech-Tensift-Al Haouz. Son nom provient de la ville principale qui en est son chef-lieu : El Kelaâ des Sraghna.
Cette observation a été portée à la connaissance du MUFON US via le questionnaire en ligne figurant sur leur site internet. J’ai eu connaissance moi-même de ce témoignage car je suis actuellement le Directeur pour le Maroc de la section locale du Mufon. Toutefois, le témoin, JB demeure aux USA dans la ville de Lorain, située dans l’Ohio. Il ne m’est donc pas possible de le rencontrer.
Des cas ayant des ressemblances avec ce dossier ne sont pas rares aux États-Unis. Les études menées par le Dr John Mack, Psychiatre, Professeur à la Harvard Medical School démontrent que de tels témoins doivent être pris au sérieux, être l’objet d’analyses et qu’il faut tenter de les guérir des conséquences issues de ces « expériences ». Dans des cas très complets, détaillés, analysés par John Mack, il arrive à la conclusion qu’une intervention « extérieure » d’origine non déterminée peut être à l’origine de ce traumatisme car les témoins ressortent de cette expérience de « rencontres avec des aliens » traumatisés. La solution à ces cas n’est pas encore mise en évidence, il serait indispensable d’en approfondir l’étude. C’est une piste à approfondir selon lui, les témoins étant sérieux et ils ont réellement subi des traumatismes.
Conclure sur un tel dossier est impossible en l’état actuel de nos connaissances. Le rejeter car on pourrait le juger peu sérieux, non conventionnel, n’est pas une solution. Rien ne sert de se mettre la tête dans le sable, de se bander les yeux, ces « contacts » avec l’extérieur sont nombreux et existent selon les descriptions faites par les témoins. Il nous reste à les étudier, à les approfondir, une chose qui n’est certainement à la portée des amateurs, des associations ufologiques mais plutôt d’une équipe de chercheurs dotée de moyens financiers suffisant.
Mise en Forme : Gérard Lebat
Source : Rapport déposé par le témoin sur le site internet du Mufon Us.
SEPTEMBRE 1991 - RABAT
Mes observations se sont déroulées à Rabat, au Maroc... j'y étais en vacances.
Un soir de septembre 1991, étoilé, mon frère et moi avons vu des objets de forme ovoïde, jaune canari, une dizaine qui évoluaient en formation, comme le vol de canards ; ce qui veut dire en V avec la pointe vers l'avant, leur trajectoire était nord-sud, avec une vitesse supersonique, car j'ai vu des avions de chasse qui passaient à côté de chez moi, et je connais très bien le brouhaha que ça fait. Ceux-là (les ovnis) évoluaient bien sûr sans aucun bruit.
083 Reconstitution de l'observation
La durée du contact visuel d'un horizon à l'autre entre la limite de vision, vu les éclairages urbains, a duré un peu plus de cinq secondes. Nous étions, mon frère et moi, à quatre pattes, ne croyant pas ce que nous étions en train de voir. C'est un comportement bizarre de notre part et ridicule...
La distance, je ne peux que vous donnez que lorsque j'ai le bras tendu et en regardant mon pouce, les bolides ou je ne sais quoi, faisaient la moitié de mon ongle de pouce, environ à 30 degrés par rapport du lieu où j’étais : un balcon du troisième étage, du nord vers le sud. Nous avions conclu que vers le sud, le Sahara n'est pas loin pour leur vitesse... et qu'ils peuvent avoir leur base là-bas... :o).
Leur trajectoire était parfaitement rectiligne, leur forme parfaitement ovoïde, l'éclairage neutre, pas de halo, leur forme était bien nette.
C'était beau et impressionnant et d'autres sensations que je ne peux décrire.
Tariq (Pessac) - Source GREPI.
1992 - SAFI
En 1992, vers 22h30, alors que je me trouvais à la ville de Safi, devant la ferme d'un ami, en pleine discussion nous fûmes surpris par un rayon lumineux très vif et très intense qui nous a éclairés. Nous étions au milieu du cercle qui faisait 60m environ. Ce soir il faisait très noir et cette lumière venait d'un objet circulaire très lumineux, immobile dans le ciel à quelques centaines de mètres de nos têtes. Nous fûmes comme hypnotisés quelques secondes, puis la lumière fut éteinte et l'objet a disparu dans le ciel avec une vitesse incroyable.
Les journaux ont publié le récit des ovnis aperçus par beaucoup de gens. Depuis ce jour-là je crois aux ovnis, à une autre forme de vie extraterrestre, comme je crois en Dieu, mais malheureusement, depuis ce jour-là des pertes de mémoires terribles, des fois même en pleine discussion, je ne me rappelle plus du sujet, est-ce à cause de cette lumière ou hasard ?
Abderrazzak (Agadir - Maroc)
Source GREPI
1993 KHOURIBGA
Mr N. nous communique le 9 février 2009 le mail que nous reproduisons ci-dessous. Nous avons demandé à ce témoin à le rencontrer sur les lieux même de l’observation. En effet, une enquête doit être faite à l’endroit où le témoin a vu quelque chose, nous pouvons de cette façon procéder à la reconstitution de la scène avec un maximum de précision. Il est ainsi aisé de mesurer avec exactitude les distances. D’autre part, il est essentiel également de rencontrer les personnes qui à l’époque ont entendu les déclarations du témoin.
Mr N. habite au moment de l’enquête sur Casablanca. Nous lui avons envoyé plusieurs mails en ce sens. Malheureusement nous n’avons pas reçu de réponse à nos demandes. Nous présentons les éléments communiqués par le témoin sur lesquels, nous mettons les plus grandes réserves compte tenu que nous n’avons pu procéder à aucune vérification.
Bonjour,
J'ai eu votre adresse par mon frère.
Je désire partager une expérience que j'ai vécu il y'a 16 ans à Khouribga. J'avais partagé cette expérience avec mes frères qui ont pensé à l’époque que je « divaguais » vu que j'étais en période de chômage. Ma mère aussi pensait la même chose.
Pendant une nuit du mois d'août, Il faisait tellement chaud que je n’arrivais pas à dormir. Je m'allongeais sur le côté droit, face au mur. Une lueur sur le mur me fit sursauter, une lueur blanche, très blanche. Je courus voir ce qui se passait depuis la fenêtre qui donnait sur notre jardin. Je croyais au début que c'était la lueur d'une forte torche utilisée par un voleur. Ceci était corroboré par le fait que j'entendais les chiens aboyer partout dans les alentours (la famille m'a confirmé aussi que les chiens aboyaient). Alors je vis une espèce de soucoupe ronde, transparente comme une "méduse" avec plein de lumières (les points de lumière traçaient tout le détail de la soucoupe). À une hauteur de 60 m, juste au-dessus de la maison voisine au niveau de la cheminée. Ce qui m'a attiré c'est une présence à l'intérieur de la soucoupe et une espèce de bourdonnement comme un moteur très silencieux. Je ne suis pas arrivé à distinguer la silhouette mais il y avait quelqu'un avec des pieds et des mains en position assise comme un pilote. La soucoupe tournait sur place avec une lenteur incroyable. Je me suis pincé pour m'assurer que je ne dormais pas et juste à ce moment avec une vitesse incroyable l'objet s’envola devant moi. En un clin d’œil je ne voyais plus qu'un point lumineux qui s'éloignait de plus en plus loin jusqu’à disparaître.
Une peur s'empara de moi et j'ai tapé à la porte de ma maison pour réveiller ma famille (En effet la chambre ou je dormais était une annexe de la maison située à l'extérieur, dans le jardin.) Ma mère considère cette expérience comme une apparition de « Djinns », alors j'ai eu droit à une bouffée de "Khoury". Pour mes frères eux pensaient que c’était une hallucination causée par mes nerfs ou l'envie de changer de monde......
Voilà je crois que j'ai tout dis. Si cela peut vous aider un peu dans vos recherches. Je me suis décidé à vous faire partager mon expérience (Rêve soit-il ou réalité) parce que je sais au fond de moi que L'univers ne peux pas être habité que par les humains. C'est si immense. Je crois qu'il suffit de bien regarder et arrêter de chercher une autre vie avec les mêmes critères que la vie sur terre.
Source : Émail du témoin – Archive d’Ovni Maroc.
1996 - RABAT
En 1996, Mohammed B.M a fait une observation à partir de Rabat. Il nous décrit ce qu’il a vu. Il était environ 22 h 00 lorsqu’à partir du balcon de ma chambre, à la cité Universitaire « Suissi 2 », j’ai observé dans le ciel, un objet qui changeait de couleur passant du rouge au blanc et au jaune. J’ai cru tout d’abord que c’étaient les oscillations d’une étoile (variation des couleurs due à la densité de l’air ou quelque chose dans ce sens). Tout à coup, l’objet a commencé à bouger de gauche à droite et vis versa. Ceci a duré environ 20 secondes. Puis, subitement l’objet a disparu. J’avais des doutes sur le fait qu’il pouvait s’agir d’une étoile et qu’elle pouvait être cachée par un nuage, donc j’ai continué à regarder dans la direction de cet objet. J’ai ainsi regardé durant près d’une heure, mais l’objet n’a pas réapparu ! Voilà ce que j’ai pu observer, il y a déjà plus de 10 ans de cela. Je me pose toujours des questions à propos de cette apparition, l’objet observé n’ayant toujours pas été identifié selon ce que je connais de l’espace. J’ai fait longtemps des recherches, sans résultat.
Ce témoignage datant du 9 juillet 2008 est conservé dans les archives d’Ovni Maroc. Un questionnaire précis a été communiqué au témoin, qui n’a pas donné de suite.
NOVEMBRE 1996 - KHEMISSET
Je viens m'ajouter aux autres témoignages afin d'enrichir cette rubrique, je vais essayer de vous décrire ce dont j'étais témoin. En effet un soir au mois de novembre 1996 (je suis incapable de dire quel jour était exactement car ça remonte à pas mal de temps, à 11 ans pour être précis) vers 20h00 du soir. J'étais accompagné de plusieurs amis (j'avais 12 ans à l'époque) dans une bondée à cette heure-ci, c'était dans la ville de Khemisset située au nord-ouest du Maroc entre Rabat et Meknès. Soudain un objet lumineux attire notre attention ainsi que celle des gens qui étaient dehors à cette heure-là.
L'objet était très lumineux caractérisé par une forte lumière blanche avec des nuances de bleus dans certains endroits, il a traversé le ciel à basse attitude (environ 600 m) à très haute vitesse sans faire de bruit. Cette première apparition a attiré l'attention des gens mais a été interprété par la plupart comme étant un passage d'une étoile filante ou la chute d'une comète.
Environ 15 min plus tard le même objet réapparaît dans le ciel. Au départ il était statique et ne bougeait pas puis ensuite il commençait à faire des mouvements dans tous les sens (haut, bas, à gauche, à droite...) sans trop s’éloigner du même endroit puis d'un coup disparaît à très haute vitesse.
Vu du sol l'objet ressemblait à une énorme boule de lumière avec des traînées lumineuses.
Cette deuxième apparition a également capté l'attention des gens, certains maintenaient toujours la thèse de comète, d'autres comme moi sont restés bouche b devant ce phénomène et puis une autre catégorie plus âgée pensait qu'il s'agissait d'une apparition de l'ange Gabriel (jibril en marocain), en effet la culture locale accorde une place importante au anges et autres êtres mystérieux tels que les démons et les djinns et beaucoup d'observations de phénomènes non identifiés sont attribuées à ces êtres célestes (anges) ou terrestres (djinns).
1996 – PRES D’OUJDA - Témoignage.
Bonjour, je suis Laila du Maroc et vraiment je suis très intéressée par l'association spica qui me permet de m'exprimer en toute liberté. Voilà, en 1996, en me promenant dans le jardin vers 17h 00, le ciel était dégagé, soudain mon attention a été attirée par des boules de lumière blanche dans le ciel et pas trop loin de moi. D'un seul coup cet objet a disparu. Le jour suivant j »ai observé le même phénomène et cette fois ci avec une traînée de fumé derrière lui. L'endroit où j'ai observé ces phénomènes est peu habité, loin de la ville OUJDA, à environ de 14 km.
Source SPICA - le 22/03/2008 - par Laila – visiteur
1er échange de Mail avec Laila :
Voilà je suis Laila du Maroc, j'ai su par Christian Morghenthaler que vous vouliez me contacter à propos de mon observation d'ovni.
Dans les années quatre-vingt-dix, dans un après-midi entre 16h00 et 17h30, j’étais en train de me promener dans le jardin soudain un corps étrange dans le ciel avait attiré mon attention ; c’était quelque chose entourée de lumière blanche, sans bruits de réacteur et cette chose avait disparu d'un seul coup sans même de laisser de trace. Et ce n’était pas la seule et la dernière fois, même pendant la nuit. Successivement. On avait même observé un corps étrange avec une traînée de fumée blanche je ne savais pas où il se dirigeait. L'endroit de mon observation était peu habité à l’époque, loin de la ville Oujda à peu près de 14 km.
Un journal local même avait signalé l'apparition des objets étranges dans la région d'un petit village nommé (LABSARA) région de la ville OUJDA.
Merci de m'avoir lu, et donné de l’importance à mon observation.
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES SUITE A NOTRE ENQUETE.
1996 (ou 1997) BENI OUKIL – REGION D’OUJDA - TROIS PHENOMENES INSOLITES DANS LE CIEL
Mademoiselle Laila B, 38 ans, originaire de la tribu Amazigh dans le nord Maroc, qui habite actuellement Rabat-Salé a observé en 1996 ou 1997 au mois d’avril, vers 17h00 à Beni Oukil (Région d’Oujda) un phénomène anormal dans le ciel.
C’est une lumière blanche dans le ciel qui a attiré mon attention. Elle ne faisait aucun bruit, pas de fumée ou traces derrière. On peut la comparer à l’une de ces étoiles très brillantes, située non loin de la lune. Le phénomène ne semblait pas très éloigné de nous, car j’observais cette lumière avec mes sœurs. Nous observions avec insistance cet objet inconnu, si comme il le sentait, il a brusquement disparu sans laisser de trace, d’un seul coup. Il y avait aussi deux objets lumineux qui se déplaçaient à grande vitesse l'un derrière l'autre. Ces deux objets ont traversé le ciel en quelques secondes, alors que nous observions la lumière blanche. Ils semblaient à relativement basse altitude, beaucoup plus rapide qu’un avion. Direction d’Ouest en Est.
Quelques minutes plus tard, nous avons à nouveau observé cette étrange lumière blanche, dans le ciel. Le temps était beau, ciel clair et dégagé, pas de nuage.
Plus tard, au cours d’une autre journée, nous avons observé à nouveau dans le ciel un phénomène étrange avec une traînée de fumée, venant de l’ouest et se dirigeant vers l’Est. De nombreux témoins, la presse locale en a même parlé.
Le premier phénomène avait une forme bien précise, une lumière ronde, blanche. Aucune variation dans son aspect, aucune variation de couleur.
084 carte de la région d'Oujda Béni Oukil
Dans la première observation, le phénomène venait de l’ouest, au-dessus d’une caserne militaire, puis a disparu d’un seul coup. Dans le deuxième cas, l’objet observé tout d’abord à l’ouest, tout près des montages se dirigeait vers l’Est. Dans le cas 3 l’objet est resté stable près de la montagne, direction de l’Ouest.
Dans le 1er et le 2 ème cas, il n’y avait aucun bruit, pas d’effet apparent lié au phénomène, alors que dans le cas 3 il y avait une traînée de « fumée ».
La lune était présente dans les cas 1 et 3 en fin de journée. Dans le 2 ème cas, la lune était absente. Notons qu’il y avait en Avril 1996 le passage d’une comète.
J’ai fait ces observations en me promenant dans le jardin, comme j’en ai souvent l’habitude, vers 17 H 00 en soirée. Comme je regarde souvent le ciel, contemplant le paysage local, c’est pourquoi j’ai pu observer ces phénomènes. A chaque fois, j’ai appelé mes sœurs pour regarder ces étranges objets, mais depuis, je n’ai jamais fait d’autre observation d’objets insolites, non identifiés dans le ciel. J’essaie par contre, depuis que j’ai vécu ces expériences, de me documenter sur le phénomène ovni, c’est pourquoi j’ai trouvé un site Internet sur lequel j’ai laissé mon témoignage.
Source : Témoignage provenant de SPICA, objet d’un questionnaire d’enquête auprès du témoin conservé dans les archives d’Ovni Maroc.
NOVEMBRE 1996 – KHEMISSET
Bonjour à tous,
Je viens m’ajouter aux autres témoignages afin d’enrichir cette rubrique, je vais essayer de décrire ce dont j’ai été témoin. En effet, un soir au mois de Novembre 1996, (je suis incapable de dire quel jour c’était exactement car cela remonte à pas mal de temps, à 11 ans pour être précis) vers 20 H 00. J’étais accompagné de plusieurs amis (j’avais 12 ans à l’époque) dans une rue bondée à cette heure-ci, c’était dans la ville de Khemisset, située au Nord-Ouest du Maroc, entre Rabat et Meknès. Soudain un objet lumineux attire notre attention ainsi que celle des gens qui étaient dehors) cette heure-là.
L’objet était très lumineux, caractérisé par une forte lumière avec des nuances de bleus dans certains endroits, il a traversé le ciel à basse altitude (environ 600 m) à très haute vitesse sans faire de bruit. Cette première apparition a attiré l’attention des gens mais a été interprété par la plupart comme étant le passage d’une étoile filante ou de la chute d’une comète.
Environ 15 minutes plus tard le même objet réapparaît dans le ciel Au départ, il était statique et ne bougeait pas puis ensuite il commençait à faire des mouvements dans tous les sens (haut, bas, à gauche, à droite …) sans trop s’éloigner du même endroit, puis d’un coup, il disparaît à très haute vitesse. Vue du sol, l’objet ressemblait à une énorme boule de lumière avec des traînées lumineuses.
Cette deuxième apparition a également capté l’attention des gens, certains maintenaient toujours la thèse de la comète, d’autres comme moi sont restés bouche bée devant ce phénomène et puis une autre catégorie plus âgée, pensait qu’il s’agissait d’une apparition de l’ange Gabriel (Jibril en marocain), en effet la culture locale accorde une place importante aux anges et autres êtres mystérieux tels que les démons et les djinns, et beaucoup de phénomènes non identifiés sont attribués à ces êtres célestes (anges) ou terrestres (djinns).
Voilà, j’espère être précis dans ma description et je reste à votre disposition pour tous renseignements.
Source : Forum Les Mystères du phénomène ovni. Euphorio. Posté le 1er Janvier 2008.
ETE 1997 – RABAT
J'ai observé les mêmes deux événements que ceux de Pessac à cette époque, mais au Maroc, de chez moi à Rabat, toutefois bien plus tard, vers l'été 1997.
La formation de lumières se dirigeait vers l'est. Je n'ai pas vraiment eu le temps de l'observer, mais je crois qu'il y avait un peu plus de lumières car les "ailes" étaient formées de deux à trois rangées de lumières et un côté était plus long que l'autre.
Pour ce que j'ai toujours dit être un météore, c'est tombé du ciel du sud vers le nord, sans faire de bruit. C'était tellement gros que ça m'a entièrement éclairé et a surpris les gens en face de moi. J'ai vu ce que je décrirais comme de la roche en fusion, du rouge, un peu comme dans les volcans, avec un peu de noir parfois, et très irrégulier.
Samir (Paris - France) Source GREPI
AVRIL 1998 - OUARZAZATE - RISSANI
En Avril 1998 j'ai participé au 13ème Marathon des Sables dans le désert Marocain.
Celui-ci se déroulait d’Ouarzazate à Rissani.
Lors d'un arrêt à un check-point en plein désert j'ai discuté avec un médecin en attendant le reste de mon équipe.
Tout à coup sur ma gauche et donc à la droite du médecin qui se trouvait en face de moi, nous avons aperçu un éclair électrique à ras et à la verticale du sol, d'une hauteur de moins d'1 mètre et à environ 8 à 10 m de notre position. Ceci a duré peut-être 1 seconde.
Nous nous sommes alors regardés stupéfaits et nous avons demandé aux personnes présentes si elles avaient également vu cet éclair. Évidement personne ne l'a vu et le tout a glissé vers des plaisanteries agaçantes.
Ce qui me rassure c'est que nous sommes deux à avoir vu cet éclair !
Avez-vous déjà entendu parler de ce phénomène ?
Peut-être est-ce courant dans le désert ? (Sans jeu de mots).
Posté par CABESTAN sur le forum : Le Mystère des Ovnis. Février 2008
JUILLET 1998 – TAGADIRT – OUIRGANE
Monsieur Yassine O. qui habite Casablanca, 25 ans en 2009, a été témoin d’un phénomène qu’il qualifie d’Ovni, qui est de plus encore plus extraordinaire par rapport à ce qui se produit périodiquement à Hessdalen en Norvège nous dit-il.
Voici ce que j’ai vécu en juillet 1998. Ma famille et moi-même sommes allés à Tagadirt, près de Marrakech (non loin du nouveau barrage d’Ouirgane). Plusieurs soirs de suite j’ai vu, en compagnie du fils de mon oncle, des objets en forme de sphères lumineuses dans le ciel. Pas des avions, ce n’est pas la trajectoire de ceux-ci et ces sphères lumineuses étaient très différentes. J’oublie cette observation, mais plusieurs jours plus tard, nous décidons avec le fils de mon oncle, de monter sur le toit et là surprise, ces sphères lumineuses sont apparues à nouveau. Soudain l’une des sphères s’est déplacée en notre direction, venant jusqu’à la verticale par rapport à nous, mais à très haute altitude. Au-dessus de nos têtes, elle s’est arrêtée et a commencée ensuite à descendre lentement verticalement. Nous avons commencé à avoir peur, lorsque la sphère lumineuse s’arrêta une seconde ou deux pour alors reprendre de l’altitude et disparaître à nos yeux.
Impressionnés par ce phénomène, nous n’en avons parlé à personne, de temps à autre, entre nous, nous l’évoquons sans trouver de solution. Nous ne saurons jamais de quoi il s’agissait. La sphère était d’une grosseur un peu inférieure à la pleine lune. C’était impressionnant.
085 Carte de la région
En juillet 2009, à nouveau et cette fois-ci à Ouirgane, j’ai revu un phénomène similaire. J’en ai parlé à ma famille. Ils m’ont encouragé à enquêter auprès des villageois. Je parle le « berbère » donc pas de problème. A Tin-mêle les habitants du village m’ont dit avoir fait de nombreuses observations extraordinaires, entre autres, à l’occasion d’un mariage, ils ont vu un gros objet, immense, avec comme des sphères en dessous, en mouvement puis qui a stationné quelques secondes avant de disparaître à une vitesse extraordinaire. A Ouirgane, ou j’ai enquêté durant deux jours, les témoins me décrivent de nombreuses observations, souvent le soir, vers 21 h 00 – 22 h 00. Des légendes berbères qu’on m’a racontées, font références à des êtres supérieurs, en avance sur nous les humains, qui volent dans les cieux. Plusieurs témoignages aussi dans ma famille, ma tante a même vu un être géant de 3 m de haut. Cela se passait à la campagne.
Je vais continuer à enquêter sur ces phénomènes, ayant moi-même été témoin, je voudrais en savoir plus et trouver des explications à mes observations, aux observations des témoins que j’ai interrogés.
Source : Témoignage de Yassine O. (archives d’Ovni Maroc)
20 AOUT 1998 - CHEFCHAOENE (date approximative)
J’ai distinctement vu un objet volant en forme de boomerang qui ne faisait aucun bruit et n’avait pas de feux. Nous étions sur le toit de l’hôtel en train d’observer une pluie de météores. Nous étions sur le toit d’un l’hôtel et avons regardé (nous étions plusieurs témoins) une pluie de météorites. Il y avait une fête (de mariage ?) à quelques pâtés de maisons de chez nous avec de gros projecteurs qui éteignaient périodiquement toutes les lumières de notre quartier de la ville, et il y avait peu d'éclairage public. Il y avait une fête (mariage ?). Quelques blocs étaient situés loin de nous avec de nombreuses lumières, régulièrement éteintes dans notre secteur de la ville ce soir-là. Il y avait aussi quelques réverbères. Pendant que je levais les yeux, l'objet a volé directement au-dessus de nous, et je l'ai regardé voyager presque directement au-dessus de nous, là où je l'ai remarqué pour la première fois jusqu'à l'horizon. Bien que je / nous étions les yeux levés vers le ciel, l'objet a volé directement sur nous, et je l'ai regardé pendant son déplacement, il venait pratiquement directement sur nous. Je l’ai remarqué à l’horizon. En l'absence de référence aux objets dans le ciel, je ne peux que deviner la taille et la vitesse. Si j'avais tenu ma main au-dessus de moi à bout de bras, mon ongle du pouce l'aurait presque recouverte. J’ai tendu ma main au-dessus de moi à bout de bras et l’objet la couvrait pratiquement dans sa totalité.
Elle s’est déplacée en Il a fallu 5-6 secondes pour parcourir environ 60 degrés à travers mon champ de vision.5-6 secondes pour venir à environ 60 degrés dans mon champ de vision. Il semblait beaucoup plus bas que les étoiles, et je pouvais clairement voir les bords, donc je suppose qu'il avait entre la taille d'un avion à hélice unique et celle d'un avion de ligne, volant à environ 10 000 pieds (plus haut qu'un avion à hélice mais beaucoup plus bas qu'un avion de ligne). de ligne. Il volait à environ 10.000 pieds (plus élevé que celle d’un petit avion, mais beaucoup plus faible que celle d’un avion de ligne). La forme était parfaitement géométrique : dessinez un cercle, coupez-le en deux, puis retirez deux demi-cercles avec les "coins" touchant de la ligne droite où la coupe originale a été faite et ce serait la forme exacte. La forme était parfaitement géométrique : dessiner un cercle, le couper en deux, puis retirer deux demi-cercles dans les "coins" prendre la ligne droite où la coupe originale a été faite et c'est ce qui donnerait la forme exacte. Le résultat, si vous dessiniez, devrait ressembler à un boomarang arrondi avec une pointe sortant de l'arrière. Le résultat si vous le dessinez doit être quelque chose comme un boomerang arrondi avec une sortie sur l'arrière. Il ne faisait aucun bruit et n'avait pas de feux de position. Il ne faisait aucun bruit, et il n'avait pas de feux. Il semblait avoir une lueur orange terne ; la chose la plus proche à laquelle je puisse comparer la couleur/lueur est la bobine d'une cuisinière électrique lorsque la bobine commence tout juste à chauffer. Il semblait par contre y avoir une lueur orange terne ; la plus proche a choisi à quoi je peux comparer la couleur / lumière est la résistance d'un four électrique lorsque la résistance vient juste de commencer à chauffer. Je ne peux pas dire si la lueur provenait de l'objet ou était un reflet des lumières de la fête. Je ne peux pas dire si la lueur venait de l'objet ou se elle était le reflet des lumières de la fête. De toute façon, il n'était pas très lumineux et comme il ne faisait aucun bruit, je ne pense pas que je l'aurais vu si je n'avais pas déjà levé les yeux. En tout cas, il n’était pas très brillant et comme il ne faisait aucun bruit, je ne pense pas que je l’aurais vu si je n’avais pas regardé le ciel.
J'ai discuté de l'observation avec un autre témoin, un écossais et il m'a confirmé que ce qu'il a vu c'est ce que j'ai vu et décri ici. Un autre témoin Canadien a déclaré qu'il n'était "pas sûr de ce qu'il avait vu" et ne pouvait pas en parler. Il n'y avait pas vraiment de « brume ou d'aura » autour de l'objet, je n'ai donc pas coché cette case. La lumière était plutôt « sur » l'objet et ne se déployait pas. Il n'y avait pas vraiment de « brume ou d'aura » autour de l'objet, la lumière était à mon avis « sur » l'objet et elle ne se dispersait pas. Si quelqu'un souhaite une description verbale ou des éclaircissements, ou peut me dire de quoi il s'agissait, je serais prêt à être contacté par téléphone ou par courriel. ((Note NUFORC : Le témoin indique que la date de l'observation est approximative. PD))
(Remarque NUFORC : Witness indique que la date de l'observation est approximative PD)
23 AOUT 1998 – OUJDA.
Le 23 août 1998, à Oujda (Maroc) vers 23 h 00. Nous étions sur la terrasse de la maison en train de regarder les étoiles quand tous à coup, nous avons aperçus, deux objets en forme de croissant tournant l'un autour de l'autre sans aucun bruit. On s’est regardé puis on a vu ces deux ovnis partir, un vers le Sud et l'autre vers le Nord-Est. Il n'y avait pas de lumière qui clignotait car en fait ces croissants n'étaient que lumière. Ils ont une forme qui ressemblait à un B2, l'aile volante américaine. Ils avaient une accélération exponentielle car on était à 35 km d'un pic, distance qu'il a parcourue en moins de 4 secondes, « je m’y connais » en avion et aucun sur terre n’a cette agilité et cette vitesse. Pour moi ils existent, (les OVNIS) cela ne fait aucun doute.
Source : Forum de Benzema
1999 – NADOR.
En 1999 à Nador j'ai aperçu une boule de lumière qui a traversé le ciel.
Mail de Au-Delà du Réel - FORUM
MARS 1999 – CASABLANCA
En mars 1999, à Casablanca au Maroc, on était cinq voire sept personnes, lorsque apparut un engin énorme en forme de cigare, qui était tellement grand qu'on le voyait près de nous même s'il était entre les nuages. Par l'arrière sortait de la fumée qui disparaissait au contact de l'air.
L'observation a duré une quarantaine de secondes et l'engin a disparu en un clin d'œil devant nos yeux.
Tarik (Liège - Belgique) Source GREPI
3 JUIN 1999 - CEUTA
Témoin : Emilio V. Pomares Eyewitness
Description de l’événement :
"Je tiens à vous informer d'un événement étrange qui a eu lieu le 3 Juin 1999 à 12:05. J'étais sur Marina Espanola, rue de Ceuta, qui fait face au détroit de Gibraltar. Deux avions à réaction ont survolé la côte et je me suis arrêté pour les regarder. "
« Les avions de combat avaient disparu de ma vue lorsque j'ai remarqué un autre avion, beaucoup plus grand et à propulsion par réacteurs, un Jumbo de grande taille. Il volait à une vitesse relativement faible en ligne droite, d'Ouest en Est. Sa vitesse était beaucoup plus lente que celle de petits jets de l'armée. Ce qui est surprenant, c'est que l'avion était énorme, flanqué de quatre engins aux abords, des objets circulaires dans une formation symétrique, formation triangulaire (deux objets de chaque côté). »
"Il m'est arrivé un jour pour enregistrer la planète Vénus sur une caméra vidéo 220x, de mettre le zoom au maximum. L'effet que j’ai obtenu était presque semblable à celui de la fameuse « soucoupe en forme d’assiette renversée » cet ovni qu’on nous montre souvent à la télévision."
"Selon la presse officielle, dans des articles écrit sur cette affaire, l'explication serait le ravitaillement en vol de quatre avions de combat".
Source « Revue ufologique - Papier OVNIs », Juillet-Septembre 2001, n ° 25 (Traduction (c) 2012, S. Corrales, IHU. Remerciements à Ange Carretero Olmedo)
AUTOMNE 1999 – LAC LALLA TAKERKOUST – MARRAKECH A la fin des années 90, probablement vers le mois d’octobre 1999, un ouvrier rendant visite à sa famille observe un objet dans le ciel, au loin. L’objet arrive de la vallée de l’oued N’Fis, plonge dans le lac formé par le barrage « Lalla Takerkoust » et ressort de l’eau environ 2 Kms plus loin. Il s’élève alors à grande vitesse vers l’espace.
086 Carte de la région du lac de Lalla Takerkoust
AU MAROC DANS UNE VALLEE SACREE…..
Le Maroc, c’est le pays des légendes des milles et une nuit, le pays ou les histoires mystérieuses et insolites de Djinn et autres créatures imaginaires sont nombreuses. A 35 kms au Sud-Ouest de Marrakech, un lieu se prête à merveille à ces légendes, le Lac formé par le Barrage Lalla Takerkoust. (À l’origine dénommé « Barrage Cavignac », du nom de l’ingénieur Français qui l’a conçu). A l’emplacement de ce lac, avant 1929, date ou du temps du protectorat les Français ont construit ce barrage, se situait le Marabout et la mosquée Lalla Takerkoust. Une source sacrée faisait également partie du décor. Lalla, qui veut dire entre autres « sainte », était une femme bonne, généreuse, dotée de certains pouvoirs et on venait à son mausolée, prier, faire des offrandes, surtout les femmes pour être fécondes et avoir des enfants, des garçons de préférence car ils sont les garant de la survie de la famille, une fois que les parents ont pris de l’âge. Ce nom est aussi donné à un point d’eau, situé en amont de la montagne. La tradition veut que ce point d’eau soit le lieu cité dans un passage du Coran, celui des 7 dormants de la Sourate XVIII de la Caverne. Ce passage raconte précisément l’aventure de jeunes chrétiens d’Éphèse que Dieu plongea dans un sommeil mystique après qu’ils eurent été emmurés dans une caverne par leurs persécuteurs païens. Non loin de là, dans le village d’Amizmiz, se trouve sept tombes alignées proche de la source de Lalla Takerkoust, connue pour ses effets thérapeutiques : des malades y viennent parfois s’y faire mordiller les pieds enduits de pain, par des tortues d’eau. (1) Enfin dans la région j’ai retrouvé une légende qui s’exprime localement : afin de faire peur aux enfants, on leur raconte, s’ils n’obéissent pas, s’ils sortent la nuit, que le monstre du lac qui rôde la nuit dans la région leur lancera d’un coup donné avec sa queue couverte de « pointes » une « gifle » qui leur fera très mal, occasionnant de nombreuses plaies !
(087 Notre photo : le barrage Lalla Takerkoust)
La vallée du mausolée de « Lalla Takerkoust » était sacrée, les croyances et légendes y étaient nombreuses. Pourtant, le progrès a sacrifié sans remord, ce lieu religieux, prisé par les berbères de la région. Le mausolée fut reconstruit non loin du barrage, dans le nouveau village de Lalla Takerkoust. Un second village, fut également construit pour loger les nombreux habitants de la vallée : Agargoure. Il se situe à côté du barrage.
Le barrage a été construit de 1929 à 1935 dans le but de produire de l’électricité, alimenter en eau potable la région et irriguer la grande plaine du Haouz. Il produit environ 13 millions de kWh et irrigue aujourd’hui près de 10 000 hectares. Toutefois, l’envasement du lac réduit ses capacités et il fut décidé entre 1977 et 1982 de le surélever de 9 m, portant ainsi sa hauteur finale à 71 m. Long de 357 m, il a été nécessaire d’utiliser pour sa construction plus de 150 000 m3 de béton et le volume utile du réservoir est de quelque 78 000 000 m3. Le lac formé par le barrage est long de 7 kms. Le lac est longé sur sa droite, par une route qui se prolonge jusqu’à la moitié environ de sa longueur. (Jusqu’au « Chalet du Lac » un restaurant fréquenté par la bourgeoisie de Marrakech et par de nombreux visiteurs et touristes. Ensuite, c’est une piste longée parfois de mûrs en pisé, que l’on peut emprunter avec des véhicules adaptés. Elle se prolonge jusqu’à la fin du lac, se poursuit dans la vallée du N’Fis vers des villages perdus dans la campagne. On peut, en la suivant, déboucher près d’Amizmiz.
Le lac est aujourd’hui un endroit touristique ou les Marrakchis viennent l’été passer une agréable journée au bord de l’eau pour fuir la chaleur de la ville. Quelques petits restaurants, hôtels, complexes touristiques se sont développés, surtout ces dernières années, pour faire face à ce besoin de quitter la ville. Toutefois, si un certain nombre de personnes téméraires s’y baignent, le lac est dangereux (présence de vase), on signale des noyades et il est officiellement interdit de s’y baigner. La vue sur le lac avec comme fond, les hauts sommets de l’Atlas est exceptionnelle.
(088 Notre photo : une vue du Lac formé par le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine « barrage Cavignac ».)
UNE OBSERVATION SIGNALLEE AU GROUPE OVNI MAROC A MARRAKECH
C’est dans ce décor féérique qu’un témoin a observé lors d’une soirée d’automne 1999, un phénomène insolite, qu’à ce jour, on n’a pas encore été en mesure d’expliquer.
C’est à la suite de rapports d’observation publiés par le groupe OVNI Maroc International de Marrakech sur divers forums, blogs et sites sur Internet au Maroc que Mohamed M, nous contacta. Mohamed M travail dans l’immobilier, il réside dans la Palmeraie de Marrakech et il y a plusieurs années il a entendu de la bouche même du témoin, la description d’une observation d’un phénomène qu’il n’a pu identifier. Il a toujours en mémoire cette observation, cela l’intrigue et en mai 2012 il décide de nous contacter par téléphone. Cultivé, à la pointe de l’information et de tout ce qui se passe dans le monde, il nous raconte la scène : une personne qu’il connaît bien, Youssef G., lui a raconté il y a quelques années qu’il avait observé un objet qui a plongé dans le lac Lalla Takerkoust et en est ressorti plus loin, s’élevant alors à la verticale à une vitesse rapide pour disparaître dans le ciel.
(089 Notre photo : une vue du Lac formé par le barrage Lalla Takerkoust appelé à l’origine « barrage Cavignac.)
Le cas est intéressant, même s’il n’est pas récent et il mérite une enquête approfondie afin d’en relever un maximum de paramètres. Les objets plongeant dans la mer, dans des lacs sont des cas que l’on a souvent rencontrés. Nous convenons d’une entrevue à notre domicile à Marrakech, avec Mohamed M. qui nous explique ce qu’il sait de cette affaire. Cela semble digne de foi, même si les informations sont anciennes, susceptibles de s’être modifiées avec le temps. Les bases fondamentales sont là. Le témoin présente toutes les caractéristiques d’une personne qui n’invente pas une histoire, mais qui a seulement observé un phénomène rare. Il ne cherche pas la publicité et raconte d’ailleurs avec peu de conviction ce qu’il a vu, comme si cela n’avait aucune importance. Nous convenons avec Mohamed M de rencontrer le témoin afin qu’il nous donne plus de détails sur ce qu’il a observé. Le rendez-vous n’a pas été immédiat, c’est seulement au mois de septembre 2012 que la rencontre a lieu, à Marrakech, dans un petit café.
090 Un objet plonge dans le lac………. Il en ressort environ deux kilomètres plus loin s’élançant vers le ciel.
091 Détails de l’objet : 1) lors de l’apparition 2) lorsqu’il est sortie de l’eau
UNE OBSERVATION EN DEUX PARTIES
Youssef G. est originaire d’un petit village situé à environ une dizaine de kilomètres du lac, dans la vallée de l’oued N’Fis. Il a une cinquantaine d’année et il a quitté très jeune la campagne pour tenter de gagner sa vie sur Marrakech, ville située à environ 40 Kms de son village. Il bricole, tantôt peintre en bâtiment, électricien ou encore maçon, il a son petit réseau de clients qui font appel à lui pour toutes les tâches qui entrent dans ces domaines. Il habite dans la médina de Marrakech et survit car ici, ce travail n’est guère payé, la population est en générale pauvre, avec toutefois depuis une vingtaine d’années l’arrivée d’européens qui ont remis en état de nombreux ryads dans la médina, les transformant en véritables palais. Il parvient alors à faire de « bonnes affaires » comme il dit, avec ce nouveau type de clients souvent fortunés qui aujourd’hui l’emploi occasionnellement pour des travaux relevant d’un savoir-faire unique dans le domaine de la réhabilitation de ce patrimoine exceptionnel. Le phénomène OVNI, il ne le connaît pas car il ne sait pas lire ni écrire et sa principale préoccupation est d’avoir un minimum d’argent pour manger.
(092 Notre photo : dans la médina de Marrakech, de nombreux ryads sont réhabilités par des étrangers…)
Il situe le phénomène dont il a été témoin à la fin des années 90, probablement à l’automne 1999 vers 16 h 00. Ce jour-là, il a décidé de quitter Marrakech pour rendre visite à famille, restée au « bled ». Il a pris le bus pour Agargoure, puis un taxi qui l’a emmené jusqu’au chalet du lac, fin de la route « goudronnée ». Il poursuit alors son chemin par la piste, profite éventuellement d’un transport par camion ou automobile si l’occasion se présente. Rare sont les véhicules à emprunter cette piste qui mène au bout du lac, puis dans les divers villages, en général construits en pisé, qui existent depuis des siècles le long de l’oued N’Fis.
(093 Notre photo : Après la route goudronnée, une piste difficile, parfois bordée de murs en pisé)
Après avoir parcouru à pied la piste sur un kilomètre environ, il se retrouve alors surplombant le lac avec une vision qui lui permet de voir la totalité du lac ainsi que le début de la vallée de l’oued N’Fis. Son regard est à ce moment-là attiré par un objet lumineux qui vient à partir de la vallée, à 15/30° de hauteur par rapport à la vallée, dans sa direction. L’objet d’apparence arrondie, gros comme le quart de la pleine lune se déplace lentement, devient plus volumineux en se rapprochant, perd régulièrement de l’altitude jusqu’à son point de chute dans le lac. Il est lumineux sur son pourtour, d’une couleur jaune très clair, pratiquement blanc et en son centre une couleur grise comme du métal, qui brille légèrement. Un cercle plus orangé aux contours « vaporeux » semble délimiter l’objet gris de son pourtour lumineux jaune très clair. Il observe cet objet qui descend lentement, jusqu’au moment où cet objet entre en contact avec l’eau du lac, disparaissant alors sous l’eau. Il ne remarque pas de mouvements spécifiques à la surface de l’eau, mais l’observation de l’objet qu’il a suivi auparavant sur deux ou trois kilomètres est alors situé à environ des trois quarts du lac lorsqu’il a pénétré dans l’eau, à deux kilomètres environ de sa position d’observateur.
(094 Notre photo : une vue du lac et de l’Atlas en arrière-plan)
Il contemple alors ce spectacle insolite sans pouvoir déterminer s’il a à faire à un phénomène naturel ou à la présence d’un objet manufacturé. Il pense toutefois que c’est quelque chose de solide et il l’a alors observé durant au moins 5 secondes à partir du moment où il l’a vu et le moment ou l’objet a pénétré dans le lac. L’hypothèse d’un bolide, d’une météorite ne résous pas cette vision, l’objet se déplaçait trop lentement et surtout sa trajectoire était horizontale tout en perdant de l’altitude provenant non pas de l’espace, mais de la vallée, sans traînée lumineuse ou matérielle sur l’arrière. L’hypothèse d’un petit avion ne convient pas, cela n’en avait pas la forme et la chute d’un tel appareil aurait alors fait la une de la presse. Il a seulement observé un objet rond, aux bords lumineux. Rien de plus.
(095 Notre photo : vue sur un village en pisé dans la vallée de l’oued N’Fis, quelques kilomètres après la sortie du lac.)
APRES AVOIR PLONGE DANS LE LAC, L’OBET SORT DE L’EAU 2 KMS PLUS LOIN !
Mais l’observation ne s’arrête pas là, car deux secondes plus tard, il voit ce qui pour lui est le même objet ressortir de l’eau, s’élever à une grande vitesse vers le ciel. L’objet disparaît rapidement à la verticale dans l’espace. La sortie de cet objet, qu’il situe aux environs de la moitié du lac, voir un peu plus par rapport à sa position d’observateur, se fait sans mouvement apparent de l’eau. L’objet s’élève très rapidement à une vitesse constante, similaire à une étoile filante, il le voit disparaître en une seconde ! La forme de l’objet est alors allongée, arrondie aux extrémités qui sont pointée vers le ciel pour sa partie supérieure, toujours estimé à la grosseur du quart de la pleine lune. L’objet à un contour bien défini, de couleur grise comme de l’aluminium qui a vieilli. Il ne brille pas, malgré le soleil. Le ciel est d’un bleu pur, sans nuage et il fait très chaud ce jour-là.
096 Carte de la région avec l’itinéraire suivi lors de notre enquête sur les lieux, après la fin du lac et en remontant la vallée par des pistes.. (2)
Cette seconde phase de l’observation ne trouve aucune explication et contribue à renforcer l’intérêt de cette vision. On trouve dans les témoignages recueillis sur les cinq continents fréquemment des observations d’objets plongeants dans la mer, dans des lacs, ou encore des témoignages faisant état d’objets sortant de l’eau, mais plus rarement des cas ou l’objet plonge dans l’eau pour en ressortir plus loin. On peut estimer, compte tenu de la longueur du lac, à environ deux kilomètres la distance qu’il semble avoir parcourue sous l’eau. La couleur de l’objet, au moment de l’apparition, jusqu’à sa disparition n’a pas varié par rapport à ce qui est décrit. Aucune modification ou transformation des couleurs ou de sa luminosité, ces paramètres semblaient figés. La durée totale de l’observation a été rapide, décomposée, on arrive à environ 8 secondes. Les trajectoires étaient rectilignes, sans aucun « Zig-Zag » dans les deux phases de l’observation et lorsque l’objet est entré dans l’eau puis en est ressorti, la trajectoire sous l’eau semblait elle aussi rectiligne.
Youssef a observé ce phénomène dans un parfait silence, c’est la seule fois au cours de sa vie qu’il est témoin d’une observation d’un objet qui se déplace dans l’espace et qui est pour lui inconnu. L’objet à aucun moment n’a émis un bruit quelconque lors de ses déplacements. Compte tenu de l’éloignement, il ne peut pas dire si pénétrant dans l’eau ou en sortant de l’eau, il y a eu émission de son ou que ces actions aient provoqués du bruit. Pour Youssef, aucun remous sur l’eau, aucun bruit, tout s’est déroulé sans que l’environnement ait été perturbé par les actions diverses de l’objet dont il a suivi l’évolution. Youssef à une bonne vue, ce qui est encore le cas au moment de cette rencontre. 097 Image : Sortie du Lac Lalla Takerkoust avec une vue sur la vallée d’où provenait l’objet
ICI LES D’JINNS SONT LES MAITRES DES LIEUX !
Youssef a été le seul témoin de cette observation, le lieu est d’autre part très peu peuplé et il n’y avait pas d’autres personnes dans l’environnement proche. D’ailleurs, exception la traversée des villages, il ne rencontrera personne sur sa route qui doit le mener au domicile de sa famille, situé au-delà d’Aït Ben Ali, l’un des petits villages en pisé situé sur sa route. Ne comprenant pas ce qu’il a observé, il pensa avoir été témoin d’une expérience secrète de la part de l’armée. Mais il ne chercha pas à comprendre et immédiatement après son observation, il a repris sa marche, comme si de rien n’était, par la piste qu’il a l’habitude d’emprunter depuis de nombreuses années. Il ne parla pas de cette observation à sa famille, on se serait moqué de lui. Il a évoqué seulement à deux ou trois reprises cette scène, en présence d’amis et lors de discussions ou ont été évoquées des informations qui ont un rapport avec le ciel, les étoiles ou les missions spatiales. Dans les villages éloignés de la civilisation, autrefois, pas d’école, la majorité de la population ne sait ni lire, ni écrire. Tout ce qu’on observe et qui semble anormal est alors rapidement assimilé à des légendes, des croyances où interviennent les pouvoirs surnaturels des djinns, évoqués dans le coran. Les djinns sont des créatures surnaturelles dont les histoires se transmettent oralement au sein des familles et ils servent à expliquer beaucoup de chose, car souvent invisibles, ils peuvent prendre diverses formes : animales, végétales voir matérielles. Dans le cas présent, sensibilisé par la télévision, la ville, le témoin a une plus large connaissance de son environnement et fait intervenir une explication en rapport avec des expériences militaires. Selon la tradition, les Djinns habitent des endroits déserts, des forets, des cimetières, mais aussi des points d’eau, ce qui explique pourquoi dans cette vallée ou l’eau est présente, on évoque fréquemment leur présence. (Les Djinns qui habitent près des cours d’eau sont appelés « Maritins »). Enfin pour en terminer avec les djinns dont le monde musulman admet l’existence, il est évoqué parfois le fait que ces « êtres surnaturels » présents avant l’homme sur terre, qui ont donc acquit des connaissances supérieures aux humains, sont en fait à l’origine du phénomène ovni ! Voilà une explication à laquelle on ne pense que rarement pour donner une solution à ce dossier, véritable énigme de notre temps. Mais évidemment elle est loin de tout expliquer !
(098 Notre photo, le village de Lalla Takerkoust)
Tous nos remerciements à Mohamed pour n’avoir pas hésité à nous contacter afin de nous faire connaître cette observation, à Youssef, de nous avoir reçu, expliqué ce qu’il avait vu mais pour qui ce phénomène n’a guère d’importance et qui inlassablement poursuit son travail contribuant ainsi largement à la mise en valeur d’un patrimoine marocain exceptionnel.
099 Une habitation en pisé, un mélange de terre et paille, habitat traditionnel dans les secteurs non desservis par des routes goudronnées.
Nous noterons aussi que cette observation, tout comme celles des années 1954 dans la région d’Asni, au « Sanglier qui fume », aux salines très proche, ont pour lieu commun l’Oued N’Fis. Décidément, cette vallée est très fréquentée par des Objets Volants qu’on n’identifie pas !
Si vous aussi, vous connaissez le témoin d’une observation d’ovni ou si vous en avez été personnellement le témoin, n’hésitez pas à nous contacter afin de relater ces faits, qui rejoindront « L’histoire des OVNIs au Maroc » un ouvrage gratuit accessible sur le net : Notre émail : lebat1@aol.com
Gérard LEBAT
OVNI MAROC International
Paris - Marrakech
(2) Les cartes sont issues de Google Maps
ETE 1999 SKHIRATE – TEMARA
Été 1999, ça devait être début août. Il était environ 21 h 00 et J’étais avec mon frère ainsi que deux amis sur leur balcon pour y passer la nuit. Cette nuit-là le ciel était dégagé et les étoiles brillaient de mille feux.
Soudain, au loin dans le ciel, apparut une forme de couleur sombre et mate sans la moindre lumière apparente, avançant à vive allure, trop vite pour être un avion. Sa forme ne correspondait pas du tout à un appareil connu et ne présentait aucun signe représentatif d’un objet volant identifié à ce jour.
On suivit sa trajectoire jusqu’à sa disparition derrière les villas, et c’est alors qu’on aperçut une forte lumière bleue provenant de sa direction.
Bien sûre personne n’a voulu nous croire jusqu’au jour où j’ai appris que ce phénomène a été aperçu durant la même période par un père et ses deux enfants.
Youssef (Skhirate-Témara – Maroc) Source : GREPI Genève
8 AOUT 1999 – TEMARA.
Un homme et ses deux enfants, Félicia, âgée de 4 ans et Charles, âgé de 8 ans, marchaient le long de la plage sablonneuse à Témara, au Sud de Flap au Maroc. Juste après 21 h 00, Félicia a montré la mer et a hurlé, "là !"
"Un grand objet en forme de V et avec des lumières brillantes est passé directement au-dessus de nous," rapporte le témoin adulte. "Nous l'avons observé, Felicia, Charles et moi-même, pendant environ quatre à cinq secondes. Il était au-dessus de nos têtes, sa hauteur est très difficile à évaluer, de 500 mètres à 5.000 mètres, peut-être. Ou plus! Il avait environ 100 à 500 mètres de longueur, selon moi, mais ceci semble très difficile à évaluer (distance imprécise). Il a disparu très rapidement de notre champ visuel."
Source : UFO ROUNDUP Volume 4, Number 29 November 11, 1999 Editor : Joseph Trainor Trad Phil – Observation reprise dans de nombreuses études. . (Thierry Garnier - France OVNI ; [OVNI-SCIENCES] Bulletin d'information n° 2 12.11.99)
9 AOUT 1999 – RABAT.
Ce cas, en direct du témoin, est à l’évidence le même que celui du 8 Août 1999 à Témara. La revue UFO ROUNDUP situe ce cas le 8, le témoin le 9. (Vu l’ancienneté du témoignage, il n’est pas évident que le témoin donne la bonne date, donc, nous restons dans l’attente de documents complémentaires.)
Lundi 9 août 1999, j'étais avec mes deux enfants, 4 et 8 ans, au bord de la mer, au sud de Rabat (Maroc).
A la nuit tombée, vers 9 heures, nous tentions d'observer des étoiles filantes, quand soudain ma fille Félicie (4 ans) à déclamer, "là !". Un objet très grand en forme de V, volant probablement très haut est passé au-dessus de nous. Nous l'avons observé 4 à 5 secondes, puis il a disparu.
Cet objet comportait de faibles lumières blanches sur le pourtour du V. J'ai demandé à mes enfants de dessiner ce qu'ils avaient vu ; leur dessin et le mien se ressemblent beaucoup.
Source GREPI - Jean-Marc (Rabat)
ENVIRON DU MOIS DE NOVEMBRE 1999 – IFRANE.
Bonjour.
J'ai 18 ans, mon nom est Amine. Cette histoire s'est déroulée il y a un an (message reçu le 6.11.2000-GREPI).
Un dimanche, j'étais en pique-nique avec mes parents à Ifrane, précisément dans la forêt. Ce n'était pas une forêt mais on pouvait le dire. On était resté jusqu'à 18h puis moi et ma petite sœur étions partis pour se balader. Après des minutes, nous vîmes une lueur rouge éclatante. Quand j'ai soulevé ma tête, j'ai vu deux objets volants rouges à une vitesse supersonique qui volaient dans un plan aligné. On n'entendait pas même pas le son de leurs engins.
Ce que je vous raconte est une histoire vraie, je pense que c'étaient des OVNI pas terrestres mais extraterrestres.
Amine (Ifrane - Maroc) Source : GREPI
27 NOVEMBRE 1999 – BENI MELLAL
Objet : engins VOLANTS non identifiés à Béni-Mellal, le 27.11.1999
Nous avons observé le SAMEDI 27 novembre 1999 à 21h30 environ un engin non identifié survolant la ville de Béni-Mellal.
Cet engin volant de forme allongée, suivait une trajectoire horizontale en provenance du sud-ouest et se dirigeait vers le nord-est. De forme cylindrique, noir, se détachant sur le ciel étoilé clair, il est propulsé sans aucun bruit par un système à réaction situé à l'arrière et rejetant une flamme blanche éclatante, à la sortie, puis rouge et orange très vive, laissant une traînée de quatre à cinq fois la longueur de l'engin. L'éclat s'atténue progressivement.
L'engin, silencieux, semble voler à basse altitude entre cinq cents et mille mètres. On distingue parfaitement le rond noir de la tuyère d'où sort la flamme du réacteur.
Sur la partie avant, on aperçoit de petites lumières comme des hublots, éclairés de l'intérieur. La longueur de l'engin ainsi que sa vitesse peuvent être comparées à un gros avion de ligne, mais avec une forme cylindrique plus étroite, parfaitement uniforme de l'avant à l'arrière, sans ailes apparentes, avec plutôt une forme de fusée volant horizontalement.
Un court instant, nous apercevons deux autres silhouettes identiques, plus petites, à gauche et décalées en hauteur, suivant la même trajectoire, comme un vol en patrouille.
L'observation a duré quelques minutes. Nous étions sur le parking en face de l'entrée de l'auberge du Vieux-Moulin. Nous avons d'abord aperçu l'engin entre les immeubles. Nous nous sommes alors déplacés rapidement dans l'avenue principale et l'avons parfaitement observé avec les deux autres silhouettes, pendant environ une minute trente, jusqu'à son éloignement à l'horizon, et sa disparition vers Xibaa.
Personnes présentes : 5 membres du Centre Royal de Vol à Voile de l'Atlas
Marc (Casablanca - Maroc) Communiqué par le GREPI
PRINTEMPS 2000 – FEZ -
Au printemps de l'an 2000, nous étions, moi et certains de mes amis, en train de jouer au football dans une place libre se trouvant au milieu de notre lotissement.
Soudainement, on a vu une sorte de lumière blanche qui a surgi lentement de la terre et a passé juste au-dessus de nous à une vingtaine ou trentaine de mètres à peu près.
C'était vraiment un événement indescriptible qui restera gravé dans ma mémoire.
Anass (Fès - Maroc)
Source : GREPI Genève.
ETE 2000 - BERKANE
L’été de l’année 2000 à Berkane environ minuit et demi, observation d’une grande boulle rouge qui voyage doucement vers le Sud Est.
Plus de 10 min d’observation avant de disparaître après les montagnes de Beni Znassen (plusieurs témoins). Le même jour un ami a vu le même objet à Oued amlil. Des voyageurs en autocar sont descendus pour diner à environs 20h30. Le même jour, encore un jeune homme de Talsint prétend avoir vu le même objet volant se (poser) à Talsint après 3h du matin. Il parle d’un objet très lumineux qui se pose doucement et sans aucun bruit. Les gendarmes se précipitèrent sur les lieux pour enfin cercler l’objet et interdire tout approche de l’objet qui au lever du jour perd ses lumières et se voit comme une grande roche aussi grande que deux bus.
Puis ensuite des militaires Marocains et étrangers (américains) hauts gradés se sont présentés sur les lieux. Le lendemain et les deux jours âpres des convois de grands camions remorques transportait des pièces géantes vers Talsint. Rien bien sûr ni en télé, ni radio. Mais quelques jours après le Ministre Mme Benkhadra déclare en août 2000 la découverte d’un grand gisement de pétrole. La nouvelle a rempli de joie le peuple marocain
Il s’agit là d’une information envoyée par un lecteur sur le forum Ovni Ufologie. Aucune enquête n’a été semble-t-il été faite par la suite par un spécialiste du phénomène ovni, connu et sérieux ou ayant eu au minimum une formation d’enquêteur afin d’analyser ce cas. Il est mentionné ici mais à prendre avec les réserves d’usage.
14 DECEMBRE 2000 - CASABLANCA
L'objet a été aperçu le 14/12/2000 et signalé le 28/05/2003.
Une nuit d'hiver, ma mère et moi avons vu 3 objets de forme ovale se déplacer d'une manière étrange dans le ciel, pendant moins d'une minute. C'était il y a 3 ans mais je m'en souviens encore très bien. Une nuit d'hiver, avec ma mère, j'ai vu trois formes ovales comme des navires se déplaçant d'une manière étrange dans le ciel, au durant moins une minute. C’était il y a 3 ans mais je m’en souviens très bien.
J'étais avec ma mère sur la terrasse de notre maison, pour regarder les départs comme nous le faisons habituellement en hiver -- Orion est ma constellation préférée. J'étais avec ma mère sur la terrasse de notre maison, pour regarder le ciel comme nous le faisons habituellement en hiver - Orion est ma constellation préférée. Je parle ici de cette expérience pour la première fois officiellement. Je parle de cette expérience ici pour la première fois probablement. Je ne savais pas qu'une chose telle que votre centre existait avant aujourd'hui, quand j'ai accidentellement vu votre page sur le net. Eh bien, je disais que j'étais sorti pour regarder les étoiles avec ma mère, quand - après 20 minutes d'observation du ciel - nous avons tous deux vu en même temps une sorte de lumière, plus intense que celle des étoiles, mais pas très nette.
Eh bien, si je disais que je suis sorti pour regarder la voûte céleste avec ma mère, après 20 minutes d'observation, nous avons tous deux vu en même temps une sorte de lumière, plus intense que celle des étoiles. Ma mère m'a demandé si je pouvais avoir une idée de ce que cela pouvait être, mais je n'ai pas pu répondre, car je réalisais que cette lumière que nous venions de voir semblait se rapprocher et se déplacer d'une manière étrange, comme aucun autre avion ou hélicoptère ne le fait - et je sais de quoi je parle, car j'habitais à côté d'un aéroport. Ma maman m'a demandé si je pouvais avoir une idée sur ce que cela pouvait être, mais je ne pouvais pas répondre. Je me suis rendu compte que cette lumière que nous venions de voir semblait se rapprocher et de se déplacer d'une manière étrange, pas comme les avions ou hélicoptères - et je sais de quoi je parle, puisque j'avais l'habitude de vivre à côté d'un aéroport. Les yeux de ma mère et les miens étaient fixés sur la lumière, qui est progressivement devenue une sorte de vaisseau ovale. Les yeux de ma maman et les miens ont été collés sur la lumière, qui est progressivement devenu une sorte de forme ovale ressemblant à un navire. Nous nous sommes d'ailleurs vite rendu compte qu'il était suivi de peu par 2 autres, plus petits, mais avec le même éclat et le même mouvement anormal. Nous avons également rapidement compris que cet objet était suivi de près par deux autres, plus petits, mais avec le même éclat et le même mouvement anormal. Le phénomène a duré moins d’une minute, mais je ne l’oublierai jamais. L'ensemble du phénomène a duré moins d'une minute, mais je ne l'oublierai jamais. Je ne pouvais pas y croire, mais j'ai ensuite demandé à ma mère de me dire que c'était vraiment arrivé. Je n'y croyais pas, mais j'ai eu la confirmation de ma maman pour affirmer que c'est vraiment arrivé.
Nous parlons souvent de cette soirée spéciale ensemble, mais seulement lorsque nous sommes tous les deux - même mon père ne veut pas en entendre parler. Nous parlons souvent de cette nuit insolite ensemble, mais seulement lorsque nous sommes tous les deux - même mon père ne veut pas en entendre parler. J'espère avoir trouvé avec vous quelqu'un qui ne jugera pas si brusquement.PS : Je suis désolé, mon anglais est loin d'être courant, mais j'espère que vous n'aurez pas de mal à comprendre tout l'événement.((NUFORC Note : La date est approximative. PD)) J'espère que j'ai trouvé avec vous quelqu'un qui ne me jugera pas comme étant un abruti !
PS : Je suis désolé, mon anglais est loin d'être fluide, mais j'espère que vous parviendrez à le comprendre et retracer l'événement.
(Remarque NUFORC : La date est approximative PD
2001 – 2002 – PRINTEMPS – MARRAKECH
L’observation a eu lieu en 2000 ou 2001, à la fin du printemps, un vendredi soir ou un samedi soir, vers 22 h 30 - 23 h 00. Le témoin avait alors 10 ou 11 ans (aujourd’hui, en 2010 alors qu’elle dépose son témoignage, elle a 21 ans) que Mademoiselle Célia B. a vu à Marrakech, un phénomène qu’elle ne s’explique toujours pas aujourd’hui. Précisons qu’elle habite aujourd’hui Noisy-le-Grand, en banlieue parisienne. L’observation a donc été faite à partir d’une grande ville, précisément dans la rue du Bani, quartier de Guéliz à Marrakech.
Voilà 10 ans qu’elle pense à cette soirée, à ce qu’elle a observé, sans pouvoir donner une solution à ce qui a été vu dans le ciel ce soir-là.
100 Reconstitution de l'observation
Célia nous fait la description de ce qu’elle a observé :
J'étais sur le toit de mon immeuble. Ce soir-là, une coupure d'électricité avait plongé le quartier dans le noir. Avec des amis, nous pensions que c'était le moment idéal pour observer les étoiles. Nous sommes donc montés sur la terrasse qui domine une partie de Marrakech, puis nous nous sommes dispersés dans ce petit espace.
Je me suis postée en direction Nord/Nord Est. Je me suis mise à observer plus précisément trois points alignés à l'horizontale, particulièrement lumineux. Tellement lumineux que je me suis fait la réflexion que ça ne pouvait être des étoiles.
J’ai eu alors l'impression que le phénomène se sentait observé, comme débusqué. En effet, au moment même où l'idée d'une autre nature me traversa l'esprit, ces trois points "sursautèrent" et amorcèrent un mouvement. Ils avançaient vers moi (Sud, Sud /Ouest) de plus en plus rapidement et ce dans un silence absolu. Au bout d'une seconde, l’objet triangulaire (avec des points lumineux aux différents angles) s'est élevé à la verticale avant de disparaître dans le ciel à une vitesse vertigineuse. Je précise par ailleurs qu'on ne voyait pas les étoiles au travers. Je n'ai entendu aucun son mais je ressenti à ce moment-là comme un déplacement d'air. Ils avaient été là, ils ne l'étaient plus désormais et leur présence tout comme leur absence s'en ressentait.
Célia a donc observé un ou des objets, tout d’abord sous la forme de trois lumières alignées à l’horizontale, qui lui sont apparues après un déplacement des lumières, sous la forme d’un objet triangulaire avec les trois lumières aux extrémités de chaque angle. Toutefois elle ne distinguait pas nettement les contours de l’objet triangulaire. La couleur des trois lumières était blanche/jaune, similaire à celle des étoiles et elles n’ont pas varié en intensité, ni en couleur. Le ciel était clair, dégagé, il a fait du soleil durant la journée. Aucun nuage.
Ce phénomène à durée environ 10 secondes, si bien que concentrée sur l’observation de celui-ci Célia n’a pas eu le temps de prévenir ses amis. Elle est donc la seule personne à avoir observé cet Objet Volant Non Identifié. Elle n'en a parlé que dernièrement à sa sœur, sa mère et son copain. Elle a toutefois immédiatement parlé de cette observation à sa sœur, sa mère, ses amis, ils étaient étonnés par un tel phénomène et n’ont pas mis sa parole en doute.
Source : Témoignage direct de Célia B. – Archive d’Ovni Maroc
MAI 2001 – CAMPAGNE MAROCAINE – CENTRE EST.
Depuis mai dernier c.à.d. 2001 chaque nuit, je dis bien chaque nuit en temps clair; j'observe mes enfants, ma femme et moi même des lumières étranges. Je signale bien que j'habite en pleine campagne marocaine dans le centre est. Ces lumières sont tellement intrigantes qu'elles ne cessent de provoquer une sorte d'émoi chez tous les membres de ma famille. Voilà comment ça se passe. Les lumières passent dans le ciel à une vitesse régulière. Puis tout d'un coup, elles émettent des flashs de lumière vraiment aveuglants. Puis reprennent leur luminosité je dirai normale. Ce qui vraiment m'emmerde dans cette histoire c'est quand ces engins s'arrêtent en plein ciel et éteignent leurs feux. Puis parfois ces engins amorcent un atterrissage vertical sans vraiment toucher terre."
Témoignage reçu par la Fédération Française d’Ufologie. Anonymat du témoin préservé.
MAI 2002 - MARRAKECH.
Le fulgurant voyage vers Marrakech
Source : Enquête de Gérard Deforges Revue LDLN 378 août 2005 page 18
Connaissez-vous la camionnette Renault, modèle Trafic (rallongé) ? Elle est dans le cas présent puissamment propulsée par un moteur Diesel. La camionnette, en très bon état, a été rachetée à la Poste, qui ne garde pas ses véhicules jusqu'à une usure trop prononcée. Le propriétaire de ce véhicule est Michel (marié, 40 ans, 3 enfants). En mai 2002, cet habitant de la région parisienne, restaurateur à Paris, décide d'accomplir le trajet, jusqu'au sud de Marrakech, avec son véhicule, afin de revoir sa mère. Le voyage se déroule sans problème. Il prend le dernier ferry à Algesiras : il est 23 h 30. À Sebta (Ceuta), il cherche à se restaurer 2. Il est environ 2 h du matin. Voici Michel sur les routes du Maroc. Il longe la côte par l'unique grande route entre Tanger et Larache, et, après Asilah, vers les 3 h du matin, il décide logiquement d'emprunter l'autoroute à péage.
Bientôt, un point lumineux mobile dans le ciel semble se rapprocher devant lui, à l'aplomb de l'autoroute, donc vers le sud-sud-ouest. Ce point va devenir énorme, jusqu'à se présenter sous la forme d'une vaste construction empilée, d'où vont se déclencher des faisceaux lumineux.
La structure elle-même est donc un empilement de "soucoupes", dont chacune semble animé d'un mouvement d'oscillation indépendant de celui des autres. L'ensemble de la structure conserve cependant son aspect pyramidal, et les éléments semblent solidaires. Au sommet se trouve une lumière verte, fixe. En-dessous de la "soucoupe" inférieure, environ huit projecteurs, comme suspendus par d'invisibles attaches, diffusent des pinceaux de lumière aux bords nets et presque parallèles Cette lumière d'aspect gris-vert se transforme progressivement en un faisceau de lumière claire, mais non aveuglante. A un certain moment, les bords du faisceau s'élargissent en entonnoir, et sont orientés de telle manière qu'ils dessinent un unique cercle, loin devant, sur les voies de roulement du "Trafic". Pendant que l'un s'éteint, un autre s'allume, dans une espèce de code lumineux parfaitement indéchiffrable. « L'engin » demeure à 45° environ de hauteur angulaire par rapport au sol, et recule maintenant à la vitesse à laquelle le "Trafic" avance. Donc le véhicule reste à distance constante du cercle aux bords nets. Les faisceaux se mêlant à proximité du sol semblent additionner leurs pouvoirs éclairants, à l'intérieur de l'espace éclairé.
Le conducteur, très troublé par cette vision, est pris par un sentiment de curiosité mêlé de crainte. Il veut rattraper ce cercle qui reste calé sur les voies de l'autoroute. Il accélère, et pousse à fond le moteur, atteignant 130 km/h. Malgré cela, la "chose", ses projecteurs, le rond de lumière, restent à la même distance du "Trafic".
Tout à coup, changement de programme : le cercle de lumière, restant calé sur la même voie de circulation, s'avance vers le véhicule qui, d'un coup, va entrer dans le champ lumineux. A ce moment, Michel a un bref instant de panique. Il se trouve basculé dans un état de conscience différent.
Quelques secondes après, il est saisi par une grande sérénité. Il ressent physiquement une sensation de bien-être, il a l'impression de flotter. Il va essayer de concentrer son attention sur son "Trafic" il va tenter d'appuyer sur l'accélérateur. Il a l’impression que le moteur tourne au ralenti, et il ne peut rien faire., Il va diriger ses mains vers le volant, et s'aperçoit qu'il ne le tient plus ; il va sentir que ses doigts passent au travers de ce volant qui est devenu comme immatériel, qu'il peut allonger toute sa main "à travers"... Il ne perçoit aucune sensation tactile, mais son esprit est très clair.
Il m'affirme ne s'être jamais trouvé dans un état pareil. Il sentait que les roues de sa camionnette ne touchaient plus le sol, qu'elle flottait et que le sol, sous lui, défilait à très grande vitesse. Il se souvient d'avoir survolé une ville, qui défila très rapidement.
Michel reprend contact avec la réalité de tous les jours. Son véhicule se trouve sur un petit chemin de terre. Il regarde sa montre, machinalement. Vingt minutes environ se sont écoulées depuis le moment de l'étrange vision. Très décontenancé, il sort du chemin de terre (légèrement à l'est de la bourgade de Tahannaout, au sud de... Marrakech !). Il rejoint rapidement une route qui mène au Haut Atlas, distante d'environ 500 km, à vol d'oiseau, de l'endroit de l'autoroute où le phénomène s'est manifesté.
Comment va-t-il savoir cela, et si rapidement ? Tout simplement, il est en vue d'une station-service Texaco, et il va demander à faire le plein. Là, il va s'apercevoir de deux choses : le véhicule n'a pas consommé de carburant, et Michel a toujours sur lui son ticket d'entrée de l'autoroute
En examinant de plus près son "Trafic", Michel apercevra une déformation sur la tôle d'une portière, avec une chaleur résiduelle à cet endroit, ainsi qu'un aspect pâteux du métal, déformable comme du chewing gum, à cet emplacement. (Il fera réparer cette anomalie par un garagiste local.)
Le peu de carburant qu'il va verser dans le réservoir, il va le régler avec sa carte bleue. Et il a décidé de garder ces documents, me dit-il...
Il se trouve que la destination finale de Michel est précisément dans le secteur où le phénomène l'a propulsé. Il arrive donc très tôt chez sa mère, à qui il ne parlera jamais de son aventure. De même, il gardera son secret vis-à-vis de sa femme et de ses enfants. Je suis la seule personne dépositaire de son témoignage, après qu'il eut quand même l'idée d'appeler la radio « Ici et Maintenant », lors de son émission du mardi soir consacrée aux ovnis. Michel me dit qu'il ne sait pas pourquoi il me confie tout cela, et qu'il ne faut pas que je m'étonne, s'il refuse un jour de me revoir. Il me promet toutefois de me confier les originaux de ces fameux justificatifs "papier" : ticket d'autoroute et ticket de paiement par carte bleue. D'incroyables preuves, ces originaux, insiste-t-il...
Mais pour l'instant, après la deuxième entrevue que m'a accordée le témoin (pour relire et corriger le présent rapport et l'illustration que j'ai réalisée d'après ses descriptions), Michel est tellement bouleversé qu'il me demande instamment de lui laisser le temps d'assimiler tout cela. Une « voix » lui suggérerait même de ne pas me remettre ces documents...
Deux ans après, cette expérience reste présente dans son esprit chaque jour. Le rapport que j'ai rédigé l'amène à me dire qu'il a l'impression que j'étais dans la camionnette avec lui, tant ce récit lui parait fidèle.
Michel n'a rien changé dans son mode de vie mais il a connu des problèmes de santé, engendrés par un déséquilibre hormonal. Il a grossi de 17 kg ; et a dû être opéré d'une gynécomastie. Le choc émotionnel résiduel a provoqué des trous de mémoire ponctuels et incompréhensibles pour lui ; il s'est débarrassé de son téléphone portable, car les communications avec cet appareil provoquaient de douloureux élancements autour de la tempe et des yeux. Son temps de récupération par le sommeil a beaucoup diminué, mais il fait preuve d'une résistance à la fatigue qu'il ne connaissait pas avant l'événement (actuellement, il accomplit le travail de deux personnes absentes).
Au niveau psychologique, il dit bénéficier d'un esprit de déduction qu'il n'avait pas auparavant. Il affirme identifier très facilement ce que cache un discours, le vrai et le faux, la sincérité et le mensonge. De plus, il dit avoir une faculté d'anticipation qu'il ne connaissait pas auparavant. Cela lui a servi dans {es jeux de hasard : un jour, en jouant au Rapido (sorte de loterie quasi instantanée que l'on trouve dans les cafés-bars), alors qu'il restait peu de temps pour compléter une grille, il « vit » des numéros qu'il inscrivit à la hâte. Tous ces numéros sortirent au tirage, et Michel empocha une jolie somme d'argent.
Depuis son expérience, le développement intellectuel et scolaire de ses enfants s'est accéléré, et tous trois paraissent avoir des performances très supérieures à la moyenne de leur âge. L'aîné, après avoir suivi sa scolarité en première année d'école primaire, a été proposé pour entrer directement en troisième année, à la rentrée suivante.
Pour conclure notre premier entretien qui eut lieu à Paris le 6 juillet 2004, Michel me signala qu'étant sur place, au Maroc, il eut l'envie de mener sa propre enquête sur les « on-dit » de la région pouvant avoir un rapport avec ce qu'il venait de vivre, et voici ce qu'il apprit :
La région de Marrakech serait riche d'histoires du genre de la sienne. En particulier une région délimitée grosso modo au nord par la bourgade de Sidi-Bennour, à l'est Ben Guérir, au sud par l'oued Tensift, à l'ouest par la route qui mène de Sidi-Bennour à Chemaia. A l'ouest de cette zone, il m'est signalé une région que les militaires français auraient quittée, vers 1940, en prenant certaines précautions. Il faudrait s'intéresser de très près à une colline dont les militaires auraient dynamité plusieurs entrées secrètes.
Cette colline à un aspect pyramidal très marqué, et autour d'elle circuleraient bien des histoires étranges. Il s'agit d'un endroit appelé « la Colline des Portugais », ou encore « Colline des Français ». Il fut rapporté, lors de son enquête, qu'une vingtaine d'hommes vivraient dans cette région, ayant de véritables pouvoirs de type chamanique. Ils seraient en étroite relation avec les Djinns. Leurs épouses seraient ces entités d'origine non humaine. Non seulement ils seraient des pratiquants réguliers des voyages astraux, mais l'expérience vécue par Michel leur serait extrêmement familière...
N'attendons plus le ticket d'autoroute...
Gérard Deforges a rédigé ce rapport au cours du second semestre 2004. Son dernier contact téléphonique avec le narrateur a mis fin à tout espoir d'obtenir un jour les deux papiers pourtant promis. Michel lui a reproché (assez abruptement) son insistance en vue d'obtenir ces "preuves", et lui a clairement dit qu'il ne voulait plus se prêter à l'enquête.
C'est un triste aboutissement, qui n'est hélas pas exceptionnel, et qui interdit toute conclusion. On peut toutefois faire deux remarques : l') Ce genre de déconvenue peut toujours se produire en ufologie. Ce sont les risques du métier ! Un témoignage n'est pas toujours un trésor. 2°) Une grande abondance de détails, dans un récit, n'est généralement pas un indice de véracité. Elle doit plutôt éveiller notre méfiance.
Joël Ménard
NOTE DES RENCONTRES UFOLOGIQUES MARRACKCHIES.
A la demande de Gérard Deforges, je me suis rendu dans le secteur présumé ou habiterait la mère du témoin. Il se trouve que c’est à quelques kilomètres de chez moi. Nous n’avons pas retrouvé trace de la station d'essence en question, qui de toute façon dans ce secteur n’accepte pas les paiements par carte bancaire. Il en est de même pour les garagistes, essentiellement des « bricoleurs » par contre incroyablement adroit de leurs mains.
Le témoin a rompu toutes relations sachant que qu’on enquêtait sur le terrain et sur son aventure. Nous devons donc prendre avec un maximum de précaution ce récit qui nous semble tout à fait inexact.
09 AOUT 2002 - CASABLANCA
C’est arrivé à un voisin à moi. Il a 16 ans et psychologiquement parlant il est tout à fait normal par rapport à ses semblables.
Donc, cela est survenu la nuit du vendredi 9.8.2002.
Il était allongé sur son dos, sur le toit de sa maison, en train de regarder le ciel qui n'était pas très clair. Soudain il voit des lumières étranges surgir d'un nuage. En fait, c'était le reflet de plusieurs projecteurs qui projettent leurs lumières par-dessus les nuages. Ces lumières avaient une forme circulaire. On dirait un jeu de lumières dans une discothèque, et ça ne ressemble certainement pas aux projecteurs d'un avion de chasse ni civil.
Qu'en pensez-vous chers messieurs !!?
Mohamed (Casablanca - Maroc)
Information du GREPI – témoignage recueilli sur son site
15 SEPTEMBRE 2002 – KHEMISSET
Je tiens à vous soumettre le témoignage ci-après, intéressant, qui m’est parvenu il y a quelques jours :
Dans la nuit du 15 septembre 2002, Mr xxx 47 ans infirmier, son fils yyy 23 ans accompagnaient leur belle-sœur zzzz 35 ans à son domicile (celui de la belle-sœur), à pieds, après une soirée de célébration d’un mariage dans la région de Khemisset (qui se situe à 70 km de Rabat et 40 km de Meknès).
Cela se passait vers 03h00 et 04h00 du matin.
Le ciel était couvert d’une épaisse couche de nuages bas qui prenaient une couleur orangée compte tenu de quasi pleine lune qui régnait ce soir-là.
A mi-chemin, les 3 témoins entendent un bruit qui ressemble relativement à celui d’un hélicoptère mais avec des nuances beaucoup plus aiguës qui ressemblent à celle de turbines des réacteurs d’avion, ce bruit semblait se produire juste au-dessus de l’endroit où ils se trouvaient et compte tenu de son intensité du bruit l’objet qui l’émettait serait sans doute à très faible altitude.
Surpris, ils commencent à se demander d’où parvenait ce bruit sachant qu’ils ne voyaient aucune lumière ni aucun engin volant conventionnel (avion, hélicoptère…) à travers les nuages, de plus l’objet qui émettait ce bruit semble stationnaire et l’intensité du bruit n’a pas faibli ce qui écarte l’hypothèse d’un avion ou d’un hélicoptère.
De même l’hypothèse d’un hélicoptère ou d’un avion était écartée par les 3 témoins car le bruit s’est déclenché d’une façon soudaine alors que s’il s’agissait d’un avion ou d’un hélicoptère, ils l’auraient entendu s’approcher et s’éloigner (l’intensité de bruit ne serait pas constante dans ce cas-là).
Ce ronronnement qui durait environ 2 min a soudainement disparu. Les 3 témoins continuent leur chemin comme si rien n’était, soudainement un objet (dont la forme exacte ne peut pas être distinguée) traversant le ciel à toute en dans la direction nord-ouest et émettant une intense lumière blanche visible à travers l’épaisse couche de nuage attirent leur attention. Ce phénomène ne durera que quelques secondes.
Affolés, ils se rendent à la brigade de gendarmerie qui se trouve à proximité du domicile de zzz. Les gendarmes de permanence cette nuit-là auraient également entendu ce bruit et n’ont pas caché leur étonnement de la nature du bruit et de leur surprise car d’habitude la brigade est prévenue de tout vol ou manœuvre d’entraînement de l’armée de l’air qui d’une part ne se déroulent pas à cette période de l’année et d’autre part même en temps normal ne survolerait pas la ville à une altitude aussi basse. Toutefois les gendarmes n’ont pas observé l’objet lumineux.
Plusieurs autres témoins présents dans les rues de la ville ce soir-là ont entendu le même bruit.
L’information n’a été reprise par aucun média national. Néanmoins ce phénomène a été le sujet de discussion des habitants de la ville pendant plusieurs jours.
Source : Témoignage relevé par Reda. Conservé dans les archives d’Ovni Maroc
23 FEVRIER 2003 - AGADIR
Bonsoir,
J'ai beaucoup hésité avant de témoigner. J'ai cherché à retrouver l'image du vaisseau que j'ai vu en date du 23 février 2003 (vers 02h00 du matin). Je me trouvais à l'hôtel Tikida Beach à Agadir (Maroc). J'occupais avec mon ami un duplex avec vue sur mer.
On se trouvait donc en haut du duplex, j'étais assise sur un canapé à écouter l'ami parler quant à un moment j'ai senti sur ma gauche à l'extérieur (il y avait une fenêtre) quelque chose passer, je me suis vite retournée et j'ai vu quelque chose passer de couleur bronze. Je me suis dit à ce moment précis "tu délire" ça ne peut être juste qu'une illusion. Pendant que je réfléchissais à ça, quelques secondes plus tard, un engin passe devant nous, à l'extérieur, au-dessus de la plage, silencieux, de la taille d'un sous-marin et de couleur bronze, avec plein de petits hublots de couleur orange (certainement de la lumière). Il était immense et silencieux. On était à environ 100 m de la plage. Mon ami m'a regardé, surpris, et je lui ai dit "t'inquiètes pas, c'est un vaisseau spatial", on s'est vite levés et sortis sur le balcon mais le vaisseau avait subitement disparu. Je me souviens très bien que je trouvais ça normal, j'ai dit à mon ami, il va repasser... mon ami, surpris, a allumé son appareil à photo numérique et on a attendu. Le vaisseau n'est jamais repassé. Dommage...
J'ai essayé de retrouver une photo ressemblant sur le web de ce vaisseau qui était très près du rivage mais sans succès. Si une personne a pu voir la même chose, prière de me contacter (grepi@ovni.ch - nous transmettrons). Je suis curieuse de savoir s'il existe une autre forme de vaisseau que ceux pris en photo. Je suis maintenant certaine que d'autres êtres vivent parmi nous.
Karima (Genève - Suisse)
Source GREPI
01 MAI 2003 – TANGER
Observation d'OVNI NUFORC 187888
Survenu le : 2003-05-01 23:00 Local - Approximatif
Date : 2025-02-22 16:56 Pacifique
Durée : Maroc
Nombre d'observateurs : 1
Lieu : Tanger, Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Maroc
Coordonnées géographiques : Maison familiale
Forme : Cercle
Couleur : Blanc/gris
Taille estimée : N/A
Vu de : Terre
Direction du spectateur : N/a
Angle d'élévation : 45
Distance la plus proche : N/A
Vitesse estimée : Si rapide qu'elle a tout simplement disparu
Caractéristiques : Lumières sur l'objet
Quand j'étais jeune, j'ai vu un vaisseau spatial extraterrestre alors que j'étais seul au dernier étage de ma maison familiale au Maroc quand j'ai dit à mon frère qu'il s'était mis à rire en disant que j'avais regardé trop de dessins animés, mais maintenant j'ai 31 ans, je sais ce que j'ai vu et je le vis au jour le jour, même à ce moment-là, quand je le dis à quelqu'un, personne ne me prend au sérieux, alors je allez-y car ce n'est qu'une blague, mais ce que j'ai vu, c'est un vaisseau spatial extraterrestre qui s'est arrêté pendant un moment puis a simplement disparu comme s'il n'avait jamais été là
En ligne 2025-02-28
Source NUFOC USA
2004.2005 RABAT/SALE
Il y a trois ou quatre ans, avec un ami, nous avons été témoin de l’observation d’un OVNI. Il était 20 h30 / 21 h 00, une nuit d’été, nous venions de terminer un match de foot, nous étions fatigués. Tout d’un coup nous apercevons une boule lumineuse très haute dans le ciel, elle avait la forme d’une étoile et elle se déplaçait en faisant des Zig-Zag dans le ciel, ceci à une très grande vitesse. Elle se déplaçait de gauche à droite, après elle descend, elle remonte, s’arrête parfois. Nous étions étonnés, nous nous retournons pour appeler les amis, et derrière on voit alors une autre boule, très grande, de la taille de la lune, éloignée et qui tombe du ciel vers la mer.
Monsieur Yassine D. âgé de 22 ans, Étudiant nous communique quelques informations complémentaires. L’observation est ancienne, si ce cas l’a étonné, il n’a toutefois rien noté et il n’avait à cette époque aucune information sur qui s’occupait de ce phénomène au Maroc. C’est donc à la suite de la lecture de notre appel sur un forum Sur Internet qu’il nous contacte en Octobre 2008 afin de nous raconter cette observation.
L’observation a eu lieu à partir de Salé, à côté de Rabat (Maroc) donc dans une localité habitée, mais sans autre témoin semble-t-il. L’information ne passe pas, il faut aussi le signaler. La durée du phénomène est de l’ordre de 30 secondes environ. C’est donc assez rapide, similaire pratiquement à celle d’une étoile filante, mais qui n’avait absolument pas une trajectoire rectiligne. Au contraire, l’objet à monter dans l’espace, descendu, s’est déplacé sur la droite, est revenu, s’est déplacé sur la gauche, en zigzag en quelque sorte, etc…. Un mouvement rapide vraiment anormal. La boule d’une grosseur apparente d’une étoile était visible au Sud, l’autre boule, que nous avons observé quelques secondes après la première, en nous retournant pour appeler les amis, était d’une grosseur similaire à la pleine lune, et se localisait dans la direction du Nord. Le témoin estime la hauteur angulaire de la boule qui se déplaçait en Zigzag à 60°, tandis que la seconde, grosseur de la pleine lune, se situait à environ 30° de hauteur apparente. Il est à noter que la lune n’était pas visible ce soir-là. La couleur est similaire à celle d’une étoile, soit Blanche/jaunâtre et elle n’a pas changée. Au niveau de la distance, difficile de l’estimer, mais en tout état de cause le premier était plus loin que la seconde. Aucun bruit lors de l’observation, mais par contre, dès que la seconde boule est tombée dans la mer, nous avons entendu un bruit, similaire à ce que fait la mer, mais très amplifié. Dans le ciel, aucun nuage, il faisait chaud, le ciel clair, c’était une belle soirée d’été.
Durant l’observation nous avons criée « whaaa » car nous avons vraiment été étonnés par ce spectacle inhabituel. Nous étions donc deux témoins à observer ce phénomène, nos amis, discutant, n’ont pas fait attention à ce qui se passait dans l’espace.
Source : témoignage direct conservé dans les archives d’Ovni Maroc Marrakech.
01ER MARS 2004 : AL HOCEIMA
L'avion transportant le ministre de la Communication à destination d'Al Hoceima (Nord du Maroc) a été heurté par un objet (volant puisque dans les airs) non identifié, jeudi dernier. Le pare-brise du cockpit s'est brisé. L'appareil a dû atterrir en catastrophe à Fès où le ministre a pris un autre avion.
Source : l’Économiste.
Ce fait divers est mentionné ici uniquement pour son étrangeté, son rapport avec le dossier ovni. Toutefois, il arrive de temps à autre que des objets, tout à fait identifiables, heurtent et cassent un pare-brise du cockpit. Ici, l’ovni peut facilement être identifié, après une enquête. L’information ne nous en dit pas plus, rien d’autre n’a été publié et nous ne savons donc pas l’origine de ce fait, qui n’a certainement rien à voir avec un ovni !
JUIN 2004 – NADOR
Nador observation Sources Albert Rosales
Birmingham UFO Group Report
Author: Dave Hodrien
Release Date: 13/05/2012
Introduction
Soufian vit dans une ville appelée Helden dans les Pays-Bas. Il s'est d'abord mis en contact avec BUFOG fin mars 2012. Il a éprouvé beaucoup de choses inhabituelles au cours des années, dont la plupart a commencé à son adolescence. Ces expériences ont inclus des visites par des êtres, des enlèvements, des capacités psychiques, des rêves vifs inhabituels et d'autres phénomènes étranges. Après l'étude l'ET le sujet de contact, Soufian a réalisé la mesure à lequel ses expériences adaptées avec cela. Il a décidé d'acheter et lire le Réveil - le livre excellent sur le contact par l'Australien ET contacter le spécialiste Mary Rodwell et constaté qu'il pourrait toucher beaucoup de ce qu'a été mentionné. Après initialement l'entrée en contact avec Mary, il a alors rencontré par hasard BUFOG en raison de ma propre enquête dans le sujet. Sur beaucoup de Courriers électroniques il a fourni quelques informations excellentes sur ses expériences, aussi bien que beaucoup de dessins qui sont dispersés partout dans ce rapport.
Le Maroc en Visite (vacances)
En juin 2004 quand Soufian avait 19 ans il est allé avec sa famille en vacances à leur maison dans Al Aâroui, Nador, le Maroc. La maison est assez grande pour Soufian pour avoir sa propre chambre à coucher. Ses deux sœurs ont partagé une deuxième chambre à coucher et dans le tiers(troisième) étaient ses parents et petit frère. L'incident est arrivé en deuxième semaine de leur séjour. C'était le temps particulièrement chaud, trop chaud pour se trouver sur le lit près du mur. Soufian avait posé (fixé) son matelas sur le plancher (l'étage) et prenait la nuit pour réfléchir près de l'embrasure ouverte de la pièce (chambre). Les fenêtres ont été aussi laissées (quittées) ouvertes pour refroidir en bas la pièce (chambre) autant que possible. Soufian et sa famille s'est endormi de 10.30-11.00 pm.
À un certain point pendant la nuit Soufian a commencé à éprouver ce qu'il a posé (inscrit, dénigré) à l'époque à un cauchemar. Il se couchait sur le matelas de ses yeux ouverts. Il n'a pas été sûr quel le temps de nuit il était. La pièce (chambre) était tout à fait sombre, mais a été partiellement allumée (éclairée) par le clair de lune entrant par les volets (obturateurs) ouverts. Il a examiné l'embrasure de sa pièce (chambre) à la porte de sa chambre à coucher de parents. Il la position y avait dans l'embrasure de la porte un étrange étant, qui lui semblait bien. L'étant était autour de 1.5 mètres de haut. C'était humanoïde en forme. Il a semblé être dévêtu. Son corps (organisme) a semblé être couvert dans une fourrure soyeuse colorée brun clair. Cette fourrure a prolongé (étendu) le droit en bas sur ses mains. Aucun doigt n'était visible. La créature avait les grands yeux colorés noirs arrondis que Soufian décrit comme "sans vie et sans une âme". Il avait de très petites narines et son nez n'a pas été très prononcé. Sa bouche était ouverte, exposant des dents colorées pâles-blanches pointues. Aucune oreille n'était visible du front. Étrangement bien qu'il ait une vue claire de la créature, Soufian ne se rappelle pas voir n'importe quels pieds.
Après qu'un moment l'étant a commencé à se déplacer vers Soufian. Il a semblé lancer une distance courte au-dessus du plancher (de l'étage). Ses bras (armes) et jambes accrochées en bas et ne se sont pas balancés dans les deux sens. Soufian a commencé à s'affoler comme l'étant rapproché à lui. Alors un par un, les fenêtres dans la pièce (chambre) ont commencé à claquer et se fermer extrêmement violemment. À ce moment Soufian a bondi du matelas et a passé en courant dans la salle de bains, fermant la porte derrière lui. Comme il a fait ainsi il a estimé que l'étant poursuivait après lui. Bien qu'il ait ressemblé à un mauvais rêve, il était maintenant certainement éveillé et très effrayé.
Soufian est resté dans la salle de bains pour jusqu'à 15 minutes (procès-verbal). Il a été choqué par ce qui était arrivé et très le renversement (bouleversement). Il n'a pas appelé aux autres dans la maison comme il n'a pas pensé qu'ils le croiraient ainsi il n'y avait aucune raison. Après ce temps il a prudemment fait sa voie en arrière de la chambre à coucher. L'étant ne devait ne nulle part être vu, mais Soufian pourrait voir que les volets (obturateurs) ont été presque fermés, tandis que quand il s'était endormi ils étaient certainement ouverts. Il pose (fixe) sur le matelas de nouveau mais était toujours effrayé et ne pouvait pas dormir longtemps. À la fin il a finalement baissé.
Le matin sans dire quoi que ce soit à elle, la mère de Soufian a déclaré qu'elle l'avait entendu des cris pendant la nuit. Elle a supposé que ceci était un mauvais rêve qui est pourquoi elle ne s'est pas levée et passe à sa pièce (chambre). Soufian ne lui a pas dit que de ce qui était arrivé. Après quelque temps il posé (inscrit, dénigré) cela à un rêve, malgré la voie dont les volets (obturateurs) ont été maintenant presque fermés. Cependant regardant maintenant derrière soi à l'expérience il croit que ceci était un ET la visite.
Ceci est certainement une expérience intéressante. Soufian pourrait-il avoir vraiment été visité par un ET pendant cette nuit ? Les certaines caractéristiques se faisant avoir qui vont dans avec une de l'espèce le plus généralement rapportée, les Gris ; le corps (l'organisme) mince, les grands yeux colorés noirs, petit nez et hauteur courte. Cependant il y a d'autres caractéristiques qui sont très inhabituelles et ne vont pas avec cela étant un Gris. Le fait qu'il a été couvert dans une fourrure soyeuse est très inhabituel. Bien que les êtres couverts de fourrure aient été décrits avant qu'ils ne soient tout à fait rares. Les dents pointues aiguisées sont de nouveau rares et donnent très « animalistic » la présence à la créature. Il a semblé flotter vers lui plutôt que la promenade. Ceci combiné avec les fenêtres claquantes suggère que l'étant possédé des pouvoirs télékinétiques, qui signifient à son tour cela n'aillent pas probablement avoir été un animal sauvage d'une certaine sorte.
Source : Nador observation Sources Albert Rosales - Traduction J.M. - Maroc - Communiqué par Birmingham UFO Group Report
Author : Dave Hodrien
Release Date : 13/05/2012
17 JUIN 2004 - GOULMINE
Le mardi 17 juin 2004, j'étais chez mon oncle à Goulimine (Sahara du Maroc), alors j'ai décidé de faire un petit tour dans le désert avec mon oncle, quand tout à coup on a observé un objet volant très bizarre qui volait avec une très grande vitesse. Quand on a vu cet objet, il était un peu près de nous... alors mon oncle est resté sans bouger car il n'avait jamais vu une chose pareille... mais dans un clin d’œil cet objet a volé avec une vitesse incroyable...
Information : deux policiers de la route ont raconté la même histoire...
Merci.
Ismail (Casablanca - Maroc)
Source GREPI
AOUT 2005 – PLAGE DE SAIDIA
Je viens de m’inscrire sur ce site car je crois avoir un ovni. C’était durant mes vacances au Maroc sur une plage. La plage s’appelle Saidia, en août 2005, elle se trouve sur la méditerranée. C’était un soir, j’étais avec mon copain sur la plage, seule avec lui. Il faisait noir et j’ai vu dans le ciel un appareil en forme de triangle avec trois lumières à chaque angle. L’appareil volait très, très lentement, ce qui m’a marqué. Puis il a pris de la vitesse et ensuite il s’est arrêté pour ensuite tomber dans la mer. Je vous jure, c’était incroyable, mon copain m’a persuadé que ce n’était qu’un avion de l’armée, mais impossible à cause de la vitesse, de la forme, des lumières…. J’ai vu l’émission « ovni quand l’armée enquête ». Je n’ai entendu aucun bruit. Le plus étrange est que le lendemain, nous sommes revenus au même endroit et à l’horizon, il y avait plein de bateaux, juste à cet endroit précis. Bizarre non ?
Source : Témoignage de Samy – Forum Le Mystère des Ovnis
10 AOUT 2005 - METEORITE OU « OVNI ECRASE AU SOL » - REGION D’ERFOUD.
Par : ikko - Mehdi MSADDEQ Envoyé Spécial
De notre envoyé spécial : Une histoire d’OVNI ?! Ou de Météorite ?!
Vendredi à 06h49 du matin, je reçois un appel d’un vieil ami, il m’appelle pour me faire part d’une nouvelle assez troublante... d’après lui une Météorite se serait écrasée au sud de « Arfoud » à 04h06, c’est-à-dire à peu près 02h30 auparavant. J’essaie d’en savoir plus, mais pas moyen, je décide alors, après bon nombre de coups de fil, d’aller sur place pour voir ce qui se passe.
Un vol à destination de Marrakech pour ne pas trop perdre de temps à 18h00, arrivé là-bas, un ami m’attend pour me conduire à Arfoud. Presque arrivé, on remarque déjà quelques véhicules militaires, rien d’assez extraordinaire, cette zone c’est est près du Sahara, et la présence de militaire est tout à fait normale.
00h32 je mets pied à Arfoud, un silence de cimetière règne dans la ville, pas l’ombre d’une personne, sauf une, S. Mohammed, le guide et chauffeur du 4x4 qui me sera indispensable pour aller à la zone dite. J’essaye de le convaincre d’y aller à cette heure tardive de la nuit, mais sans façon, le départ se fera au petit matin.
04h00 la lumière du jour se fait déjà visible, et moi tout excité par ce que je vais voir, ne trouve pas le sommeil de toute la nuit. Le 4x4 chargé, plein d’essence, de l’eau, quelques provisions, et une trousse de premiers secours. On avance pendant 1h30 sur une piste, ensuite plus rien, que des dunes, plus de paysage, tout se ressemble. À partir de cet instant, la chaleur commence à se faire sentir de plus en plus, et l’eau coule à flot pour essayer de m’apaiser. On roule depuis 05h00 déjà et je commence à m’inquiéter : se serait-il trompé de chemin ? Serions-nous perdus ? J’hésitai longuement avant de poser cette question à Mohammed, mais au moment où j’allais le faire, j’aperçus quelques bâtiments, pas tout à fait des bâtiments, mais des habitations. Enfin, on arrive à notre Check Point, « Itoug Zegra » un village de nulle part, complètement perdu, coupé du monde, à le voir, je m’étais projeté 50 ans en arrière, je ne pouvais pas imaginer qu’un tel village puisse exister encore ?!! C’était invraisemblablement bel et bien réel.
On rentre dans une des habitations, invités par un citadin qui apparemment s’attendait à notre visite, Mohammed me fait comprendre que les gens du village parlent Hassani, un dialecte saharien, cela ressemblait beaucoup au Berbère. Il faisait 46° à l’ombre, un peu moins à l’intérieur des habitations, vu leurs constructions, c’était assez frais. Je presse mon guide pour qu’on reprenne route, je sentais la tension monter de plus en plus qu’on s’approchait dudit endroit.
Soudain... je fus surpris de voir une clôture flambante neuve barrer la route ?!!! Où étions-nous ?!! Nous serions-nous trompés de route ?!! Je demande à Mohammed de longer la clôture, en espérant trouver un portail. Et là je vis des militaires, non Marocains, c’était clair, je les reconnais sous leurs tuniques beiges et leurs équipements, c’était des GI’s. Mais que faisaient-ils dans ce coin perdu de la terre ??!!
Arrivés devant une barrière d’accès, un militaire, un Marocain cette fois-ci, s’approche de la vitre, je me présente à lui, et lui dis la raison de ma présence, il me fixe, et me dit : « Petit, tu n’as rien à faire ici » prend mon guide et lui parle en un langage que je ne déchiffre pas. Mohammed remonte aussitôt dans la voiture et rebrousse chemin, je l’arrête : « il est hors de question de revenir sans en savoir plus » lui dis-je. Il me dit que si je voulais rester, qu’il ne m’empêchera pas, mais que je devais le faire sans compter sur lui, il était quasiment impossible pour moi de survivre dans des conditions aussi extrêmes, seul, sans personne qui s’y connaît avec moi. Je lui demandai de m’attendre une demi-heure de plus. Mon appareil photo avec la chaleur qu’il faisait, ne fonctionnait plus. De plus, dès que je le pris, le militaire me dit d’une voix assez persuasive qu’il est interdit de prendre des photos. Je le savais déjà, mais j’aurais essayé quand même. Je sortis mon portable pour essayer d’appeler une personne qui pouvait me renseigner sur la situation dans ce secteur... Surprise ! La barre du réseau est bien là, mais impossible d’effectuer des appels.
Quelques minutes passées, deux 4x4 de touristes se font voir, des Anglais, j’en profite pour leur parler un peu, ils avaient passé la nuit dans le secteur, je leur ai demandé s’ils n’avaient pas vu ou entendu quelque chose la soirée du vendredi. Ils étaient plus loin selon eux, donc rien vu, ni entendu quoi que ce soit. J’étais déçu d’avoir fait tout ce chemin pour ne rien voir, rien entendre, et surtout ne rien savoir. Mais une voix au fond de moi me disait que quelque chose était là. Mes questions étaient toutes ignorées par les gardes militaires. Je me disais que si des GI’s étaient là, ce n’était sûrement pas pour une aide humanitaire, il y avait bel et bien quelque chose. Mais la question était « Quoi » ??!!
Je me pris en photo avec les touristes, et leur demanda de bien vouloir m’envoyer mes photos par mail à la première occasion. Je ne pouvais pas rester plus longtemps sur le site, je repris aussitôt la route du retour. Mais à ma surprise, à quelques kilomètres, mon tel sonne, un ami qui voulait avoir de mes nouvelles, et qui me demanda la raison pour laquelle j’avais éteint mon GSM. Il n’était pas éteint mon GSM... je fus troublé par cette découverte !!! Une chose est sure, il y avait bien quelque chose, mais quoi ?! Personne ne sait !!! Y a-t-il vraiment quelque chose ? Une météorite ou peut être un OVNI ? Qui sait ? Où c’est juste le soleil et la chaleur torride qui m’ont joué des tours... affaire à suivre.
Le black-out a bien été gardé sur ce dossier. On n’entendra jamais parler de cet objet qui s’est écrasé au sol et qui a mobilisé en quelques heures, autant de moyen. Ovni, comme dans l’affaire de Roswell, mais ici nous sommes en terrain propice au secret. Rien ne sortira. Pour les américains, nous n’avons rien vu, quant aux Marocains, nous ne sommes pas concernés et pas au courant. Une bien étrange affaire ou les américains, qui ont maîtrisé le problème, sont aux abonnés absents.
29 JANVIER 2006 – TETOUAN
Je vis au Maroc, plus précisément à Tétouan. Le dimanche dernier (témoignage reçu le mardi 31 janvier 2006 - GREPI), j'ai vu un truc vraiment bizarre, un machin volant, ovale, derrière lui de la poudre fluorescente. Depuis je ne fais que des cauchemars, j'ai consulté un psy. Svp aidez-moi, merci.
Anonyme (Maroc) - Site du GREPI à Genêve
L’OVNI DU 15 AVRIL 2006
Débris d’un satellite Russe. Observé dans plusieurs villes du Maroc.
6 Mai 2006 - Par CRUCRAS
Les boules de feu (fireball) observées dans le ciel de plusieurs villes.
De dangereux déchets qui tombent du ciel
Le samedi 15 avril 2006 vers 20h50, une boule de feu (fireball) a été observée dans le ciel de plusieurs villes et localités du Maroc, empruntant une trajectoire du Sud vers le Nord. Le spectacle a attiré l’attention d’un grand nombre de personnes.
Devant l’importance de ce phénomène et pour avoir une information complète quand à une éventuelle chute de météorite sur le territoire marocain, le département de géologie, Faculté des sciences, Université Hassan II Aïn Chok a lancé un appel à témoignage pour savoir si quelqu’un aurait pu filmer ou photographier cette boule de feu (cf. nos éditions du 21 et 24 avril).
Par la suite, le quotidien Ahdhat al Maghribia, dans son édition du 1er mai, a publié un article faisant état de l’observation d’une vingtaine de boules de feu, samedi dernier, dans le ciel de Ghafsaï (province de Taounat) ainsi qu’à Fès. Selon cet article, ces corps lumineux évoluaient à basse altitude et ont provoqué la panique parmi la population de ces régions qui s’est interrogée sur leur nature. Parmi les explications avancées, on a parlé aussi bien de météorites que de feux d’artifice, de phénomènes extranaturels et d’objets volants non identifiés (OVNI) pilotés par des extraterrestres venus en exploration de la Terre.
Interrogée sur le résultat de l’appel à témoin qu’elle a lancé et les informations rapportées par Ahdhat al Maghribia, le Pr Hasnaa Chennaoui Aoudjehane, responsable du département de géologie de la Faculté des sciences de Aïn Chok, spécialiste dans les météorites, a précisé qu’il s’agit du même phénomène observé dans la nuit du samedi 15 avril. L’horaire et les objets décrits ainsi que leur trajectoire sont bien concordants. Seule la date n’a pas été précisée par le quotidien qui a publié l’article avec deux semaines de retard.
Quant à la nature des corps lumineux, en l’absence au Maroc d’un observatoire spécialisé qui mettrait à disposition des chercheurs l’information nécessaire, la réponse à cette question a été trouvée auprès du réseau espagnol SPMN qui étudie la matière interplanétaire et qui regroupe des chercheurs de plusieurs universités et centres de recherches de ce pays. On la retrouve aussi auprès de l’Aerospace Center for Orbital and Reentry Debris Studies (ACORDS), centre américain dédié aux études relatives aux débris spatiaux en orbite autour de la terre.
D’après les informations fournies par ces entités, les corps lumineux observés le 15 avril, aussi bien dans le ciel marocain que du côté de l’Andalousie en Espagne, n’étaient ni des OVNI ni des météorites mais les débris d’un satellite qui s’est désagrégée en rentrant dans l’atmosphère terrestre. Il s’agit d’un satellite russe, Sich-1 qui avait été lancé, le 24 décembre 2004, à partir du Cosmodrome de Plesetsk, situé à environ 800 kilomètres au Nord de Moscou. Son entrée dans l’atmosphère était prévue à 20h43 UTC (temps atomique international), avec une marge d’erreur de 45 minutes, et sa trajectoire ainsi que son point de chute étaient également plus ou moins définis. Seulement, les chercheurs marocains n’étaient pas au courant.
Mais que vient faire au Maroc un satellite russe et quels risques représentait sa chute ? La question mérite d’être posée. De nos jours, les satellites artificiels modifient la vie sur la Terre et l’y organisent : satellites de communication pour les échanges de sons et d’images, satellites météorologiques pour la prévision de temps, satellites de navigation pour le guidage précis de navires sur toutes les mers du globe, satellites scientifiques à missions hautement spécialisées, satellites militaires aux applications publiques ou secrètes multiples, etc. Il s’agit autant de satellites placés sur l’une ou l’autre orbite terrestre que de sondes qui ont quitté l’environnement immédiat de la Terre pour explorer la Lune ou les autres planètes. Lors de chacune de ces missions, un grand nombre de débris spatiaux sont générés. Et comme toute activité humaine, la conquête spatiale s’accompagne de la production de déchets.
Un débris spatial, dans le domaine de l’astronautique, est l’objet résiduaire d’une mission spatiale se trouvant sur orbite. Environ 9.000 objets supérieurs à 10 cm sont dénombrés aujourd’hui autour de la Terre, environ 200.000 entre 1 et 10 cm et plus de 35 millions d’une taille inférieure au cm... On y trouve les satellites en fin de vie, des étages de lanceurs, des objets issus de collisions... Depuis Spoutnik 1, lancé le 4 octobre 1957, plus de 4.000 lancements ont mis en orbite un grand nombre de satellites. Plus de 170 fragmentations se sont également produites, donnant naissance à une multitude de débris de toutes tailles.
En raison des vitesses élevées en orbite, mêmes les plus petits débris peuvent provoquer des dégâts très importants sur les satellites ou les véhicules habités. Ces débris présentent un danger pour les missions spatiales habitées, les satellites en orbite et un risque de retombée au sol. Ils vont à une grande vitesse et l’impact d’un débris, même petit, peut entraîner de gros dégâts.
La capacité de prédire avec précision l’instant de rentrée d’un satellite dans l’atmosphère terrestre augmente à mesure que l’objet se rapproche de l’atmosphère. A 7 jours d’avance par exemple, la précision est d’environ 22 orbites, à 12 heures de 1.6 orbites et à 1h de 0.33 orbites. La zone de débris théorique s’étendit sur une zone ovale large de 200 km et longue de 6000 km, entre d’un côté les débris les plus légers et de l’autre les débris les plus lourds.
En principe, le point d’impact des débris peut être estimé à 100 km près. Mais en 1991 des débris de Salyout 7 tombèrent à quelques centaines de kilomètres de Buenos Aires, heureusement sans faire de victime. En 1997, deux fragments d’une fusée Delta 2 pesant 250 kg atterrirent avec fracas au Texas. Un troisième débris pesant 70 kg en titane fut retrouvé en 2001 à 240 km de Riyad en Arabie Saoudite.
En 2001, 30% de la masse de la station Mir, représentant une charge résiduelle de 20 tonnes répartie dans 1500 éléments dont six gros débris furent "forcés" de tomber heureusement sous "pilote automatique".
Pour toute responsabilité dans l’éventualité où Mir serait tombé sur des populations, l’agence spatiale russe (RSA) avait souscrit une assurance de 200 millions de dollars auprès de la Lloyd’s à Londres. Une bien maigre consolation si dix millions d’habitants étaient passés de vie à trépas dans l’accident ou s’en seraient sortis handicapés à vie... A cela, les autorités ont répondu qu’ils étaient confiants et que Mir allait s’écraser dans l’océan. Et à l’image de la précision de la mécanique céleste, ils ne se sont pas trompés dans leurs calculs pourtant soumis aux aléas des conditions atmosphériques et de l’activité solaire. Car il faut saluer le mérite des ingénieurs qui estimèrent dans ce dernier cas l’heure de rentrée à 5 minutes près et le point d’impact avec une précision de 125 km ! Mais même si la chute d’un satellite peut être incontrôlable avec plus ou moins de précisions, malheureusement, en l’espace de 24 heures ou même trois jours, il est impossible d’évacuer une mégapole de plusieurs millions d’habitants et toute une zone d’impact potentielle qui s’étend sur plusieurs centaines de kilomètres alentour.
Il arrive donc que de temps en temps des satellites tombent au sol. Leur chute comporte plusieurs risques graves. Et comme certains d’entre eux fonctionnent au combustible nucléaire, on ne peut pas exclure de même une irradiation. Si un tel événement se produit, l’épave radioactive doit être rapidement localisée, traitée et les mesures de protection des populations déclenchées en cas d’augmentation de la radioactivité.
Mais que faire pour éviter ces apocalypses non programmées ? Pour lutter efficacement contre le risque potentiel engendré par les déchets en orbite, les grandes agences ont pris le problème à bras le corps depuis 1993 et ont créé l’Inter-Agency Space Debris Coordination Committee (IADC), une agence chargée de prendre des mesures concrètes en cas de besoin. L’alarme a été prise très au sérieux car la navette Challenger, par exemple, a reçu de nombreux impacts dans ses hublots tandis que la navette Atlantis fut déjà égratignée par ces débris, entaillant le revêtement de son bord d’aile sur 2.5 cm. Quand on sait que le bord d’attaque des ailes subit l’une des chaleurs les plus élevées lors de la rentrée atmosphérique, (le cas lors de l’accident de Columbia), il est judicieux de tirer la sonnette d’alarme.
Que coûte la "dépollution" des orbites ? Une première estimation faite en 1996 indique que le nettoyage des orbites jusqu’à 800 km d’altitude de tous les débris mesurant entre 1 et 10 cm coûterait environ 80 millions de dollars et nécessiterait 2 ans de travail. Un nettoyage jusqu’à 1500 km d’altitude prendrait 3 ans et coûterait environ 160 millions de dollars (soit un peu moins de la moitié du prix d’une nouvelle navette spatiale).
Si les états acceptent d’y consacrer un peu d’argent plutôt que de prendre des risques bientôt inconsidérés, il est probable que d’ici quelques années les experts des Services du Département Environnement du Centre Goddard de la NASA devront envoyer un ferrailleur "dépolluer" l’espace qui, faut-il le rappeler, est une ressource pour toute l’humanité.
SAMEDI 15 AVRIL 2006 – COMETE OU OVNI ?
DIVERSES REACTIONS SUR LES FORUMS À PROPOS D’UNE RENTREE DE SATELLITE
Le samedi 15 avril 2006 à 21h15 GMT, on a pu voir dans le ciel d’Errachidia (sud Maroc), l’un des plus spectaculaire et des plus brillants objets volants. Le spectacle a été vu par plusieurs personnes. Moi et mes amis, on a eu la chance de voir ce phénomène extraordinaire. La nuit était sans nuage et la lune se trouvait derrière nous. L’objet se déplaçait horizontalement à basse altitude, avec une vitesse constante et prend sa direction ver le Nord-Est. L’identification précise de ce phénomène reste difficile ; astéroïde, Comète ou OVNI ? D’apparence, l’objet ressemble à une comète ; avec une tête comme une boule de feu qui change de couleur. Elle est alternativement blanche, rouge, verte ou bleu. Et une queue qui la suit. Mais, à la différence des comètes, la queue de celle-ci n’est pas constituée de poussières, mais un "fleuve" de multiples petits corps qui ressemblent plus au moins à des étoiles qui brilles dans le ciel nocturne.
16 AVRIL 2006 - Errachidia, Maroc - Mohammed Zarouit
Difficile à dire, le mieux est d'essayer de se renseigner à des organismes qui ont pu observer le ciel, peut être un observatoire astronomique ou alors une revue scientifique. Il peut y avoir plusieurs explications, plus ou moins sérieuses, essai de véhicules volants, débris brûlant dans l'atmosphère... en attendant leur réponse, vous pouvez également surveiller les calendriers astronomiques qui indiquent les événements prévus à telle ou telle date. Ceci dit, petite précision, un OVNI est par définition non identifié
17 avril 2006 - P. Pallas4 à 16:58 (CEST)
En particulier on a l'IMCCE en France qui se charge de faire l'information du public (un courrier électronique en français devrait faire l'affaire). Après avoir consulté leur site ou d'autres d'ailleurs : car il y a pas mal de site d'astronomes amateurs qui détaillent les phénomènes observables. Mais les autres en général tiennent juste un site à jour sans répondre au grand public.
18 avril 2006 - à 17 :11 (CEST)
Bonjour,
Parmi les phénomènes dus à l'activité humaine, les plus spectaculaires sont le passage de certains satellites artificiels très brillants (notamment ceux de la constellation Iridium et l'ISS), et les rentrées atmosphériques.
Concernant les flashes Iridium, ceux-ci sont extrêmement localisés, car ils sont dus à un déflecteur métallique installé sur le satellite dont le reflet balaie une zone extrêmement petite (vingt kilomètres de diamètre). Aussi, à moins de connaître très précisément le lieu d'observation (à une précision de quelques kilomètres), il est difficile de prédire avec précision la magnitude d'un tel événement. Au mieux, il peut dépasser la magnitude de -9, soit l'équivalent d'un premier quartier de Lune (mais pendant une période assez brève). Si vous jetez un œil ici,, vous verrez qu'un flash a eu lieu samedi 15 vers 19h30 GMT. Le flash était modeste (magnitude -2, soit en gros la luminosité de Jupiter) aux coordonnées qui doivent correspondre au centre-ville de Er Rachidia (31.9320°N, 4.4240°W), mais qu'à une vingtaine de kilomètres à l'Est, il a atteint -7 (soit vingt fois la brillance de Venus). Ni l'heure ni le descriptif (l'objet est ponctuel) ne correspondent à ce que vous décrivez.
Il est d'autre part quasi-impossible que ce que vous ayez vu soit une comète, car celles-ci ont un déplacement très faible sur la voûte céleste, et qu'aucune comète brillante n'a de toute façon été signalée en ce moment. Il est par contre beaucoup plus vraisemblable que vous ayez vu un phénomène de rentrée atmosphérique, soit par une météorite, soit plus vraisemblablement un engin terrestre. Dans un tel cas, l'objet a toutes les chances de s'être fragmenté lors de la rentrée atmosphérique (d'où les points brillants derrière l'objet principal), et ce que vous auriez vu seraient les différents débris incandescents, en général avec des trajectoires identiques (même direction, même vitesse). La présence d'une sorte de queue dans le sillage du ou des objets corrobore l'hypothèse d'une rentrée atmosphérique, les changements de couleurs pouvant d'expliquer par les rayonnements des différents matériaux composant les débris, ou simplement les effets de l'absorption atmosphérique si l’objet a été observé bas sur l'horizon. Le temps de transit de ce genre d'objet est, d'expérience, moyennement rapide, entre quelques secondes et deux minutes, selon l'altitude et la distance des débris.
Un tel phénomène est peu fréquent, mais n'est pas rare. J'en ai été témoin deux fois, en quelques milliers d'heures d'observation. Il n'en demeure pas moins très spectaculaire, et les gens pensent en général immédiatement à une visite de petits hommes verts avant de penser à une rentrée atmosphérique d'objets construit par l'homme. L'hypothèse de l'OVNI ne peut bien sûr pas logiquement être exclue, mais si tel est le cas, l'infortuné extra-terrestre s'est probablement écrasé... Bref, il est bien plus probable que ce soit un débris de fusée ou de satellite dont vous ayez observé les derniers et flamboyants instants.
18 avril 2006 - Alain Riazuelo à 10 :51 (CEST)
Des extraterrestres ne disposant pas de vaisseaux spatiaux suffisamment sophistiqués pour être invisibles (ou n'utilisant pas la téléportation), s'ils voulaient être discrets, entreraient à la manière de ces rentrées atmosphériques, peut-être même en les accompagnants !
18 avril 2006 - David • à 21 :19 (CEST)
Mais une comète est extra-terrestre !
19 avril 2006 - ArséniureDeGallium à 09 :39 (CEST)
En plus ! Donc de toutes les façons c'était OVNI. (Bon, populairement on pense au nom commun plus qu'à l'adjectif. Je voulais dire qu'il n'était pas nécessaire d'avoir des habitants d'une autre planète pour parler d'OVNI).
19 avril 2006 - David • à 18 :59 (CEST)
Bonjour, J'étais moi-même au sud du Maroc, dans l'Erg de Cherbi et nous avons été sept à observer cette même suite d'objets volants. Si vous trouvez, pouvez-vous poster sur cette page une explication de ce phénomène ?
xx
Bonjour et merci à tous ceux qui ont essayé de répondre à cette question.
Le jour même où j'ai posé ma question sur la page de l'Oracle, j’ai adressé un message au journal
21 avril 2006 - Boism à 23 :53 (CEST)
OVNI ne signifie de toute façon pas "extra-terrestre" mais simplement "non identifié". Donc, même si cela avait été une comète, c'était néanmoins, pour lui, un OVNI...
JUIN 2006 – ANTI-ATLAS - MAROC
Voici ce que j'ai observé il y a quelques jours (témoignage reçu le 28 juin 2006 - GREPI) lorsque j'étais en vacances au Maroc.
101 - La photo et un agrandissement de l'objet.
Au départ, j'ai cru que c'était une poussière sur l'objectif mais en fait non, car j'ai fait un autre cliché quelques secondes plus tard et plus rien. Je ne sais pas ce que j'ai vu, mais ça a disparu très vite.
Vous dites "ce que j'ai observé", avez-vous observé "l'objet" en direct, ou ne l'avez-vous découvert qu'au développement des photos ? - GREPI
Non je me suis très mal exprimé, en fait je ne l'ai vu que sur la photo. Cependant cette photo prise dans l'Anti-Atlas n'est pas trop un lieu fréquenté par les engins volants ; plutôt désertique.
Cependant, je voulais aussi vous relater des faits que j'ai vécus dans mon adolescence et pour lesquels je préfère rester anonyme, me croira qui voudra après tout.
Cela se passait durant la nuit dans mon sommeil ; c'est pourquoi il m'est très difficile de croire si ce que j'ai vécu est réel ou rêve.
En fait, suite à beaucoup d'énervement, nuit plutôt agitée, style insomnie ; je ressentais une présence et à plusieurs reprises je ne bougeais plus jusqu'à m'endormir pour échapper à cette peur.
Puis un jour j'ai eu le courage de me retourner et d'ouvrir les yeux, et j'ai aperçu très clairement dans l'obscurité quelque chose qui ressemblait à un cosmonaute, sauf que c'était bleu azur et fluorescent. Cela n'a pas duré car, pris de panique, je me suis retourné et caché au fond de mon lit.
Plus tard, la même expérience, mais cette fois-ci l'être n'arrivait plus de la même manière, mais comme en me paralysant (sorte de fourmis dans tout le corps); et en ouvrant les yeux j'ai vu tout son bras posé sur moi et avant que je ne réagisse il s'élevait dans l'obscurité et disparaissait en me faisant un signe, peut être amical, de la main.
Plus tard encore, j'ai ressenti une dernière fois cette présence, mais qui m'empêchait cette fois de bouger et me demandait à plusieurs reprises et à voix basse de l’écouter ; en résistant, je suis parvenu à me retourner ; mais seulement, cette fois-ci, plus rien, et depuis je n'ai plus jamais vécu cette expérience.
Ceci s'est produit environ 5 fois entre 8 et 15 ans ; j'approche de la quarantaine maintenant. Mon seul regret : n'avoir pas écouté. Je sais que cela ressemble à une histoire de fou ; je l'ai gardée pour moi jusqu'à présent. Il se peut tout à fait que ce soit des cauchemars car on ne sait pas toujours où se trouve la frontière entre le sommeil et l’éveil ; cependant, je dois avouer que je n'ai jamais eu l'impression que cette présence m'ait réellement quitté. Si d'autres personnes ont vécu cette expérience ?
Philippe (France) – Source GREPI – Genève.
Été 2006 – MARRAKECH –
Brahim à 22 ans, célibataire, il se consacre à des études d'ingénieurs, la tête sur les épaules, moderne, sérieux, le questionnaire précis qu'il nous a retourné mentionne son adresse, son mail, son numéro de téléphone, élément que nous ne communiquons pas par discrétion.
L'observation a eu lieu au cours de l'été 2006, en août, en soirée, dans une zone habitée (ville) et vers 22 H 00.
Voici la description que Brahim fait de son observation :
"J'habite à Marrakech c’est la ville du soleil. C'était durant l'été 2006 et il faisait très chaud. On dort la plupart du temps sur le toit (je veux dire le 2 ème étage qui n'est pas couvert - La terrasse). La plupart des familles font ainsi à Marrakech, c’est relaxant. Habituellement avant de fermer les yeux pour dormir, je prends du temps pour admirer les étoiles, chercher des satellites, des avions et les suivre pour m'amuser. Une nuit (je ne me rappelle pas exactement la date), en faisant ce rituel d'observation du ciel, j’ai remarqué une tache lumineuse un peu comme un disque lumineux qui bougeait comme un avion. C'est pourquoi j'ai tout d'abord pensé qu'il s'agissait d'un avion, mais après environ 8 secondes, la tache commence à accélérer d'une façon extraordinaire jusqu'à ce qu'elle disparaisse. (Personnellement je n’ai jamais vu une aussi impressionnante accélération). Je suis myope, je portais alors des lunettes, j’ai vérifié mes lunettes afin de voir si des tâches étaient sur les verres, mais elles sont propres. Je me dis alors qu’il s’agit juste d’une comète, mais ce n’est pas logique compte tenu que l'objet avait une vitesse voisine de celle d'un avion et que sa vitesse a augmentée d'une façon phénoménale. C'était comme si l'objet était contrôlé par une personne. J’ai ensuite essayé de donner une autre explication (vu que je suis très curieux) en me disant qu’il s’agissait d'un avion militaire. Or aucun avion ou engin fabriqué par l'homme ne peux faire ces déplacements. Cette observation est restée un mystère pour moi. Je l'ai oublié, jusqu'à ce que je découvre des vidéos sur le site YOUTUBE. L'une d'elle ressemble vraiment à ce phénomène. C'est depuis ce jour que je m'intéresse aux ovnis, domaine très intéressant, même s’il y a des personnes qui rient dès qu'on commence à évoquer ce phénomène.
Après cette observation, je suis toujours monté sur la terrasse équipée d’un appareil photo, espérant que ce phénomène se reproduise Mais dommage aucune apparition par la suite, excepté des avions et des étoiles filantes".
L'observation a duré environ 10 secondes, l'objet avait une forme précise de "disque" lumineux, couleur de la lumière courante, qui ne variait pas et d'une grosseur approximative à un avion passant au-dessus de l'habitation du témoin. Le mouvement était donc rectiligne, à une vitesse similaire à celle d'un avion, durant 8 secondes, mais qui brusquement devient "vertigineuse" jusqu'à sa disparition. Aucun bruit n'a été entendu. Au niveau des conditions météorologiques, il faisait chaud, pas de nuage et le témoin ne se rappelle pas si la lune était visible.
(102 - Notre photo : extraite de la vidéo représentant un phénomène similaire à ce qu'a vu le témoin.)
Voici à quoi ressemble le phénomène que le témoin a observé :
(C’était presque le même type d'accélération, sauf que celui-ci a changé de direction)
SEPTEMBRE 2006 - AL HOCEIMA
(Village de Rouadi près d’Adouz)
Ali L. habite à Avignon, en France, mais d’origine Marocaine, il passe chaque année ses vacances dans son pays d’origine ou il rencontre par la même occasion sa famille. Ali est Marié, il a 37 ans, il travaille en tant qu’ouvrier spécialisé dans le bâtiment ou il est considéré comme quelqu’un de sérieux. Moderne, il est très ouvert aux technologies modernes et utilise Internet.
Au mois de Septembre 2006, il était justement en vacances au Maroc, dans la région d’Al Hoceima et plus précisément dans le village de Rouadi (Adouz). C’est une région tranquille, la campagne, la mer et la montagne font partie du paysage. Les maisons sont isolées les unes des autres. Il fait encore chaud en septembre et Al Hoceima, la ville des vacances, sur la côte méditerranéenne n’est pas très éloignée.
Difficile de se rappeler le jour exact, il y a déjà près de deux ans que cela s’est passé, mais Ali situe son observation en Septembre 2006, vers 22 -23 heures. Il s’agit d’un phénomène, présentant deux objets se déplaçant ensemble dans le ciel, aussi lumineux que le soleil et de la même couleur. Les deux objets ne variaient pas de couleur, mais par contre leur luminosité était telle qu’elle éclairait la montagne située en dessous. La grosseur de chaque objet était celle d’un gros avion, qui est alors relativement proche. Ils provenaient du Sud et se dirigeaient vers le Nord, vers la mer.
103 Croquis des lieux fait par le témoin SPT 2006 AL HOCEIMA
J’ai remarqué ce phénomène aérien alors que j’étais devant ma maison en train de regarder la mer. Je vois alors deux engins lumineux qui s’avancent ensemble, à la même allure, en parallèle, éclairant le paysage comme en plein jour. Ils ont disparu en se dirigeants vers la mer en direction de l’Espagne. Je n’ai entendu aucun bruit et je les ai perdus de vue au-dessus de la mer, dans le lointain. Le phénomène a duré environ 2 à 3 minutes. Je les situais à une dizaine de kilomètres, mais je ne pouvais pas distinguer une forme précise, sinon que cela semblait similaire à un gros avion, de forme allongée et très brillant. Ils n’ont pas varié dans leur aspect. Je connais la région, ces montagnes et cela me permet d’estimer leur hauteur à une centaine de mètre du sol. Ils étaient beaucoup plus bas que les avions, en tout état de cause.
Comme c’est bien souvent le cas dans le Nord Maroc, au bord de la méditerranée, et plus particulièrement dans la région d’Al Hoceima, le ciel était dégagé, vraiment sans aucun nuage et la journée fut ensoleillée. Je ne me souviens pas de la présence de la Lune. J’ai regardé ces deux objets uniquement à l’œil nu, c’est leur altitude et le fait qu’ils brillaient beaucoup qui a attiré mon attention. Je les ai suivis durant tout leur parcours et je n’ai jamais vu de tels engins dans la région ou dans tout autre endroit.
Mon cousin Hamed L. a observé avec moi le phénomène. Beaucoup de personnes dans le village, attirées par ces lumières vraiment inhabituelles et anormales, ont observées elles aussi ces deux objets qui se déplaçaient relativement vite. J’ai personnellement moi-même pensé à un missile, mais cela ne correspond pas en réfléchissant à un tel engin.
Communiqué par Odyssée – Avignon – Forum Les Mystères des ovnis - Document du témoin dans les archives d’Ovni Maroc Marrakech.
27 SEPTEMBRE 2006 - FES
J’étais debout sur le toit de l'immeuble ou se situe mon appartement, c’était une journée claire et ensoleillée. J'ai observé un objet blanc vacillant dans le ciel, j'ai d'abord pensé que c'était un oiseau, puis je suis devenu certain que ce n'était pas à cause d'un mouvement étrange, il ressemblait presque à un sac d'épicerie en plastique flottant dans le ciel. J’ai observé un objet blanc dans l’espace, j’ai tout d’abord pensé que c’était un oiseau, puis j’ai acquis la certitude que c’en n’était pas un, à cause de ses mouvements étranges, apparaissant comme un sac d’épicerie en plastique flottant sur tout le ciel.
J'ai ensuite remarqué qu'un autre objet similaire, peut-être le même, difficile à distinguer à cause de l'éblouissement du soleil, flottait lentement vers moi, puis remontait vers le ciel pendant que je le regardais jusqu'à ce qu'il soit hors de vue.
Puis j’ai remarqué un autre objet similaire, éventuellement le même, difficile à dire parce qu’il y avait les reflets du soleil. Celui-ci flottait lentement venant en ma direction, ensuite il a remonté vers le ciel, et j'ai regardé ce spectacle jusqu'au moment où il a été hors de ma vue, disparaissant dans l'espace. Quelques instants plus tard, j'ai vu un objet métallique brillant tomber rapidement du ciel au-dessus de la ville (capable de voir toute la ville médiévale de Fès depuis le toit. J'ai ensuite remarqué une chose blanche flottant haut dans le ciel, puis ce qui ressemblait au fond plat d'un gros objet haut dans le ciel qui a disparu peu de temps après que je l'ai remarqué. C'est mon expérience honnête envers Dieu de voir quelque chose que je n'arrive pas à comprendre et que je n'ai jamais vu en Amérique. Cela s'est produit pendant le Ramadan dans ce pays islamique, ce qui me fait me demander si c'était quelque chose de spirituel ?Quelques instants plus tard, j'ai vu un objet métallique brillant tomber rapidement venant du ciel, ceci au-dessus de la ville (je peux voir toute la ville médiévale de Fès à partir du toit.) Il s’agissait d’une « chose » blanche qui avait l’apparence d’un grand objet à fond plat haut dans le ciel et qui a disparu peu de temps après.
6 OCTOBRE 2006 - FES
Je regardais depuis le balcon de mon appartement le ciel nocturne qui est curieux à cause de ce dont j'ai été témoin ces derniers jours. En regardant depuis mon balcon un ciel insolite, aux couleurs d'une grande beauté, comme cela a été le cas ces derniers jours, j'ai remarqué des stries de lumières, comme des petites étoiles qui tombaient, suivies par un objet.
Il s'est avéré à une étoile et il a commencé lentement à se déplacer dans le ciel. C'était comme si une étoile était au point mort et puis, lentement, elle a commencé à se déplacer vers l'horizon. J'ai été vraiment surpris par ce spectacle qui s'est également produit pendant le Ramadan dans ce pays islamique. J'ai été vraiment surpris par ce spectacle qui a également eu lieu pendant le Ramadan, je suis dans un pays islamique. J’ai commencé à demander aux locaux avec qui j’étais s’ils savaient ce que j’avais pu voir, la seule chose qu’ils pouvaient penser était la possibilité que cela soit lié à l’époque religieuse dans laquelle nous étions. J’ai commencé à parler avec les habitants afin de vérifier si quelqu’un l’avait vu. Les seules conversations ont été portées sur le fait que ce que j’ai vu ne pouvait avoir qu’un rapport avec la religion, pas d’autres témoins.
Source : http://ufospottings.com/location/Morocco/
NOVEMBRE 2006
Une personne évoque une vidéos publiée sur internet. Un vidéo identifiée qu'un témoin a posté sur YouTube d'un OVNI à Marrakech (ma ville natale).
104 IMAGES DE LA VIDEO
La vidéo montre des scènes de rue à Marrakech avec un OVNI noir montré pendant la journée. Ensuite, il continue à montrer la mosquée de la Koutoubia avec une cigogne perchée au sommet (est-ce censé ressembler à une forme d'OVNI pour les gens qui n'ont jamais vu de cigognes ? C'est la seule raison pour laquelle je peux deviner qu'il montre cela.) Je pense que c'est complètement trafiqué. Une autre raison pour laquelle cette vidéo ne m'impressionne pas, c'est qu'il n'y a même pas de gens dans les rues au milieu de la journée, alors que les rues seraient normalement complètement encombrées de monde. Si cela s'était produit, vous pouvez parier que tout le monde en ville – et son frère – en aurait parlé !
Informations complémentaires d’Albert Rosales (Usa)
Date Heure de l'observation : 11 novembre 2006 105 Image détails extraite de la vidéo Heure de l'observation : 13 h heure locale
Date signalée : 20 décembre 2006
Lieu de l'observation : Marrakech, Maroc (Centre-Ouest du Maroc à environ 135 miles au sud-sud-ouest de Casablanca)
Latitude : 31,63 degrés Nord
Longitude : 8,0 degrés Ouest
Nombre de témoins : Un
Météo : La photo montre un ciel dégagé
Description (dans les propres mots d'un témoin) : Je photographiais un grand oiseau (Ibis) au sommet de la mosquée Koutoubia et j'ai attrapé un objet au-dessus. J'ai plus de photos si nécessaire.
Notes de l'enquêteur : Cette photographie montre un objet étrange. L'agrandissement de la photo ne révèle rien de conventionnel (oiseau, insecte, avion, etc.). Je dois différer toute remarque concernant cette photo jusqu'à ce que je reçoive plus d'informations. Le témoin a déclaré qu'il avait pris d'autres photos de l'objet. J'ai demandé des copies de ces photos. Toute mise à jour sera publiée.
SOURCE : UFOSNW
Ce
document ayant fait l’objet d’une analyse, il s’est révélé être identifié. ( Nombreuses
réactions sur des forums sur internet).
MAI 2007 – MAROC – SAHARA OCCIDENTAL - LIEU PRECIS INCONNU
Bonjour,
J’ai eu connaissance votre site au cours d'un repas Ufo. Je vous transmets deux photos prises au Maroc (Sahara occidental) au mois de Mai 2007, par une connaissance : Mr K C Email : XXXXXX@wanadoo.fr
La personne a été floutée volontairement.
Sur la deuxième photo, on distingue un point à gauche du Cairn ; En l'agrandissant, il doit s'agir de la même chose, 6 secondes d'intervalle entre les deux prises.
En espérant que vous preniez contact et appréciez une des deux photos.
Bien cordialement.
André O.
C’est une personne qui fréquente une association locale qui nous contacte afin de nous faire parvenir ces documents photos. Nous n’avons pas d’indication de lieu ou des conditions dans lesquelles ces photos ont été prises. (Jusqu’à ce jour, et ce malgré nos mails).
Toutefois, il semble que nous ayons à faire à l’un de ces défauts habituels des appareils photos numériques. On ne visualise évidemment pas d’objet lors de la prise de vue, mais en regardant les photos une fois prises, on remarque un « ovni ». (Ou plutôt un phénomène inconnu du photographe).
On a fréquemment des exemples de photos de ce type avec les numériques.
Dans certains cas on peut parler d’un oiseau, d’un insecte, d’une feuille d’arbre, d’une poussière etc... On peut arriver à reproduire ce type de photo, ce qui permet de solutionner certaines photos, avec malheureusement une preuve qui sera toujours aléatoire.
Mais dans le cas présent, il semble que nous ayons à faire à un phénomène courant de l’appareil photo numérique : le calcul interne de la lumière, des couleurs etc… qui composeront la photo qui n’est pas terminé (il s'agit simplement d'une saturation du capteur de l'appareil photo). Dans les cas, souvent de forte lumière, l’appareil photo n’a pas le temps de calculer avec précision toutes les zones et il laisse une anomalie du type représentée sur ce document. Sur la photo 1 l’anomalie est enregistrée, alors que sur la photo 2, prises quelques secondes plus tard, l’anomalie a disparue car les capteurs ont eu le temps de calculer l’image en fonction de la lumière.
Source : Témoignage direct conservé dans les archives d’Ovni Maroc.
LES DOCUMENTS PHOTOS COMMUNIQUES PAR MR K C.
106 4 photos dont deux agrandissement de l'OVNI
13 JUIN 2007 - TETOUAN
Une femme âgée de 34 ans a observé le mercredi 13 juin 2007 entre 12 h 00 et 12 h 05 à partir de Tétouan. J’écrivais lorsque j’ai vu par la fenêtre quelque chose qui volait dans le ciel. J’ai tout d’abord pensé à un hélicoptère, mais j’ai remarqué que l’objet passait silencieusement, un ovni d’aspect métallisé ou gris un peu ovale. Au coin, une sorte de tube comme une petite cheminée. Il se déplace lentement comme s’il cherchait quelque chose sur les toits des maisons. J’étais au 1er étage et j’ai vu l’objet presque en haut du toit de notre maison de 3 étages. Je suis monté sur le toit pour le voir de très près, mais il a disparu.
Source : Ufologie.net de Patrick Gross.
25 JUILLET 2007 – MARTYL - UN OBJET VOLANT NON IDENTIFIE OBSERVE SE DEPLACANT AU RAS DE LA MER
Il est 11 h 00 en cette matinée du 25 juillet 2007, un père et son fils profitent d’un moment de détente sur la plage de Martyl, près de Tétouan, dans le Nord du Maroc, lorsqu’ils voient arriver un objet se déplaçant à une vitesse très rapide au ras de la mer, venant de l’horizon, prenant soin de ne pas survoler la plage et qui repart vers l’horizon.
107 - Carte Afrique du Nord et positon du Maroc
LE LIEU
Monsieur N.B. et son fils, en vacances, se trouvaient sur la plage de Martyl, ils se situaient précisément en face des immeubles de l’ERAC, sur la nouvelle double voie de la corniche de Martyl. Martyl, orthographiée aussi « Martil » est située sur le littoral nord du Maroc, à environ 10 Kms à l’Est de Tétouan, 30 Kms de Ceuta.
108 Carte du nord du Maroc avec la position de Martyl
C’est une ville d’environ 40 000 habitants, très touristique avec ses paysages fantastiques, ses conditions climatiques très agréables. Elle est aussi très appréciée pour sa plage, que l’on dit être l’une des plus belles du Maroc.
Proche de l’Espagne, de l’Europe, Martyl est située au Maroc et donc au Nord-Ouest du continent Africain.
LES TEMOINS
Monsieur N.B. à 50 ans, il habite à Rabat (Maroc), il a fait, entre autres, des Études à La Sorbonne à Paris où il a obtenu un Doctorat. Il occupe actuellement des fonctions importantes au Maroc, Directeur d’une grande école, spécialiste des villes anciennes du Maroc, il est l’interlocuteur de nombreux organismes internationaux comme l’Unesco, ou d’autres, Français, avec lesquels il conserve des liens très proches.
Sa position fait que son témoignage est considéré comme sérieux et digne de foi. Dans cette enquête, nous ne donnerons pas son nom, ce qui est compréhensible compte tenu de ses fonctions. Son témoignage est conservé dans les archives d’Ovni Maroc ou les coordonnées du témoin figurent.
Son fils à 17 ans, il poursuit actuellement des études supérieures dans une grande Université Parisienne.
109 Plan localisant les témoins et le parcourt de l'objet
Les deux témoins ne portent pas de lunette, leur vision est de 10/10. Aucun ne portait de lunette de soleil ce jour-là. L’observation a été faite à l’œil nu, sans autre moyen d’observation (Paire de jumelles ou autres).
L’APPARITION
Il était entre 11h00 et 11h30 GMT (heure marocaine équivalente à GMT) ce matin du 25 juillet 2007, N.B. et son fils profitaient de quelques jours de Vacances à Martyl et c’est ce jour et à cette heure qu’ils furent les témoins de l’évolution d’un engin bien étrange.
Ce matin-là ils s’étaient rendus à la plage, la marée était haute (estimée, du fait que la mer était proche de la plage), il y avait un très beau ciel bleu, pas de vent, pas de nuages, pas de vague, la plage et l’environnement étaient calme et parfaitement naturel. Aucun bateau en vue, même pas une barque ou tout autre engin maritime, avant, durant et après l’observation. Des vacances parfaites dans un cadre idyllique, sans aucune activité industrielle à proximité, sans bruit, ni nuisance quelconque.
Monsieur N.B. surveillait de temps à autre son fils qui se baignait, proche du rivage. Peu de monde sur la plage, il faut être vigilant, un accident est vite arrivé. Une invasion de méduses, à cette époque-là, dissuadait les baigneurs de profiter de l'eau. C'est d'ailleurs pourquoi le fils de Monsieur N.B. n'était pas loin du rivage et que la plage n'était que peu fréquentée à cette heure-là. Il nageait, puis à un moment il s’assoit dans la mer, sur le sable, qui est à très faible profondeur à cet endroit. (A quelques mètres de la plage) C’est alors que le témoin remarque, venant de l’horizon en sa direction, un groupe d’objets qui se déplacent à une très grande vitesse, au-dessus de l’eau.
Le groupe d’objets arrive vers les témoins, passe et tourne pratiquement au-dessus du fils de Monsieur N.B. « J’ai pensé qu’il pouvait le toucher, leur approche me semblait dangereuse, mais toutefois, il est passé à proximité pour disparaître à une vitesse aussi importante vers l’horizon », précise le témoin. Il écrit dans le premier descriptif de la scène : « Ils ont disparus à l’horizon en moins d’une seconde. ». Cette remarque n’est pas exacte, bien qu’elle reflète la rapidité de déplacement de la masse, le parcours pratiqué par cette masse de couleur grise, métallique, s’est fait, de droite à gauche, à la limite de l’horizon, en moins de 20 secondes. Il s’agit d’une estimation du témoin. (Le témoin précise, en ce qui concerne les couleurs : « ils n'avaient pas des couleurs vives remarquables mais ils semblaient être dans les tons gris, ni mon fils ni moi ne pouvons donner plus de précisions sur la couleur précise. Mais nous sommes tous les deux sûr que ce n'étaient pas des couleurs remarquables ou vives. »)

110 - Plan détaillant la scène
Ce groupe apparaissait comme étant une masse plane et horizontale formée de plusieurs objets identiques. Ces objets au nombre de 5 ou 6 repartis sur plus de 1m² environ, formaient un seul bloc volant en formation et en parfaite cohésion. La longueur et la largeur ne dépassaient pas un mètre sur une épaisseur de quelques dizaines de centimètres. En ce qui concerne la couleur de la masse, et plus particulièrement des objets qui la formaient, ils semblaient gris et on aurait dit qu’ils étaient liés entre eux par une matière transparente comme du verre. Je ne pouvais pas discerner clairement le contour des objets qui ne me semblait pas net car ils étaient les uns derrière les autres.
Le père est situé à environ 15 m du fils, l’objet est quant à lui passé à 10 m du fils, côté horizon. (Soit le père voyant l’objet passer à environ 25 m de lui).
La vitesse était très grande, le témoin a pu se rendre compte de sa grande rapidité lorsque l’objet était au niveau de son fils, car à ce moment il était proche de lui. Il en a pris conscience précisément à ce moment ainsi que lors de son éloignement. La vitesse était constante, pas de variation. Le témoin estime que la durée de l’observation n’a pas dépassé les 20 secondes au maximum. (Durée comme pouvant être la fourchette haute de ce paramètre). Les objets sont apparus à l’horizon (voir ci-dessous à la rubrique « Hypothèses » la distance qui peut être retenue). La durée estimée du trajet (horizon/plage à hauteur de mon fils) et de la visibilité de l’objet était d’environ 5 à 7 secondes. Ces objets n’émettaient aucun bruit et autour de témoin, pas d’avion, pas de voiture, donc aucun bruit qui aurait pu cacher un bruit quelconque émis par la masse volante. Au passage de la masse et durant tout son déplacement, la surface de la mer était parfaitement plane, aucune présence de mini-vagues, vagues, bouillonnement ou autres phénomènes qui auraient pu être provoqués par le passage de la masse. La surface de la mer était vraiment comme un miroir. Nous notons également que la cinétique de la forme était parfaite sans décélération ni à-coups et aucune répercussion sur la surface de l’eau.
111
tableau des limites de la vision en bord de mer
La masse semblait évoluer à 50 cm environ de la surface de l’eau, on avait même l’impression qu’elle aurait pu toucher les nageurs, ajoute Monsieur N.B. Cette masse est passée a environ une dizaine de mètres de son fils, côté mer, car il a lui aussi pu observer l’engin qui est passé très près de l’endroit où il se trouvait. Le déplacement général de l’engin s’est fait en forme de courbe, s’inscrivant parfaitement à la forme de la côte qui est très faiblement courbe. Il se déplaçait parallèlement à la mer, sans mouvement apparent, sans phénomène de vague, en conséquence sans descendre, ni monter.
Précisions données par le témoin : L'objet vu se situait à hauteur de nos yeux dans le centre de notre champ visuel sur la ligne d'horizon. Le soleil était aux azimuts de juillet ce qui veut dire que les rayons sont presque perpendiculaires au sol (86° à 11h30). Cette position ne provoque aucune réflexion ou contraste, bien au contraire, les objets sont éclairés avec des rayons perpendiculaires à notre axe d'observation.
Au niveau de l’ombre portée par la masse lumineuse, de par son métier, le témoin a l’habitude de faire attention à cet élément et il lui semble probable que c’est aussi avec l’aide de celle-ci qu’il a pu obtenir une mesure précise quant à la distance de l’objet par rapport à la mer (Environ 50 cms). L’ombre de cet engin, dont il en déduit la présence, ne présente donc aucun caractère anormal.
LES OBJETS
Cette masse, qui venait du nord, était composée de 5 ou 6 objets, 7 au maximum. Ces objets, d’une couleur située dans les tons gris, avaient une longueur de 30 cms environ, à peu près identique pour la largeur, aplatis et étaient parfaitement solidaires les uns par rapports aux autres (ils ne bougeaient pas en conséquence). Ils ressemblaient à des petits avions. Le témoin a observé ces objets sous trois angles différents : de face lorsqu’ils sont arrivés sur sa droite, de côté lorsqu’ils étaient à hauteur de son fils et enfin vu de l’arrière lorsqu’ils se sont éloignés.
112 - Agrandissement de la scène avec position des témoins et apparence des objets volants non identifiés.
Je me trouvais à une quinzaine de mètres de mon fils, ce dernier étant assis dans l’eau, à 5 ou 6 mètres du sable formant la plage. La plage de MARTYL est immense mais dans le voisinage de N.B., il n’y avait que 6 ou 7 personnes situées au minimum à 30 mètres. La plage était relativement vide. Parmi ces personnes certaines se baignaient, d’autres étaient assises sur la plage ou se tenaient debout, mais apparemment aucune n’a fait attention au phénomène. Le temps de comprendre et d’imaginer ce que pouvaient être ces objets au lointain, qu’ils passaient devant le témoin et repartaient sans même qu’il prenne conscience de les faire remarquer aux autres personnes présentes. Son fils, placé vraiment à proximité de ces engins, a quant à lui pu les observer et en fait la même description que son père. Monsieur N.B. n’a pas eu le temps de se déplacer durant l’observation, il est resté debout, stupéfait de voir ce phénomène qui lui était totalement inconnu.
VARIATION DANS LA DESCRIPTION ENTRE LE TEMOIN NR 1 (LE PERE – MR N.B.) ET LE TEMOIN NR 2 (LE FILS).
La question est de savoir si le témoin Nr 2 (le Fils) a pu observer des variantes par rapport à la description du père. Voici ce qui a été relevé, à propos de cette question, retracé et commenté par NB : la seule différence entre l'observation de mon fils et la mienne c'est que lui considère que le déplacement des objets s'est fait presque en ligne droite et moi je considère que c'est une courbe comme dans mon dessin. Peut-être que c'est dû au fait qu'il n'a remarqué les objets en question qu'une fois à sa portée et donc il n'a vu que la moitié du déplacement. Par contre c'était plus proche de lui. Il reconnaît que c'est plusieurs objets regroupés en seul système. Il confirme que ça ressemble à des petits avions parfaits. Que la vitesse est vertigineuse. Il parle d'un vol en formation. Pour lui, vue leur petite taille (30 cm chacun) les objets ont disparus avant l'horizon parce qu'il ne les voyait plus. Il faut dire aussi que le niveau de ses yeux était légèrement plus bas que le mien, étant donné qu'il était assis dans l'eau et que je ne voyais pas son maillot de bain. (Je me situais aussi un peu plus haut, sur le sable de la plage.
CE QU’EN PENSENT LES TEMOINS
Tout de suite après l’observation, le témoin a pensé à des oiseaux qui planent ? Mais il a vite compris que la vitesse et la perfection du vol étaient étranges, incompatibles avec celles d’un vol d’oiseaux. Dans ce cas cela aurait été un vol d’oiseaux métalliques qui se déplacent à une vitesse vertigineuse. Son fils a eu la même impression, il a déclaré : « tu as vu ça ? C’est quoi ces trucs ? On dirait des petits poissons volants mais leur vitesse et la régularité de leur trajectoire est parfaite. Ce n’est pas naturel !!!!! ». Le témoin a aussi pensé à un vol d’avions miniatures, des avions « clones » qui volent en formation mais la vitesse et la technologie qui aurait dû être employée lui a semblé impossible et de plus, ils étaient vraiment petits. Maintenant, il évoque la possibilité qu’une puissance ait pu mettre au point des « sortes » de jouets miniatures capables de se déplacer sur une grande distance en quelques secondes !... Mais cela reste de l’hypothèse.
Quant aux personnes de l’entourage du témoin, à qui il en a parlé, elles sont indifférentes et son fils qui a observé avec lui le phénomène ne trouve pas d’explication. Il confirme seulement la description du phénomène, tel que je l’ai observé, par contre pour lui cette observation d’un ou de plusieurs engins insolites n’offrent aucun intérêt.
HYPOTHESES
1 - DIVERSES REFLECTIONS :
Comme il est indiqué dans le titre, ce chapitre ne concerne que des réflexions, ce ne sont pas des analyses élaborées par des spécialistes dans les domaines évoqués et qui seraient considérées comme définitives et inattaquables, mais uniquement des idées qui vont permettre ultérieurement à tous les lecteurs d’élaborer librement des hypothèses quant à une possible identification de cet objet.
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